Le point de vue Naundorffiste

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Message par Administrateur » Dimanche 05 Décembre 2010 13:51:27

Bergeronnette a écrit :Naundorff un Lambriquet !!! un Lambriquet qui aurait eu une tache de mère sur la cuisse, une morsure à la lèvre, le cou court et plissé, un lobe d'oreille plus grand que l'autre etc... !!! POURQUOI UN TEL ACHARNEMENT Á NIER L'ÉVIDENCE ??? Retournons le problème : imaginons un instant que Naundorff ne soit pas Louis XVII (ça vous fait plaisir, je sais !) : lors du 1er attentat contre lui en 1834, il fut soigné chez Mme de Rambaud, ceci suppose changements de linges, de draps, etc... si cette noble dame n'avait pas vu sur le blessé les signes physiques qu'elle avait si bien connus sur l'enfant (c'était elle et les femmes de chambre qui le lavaient, l'habillaient etc... et non Mme de Tourzel), n'aurait-elle pas demandé :"Mais qui êtes-vous Monsieur ? vous n'êtes pas le prince !!!" - tous ces signes communs entre Naundorff et l'enfant Louis XVII PROUVENT plus que tous les raisonnements que CES DEUX PERSONNES N'EN FONT QU'UNE !!
Nous n'avons jamais contesté une analyse quelle qu'elle soit, ce que nous contestons, c'est le matériel remis aux laboratoires, étant donné les précédents, toutes les malhonnêtetés sont possibles


Si un dialogue entre survivantistes doit s'installer (et c'est souhaitable), aucun dérapage ne sera toléré. Merci de votre compréhension.
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Re: Le point de vue Naundorffiste

Message par Antonio » Dimanche 05 Décembre 2010 18:02:51

Bonsoir
Toujours la meme soupe du siecle passé
La rassemblance et la tache sur la cuisse....
Cela suffit pour proclamer le roi de France?

Les analyses sont suspecte de malhonnêteté....

Aussi les analyses que ont eté faite en octobre 2004 à Delft par le Prince Canadien ( Là sur palce avec ses avocats ) cont suspecte de malhonnêteté?

Si Naundorff doit etre Louis XVII par foi religeuse, ok se soit ...
Mais si Naundorff doit etre Louis XVII il faut LES PREUVES GENETIQUES.

Antonio
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Re: Le point de vue Naundorffiste

Message par Administrateur » Mercredi 08 Décembre 2010 22:29:29

Tout se tient semble-t-il et Raphaël Charles le prouve encore une fois :

http://cril17.org/2010/12/08/autour-du- ... s-xvii-30/

Dont nous extrayons ce qui suit :

” Est-ce que par hasard le ” coeur Pelletan - Louis XVII ” remis à don Carlos le 02/07/1895 ne serait pas encore à Frohsdorff, et plus précisément dans “ les caveaux de la chapelle du château de Frohsdorf “ ?”
—–
Extrait des pages 42 et 43 de
” Etudes et polémiques historiques sur Louis XVII ; brelan d’adversaires : Georges Montorgeuil, Henri Rochefort, Ernest Daudet, Paul Goulot “ ( Daragon, 1911 )

[ Dans la controverse qui l’oppose à Montorgueil, qui vient de rappeler que le ” coeur de Louis XVII” est ” chez le prince de Parme , Otto Friedrichs nous apprend en effet ceci ; NDLR ] :
” Au reste, si le coeur de l’enfant mort au Temple se trouve aujourd’hui, non pas précisément « chez le prince de Parme », mais déposé dans les caveaux de la chapelle de Frohsdorf, c’est que, il y a quelques années à peine, Don Carlos, par caprice politique et besoin de comédie, jugea bon de faire enfin un sort à ce coeur tant délaissé, lui — je parle de Don Carlos — qui évidemment était beaucoup moins que Louis XVIII, la duchesse d’Angoulême et Charles X compétent à juger de l’authenticité de ce pitoyable viscère !… ”

Ainsi donc Otto Friechichs ( auteur bien connu du naundorfisme ) a confirmé en 1911 que le ” coeur Pelletan - Louis XVII ” était bien à Frohsdorf, mais pas n’importe où !

DANS LES CAVEAUX DE LA CHAPELLE DU CHATEAU DE FROHSDORFF !

Dès lors, la question est donc de savoir si la princesse Béatrice Massimo a fait ouvrir les caveaux de la chapelle du château, pour en retirer la précieuse relique, lorsqu’elle a vendu Frohsdorf à la Poste du Reich allemand, provoquant la fermeture de la chapelle au culte public ! [...]

Et comment croire qu’elle ait pu le faire, alors que sa fille Marie-des-Neiges déclarera en 1975 que le coeur offert à la France est devenue sa propriété par héritage reçu de la duchesse d’Angoulême, via le comte de Chambord !
N’est-ce pas la preuve que sa mère Béatrice Massimo ignorait jusqu’à l’existence même de ce “ coeur de Louis XVII “dans les caveaux de la chapelle du chateau de Frohsdorf ?

Comment croire en effet que sa mère ait pu omettre de lui donner le minimum d’informations fiables sur les opérations qui ont suivi la remise de ce coeur à son aieul le 2/07/1895, - et dans quelles conditions solennelles ! - son dépôt à Frohsdorf dans la même année par le “chevalier de Heber ” inconnu de tous jusqu’à maintenant et enfin son extraction des caveaux de la chapelle qui a dû accompagner la vente de Frohsdorf !

Comment ne pas conclure que la princesse Béatrice Massimo a ignoré la présence de ce ” coeur de Louis XVII” dans les caveaux de la chapelle de Frohsdorf ?

Et comment ne pas faire l’hypothèse qu’il doit toujours s’y trouver, SAUF SI les destructions de tous ordres de la seconde guerre n’ont pas provoqué sa disparition à jamais, à l’occasion d’évènements qu’il est malheureusement facile d’imaginer, si on pense aux profanations de saint Denis lors de la révolution française ! …

Et en note de bas de page 43 de l’ouvrage cité ci-dessus, voici ce qu’on peut lire, après qu’Otto Friedrichs ait rappelé une observation rapportée par la tradition naundorfiste, au sujet d’un échange entre le prince de Valori, scandalisé par le crédit que semblait accorder don Carlos à l’imposture naundorfiste, lorsqu’il lui a dit qu’il n’était pas sûr que cette ” affaire Naundorf ” soit une farce ( voir in fine ) :

” C’est à propos de cette plaisanterie, à la fois sotte et odieuse et même sacrilège, de l’intronisation, symbolique et fumiste tout au moins, du coeur du substitué [ selon Valori, NDLR ] à la place de celui de Louis XVII, [ mort au Temple le 8 juin 1795, selon Valori ] que le prince de Valori, outré de l’audace, écrivit dans Le Journal du 13 juillet 1895:

” Moi j’ai consulté les personnages qui tiennent le plus près aux Bourbons : ils nient formellement le fait. Je conclus: qu’on s’adresse au duc de Parme, au comte Bardi, à la grande-duchesse de Tos­cane, à Charette, aux Lucinge. S’ils reconnaissent que le reliquaire de MM. Dumont, Deschamps et Pellelan, dont la loyauté est hors de cause, renferme le cœur de l’Enfant Martyr, je ne croirai pas davan­tage, mais je me tairai.

L’intelligence, l’esprit investigateur, fin et pénétrant du comte Urbain de Maillé ne sont pas contestés. Son autorité vaut-elle celle de Louis XVIII, du Conseil des ministres, des Chambres françaises, n’accordant pas une minute d’attention à une honnête, mais par trop mystique élucubration ?.

Comme je l’ai dit, plus haut, à l’autorité de Louis XVIII, du Conseil des ministres et des Chambres françaises, on peut ajouter celle de la duchesse d’Angouléme, de Charles X, bref de tous les Bourbons jusques, et y compris, ce cabotin de Don Carlos lui-méme. Le mot que j’emploie n’est pas trop violent, car voici ce que le même prince de Valori obligea, par exploit d’huissier, l’Avant-garde l’Ouest du 7 septembre 1895 à insérer dans ses colonnes :

” Que l’incrédulité du requérant ( prince de Valori ) au sujet du coeur de Louis XVII s’appuie sur l’incredulité de Louis XVIII, de la Dauphine, de Char­les X, de Henri V, du duc de Parme, du comte de Bardi et de Don Carlos lui-même.

Le noble prince (Don Carlos) aurait-il oublié que lorsque le re­quérant avait l’honneur de le représenter, il lui a dit, à Venise, le quatorze mai mil huit cent quatre-vingt -douze : Mais je ne suis « pas sûr du tout que l’affaire Naundorf soit une farce.”Ajoutons que ni Don Carlos, ni le duc de Parme, ni le comte de Bardi, ni la grande-duchesse de Toscane, ni le baron de Charette, ni les princes de Lucinge n’ont osé démentir ces déclarations du Prince de Valori. Celles-ci sont donc acquises à l’Histoire, et l’on ne saurait pas ne pas en tenir compte. ”



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Re: Le point de vue Naundorffiste

Message par Antonio » Jeudi 09 Décembre 2010 21:15:24

Et comment croire qu’elle ait pu le faire, alors que sa fille Marie-des-Neiges déclarera en 1975 que le coeur

offert à la France est devenue sa propriété par héritage reçu de la duchesse d’Angoulême, via le comte de

Chambord !
N’est-ce pas la preuve que sa mère Béatrice Massimo ignorait jusqu’à l’existence même de ce “ coeur de

Louis XVII “dans les caveaux de la chapelle du chateau de Frohsdorf ?



Bonsoir
Science fiction, suppositions pas supportè par des PREUVES historiques
Moi meme je ne suis rendu chez un noble roamin dessendant de la famille du Pape Clemente VII Dans sa maison il avait une sculpture de Benvenuto Cellini ( puis orfevre à la cour de Fraçois 1° er)
artiste du Pape.
Lui meme m'a raccontè d'avoir vu avec ses jeux l'urne de verre avec le coeur du Roi.


( En 1938, la princesse Massimo et sa fille ( Maria della Neve Massimo (1902-1984), ) quittent l'Autriche pour l'Italie avec le cœur. Le coeur est resté à Rome jusquè 1975)
A ma demande si l'urne etait la meme de la photo ( avec inscription etc.) Lui ma repondu : OUI c'est ça, je le jure...
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Re: Le point de vue Naundorffiste

Message par raphael charles » Mardi 14 Décembre 2010 11:23:08

Carissimo Antonio :

1 / diverses sources documentaires apparemment fiables font état de la vente de Frohsdorf par la princesse Béatrice Massimo ( décédée en 1960 ) , à la poste du Reich en 1941 ! …

2/ Compte tenu de la très forte ressemblance existant entre l’urne de 1894 et celle de 1975, qui pour nous sont 2 urnes différentes, il est parfaitement compréhensible que le témoignage que vous présentez soit tout à fait sincère et authentique ! Mais ne peut-on pas se tromper en toute bonne foi ? …

3 / Enfin et surtout il faudrait qu’on nous explique comment la princesse Marie-des-Neiges Massimo a pu expliquer que le "coeur de Louis XVII" remis à la France en 1975, lui était parvenu par héritage de la duchesse d’Angoulême et du comte de Chambord ! …

—–
Rappel de notre esquisse chronologique publiée sous le titre " Autour du ” coeur de Louis XVII ” (31)"

” 22 avril 1941 : la princesse Béatrice Massimo, héritière de son frère don Jaime, vend le chateau de Frohsdorf à la Poste du Reich allemand. La chapelle est fermée au culte public. Avant la vente, la princesse Massimo a apporté des objets précieux à Meierhof où elle vivait, en sécurité ; mais Meierdorf, sera détruit à une date qui nous est encore inconnue par un bombardement ! ”

1945 La Princesse Béatrice Massimo s’installe en Italie où elle meurt en 1960.

1945 Les troupes soviétiques occupent le château et le dévastent presque totalement.
*** Ou bien le ” coeur Pelletan-Louis XVII ” a disparu à jamais dans cet évènement ;
*** ou bien ce viscère s’y trouve encore ! …

1975 : la princesse Marie-des-Neiges Massimo ( Vve Piercy ) et fille de Béatrice Massimo ( décédée en 1960 ) déclare à l’occasion de la remise du “coeur de Louis XVII ” à l’Institut de la Maison de Bourbon que sa famille l’a reçu par héritage, de la duchesse d’Angoulême via le Comte de Chambord.
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Re: Le point de vue Naundorffiste

Message par Antonio » Jeudi 16 Décembre 2010 21:07:52

"1945 Les troupes soviétiques occupent le château et le dévastent presque totalement.
*** Ou bien le ” coeur Pelletan-Louis XVII ” a disparu à jamais dans cet évènement ;
*** ou bien ce viscère s’y trouve encore ! …"

"a disparu à jamais dans cet évènement "


Comment vous pouvez declarer une sentece come ça??

Vous etiez la?
Est demontré par des historiens que le chateau a été vidé avant cette attaque, C'est normal, non?

Avant de faire des sentences il faudrait se documenter sur les evenements et ne pas tirer des conclusions personnelees
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Re: Le point de vue Naundorffiste

Message par raphael charles » Vendredi 17 Décembre 2010 11:09:54

Carissimo Antonio,

J'ai écrit " OU BIEN " ... " OU BIEN " ...

Connaissez-vous le sens de cette expression, SVP ?

Si vous connaissez une autre hypothèse merci de bien vouloir nous la donner et d'éliminer un doute que vous venez de faire naître :
selon vous le coeur analysé en 2000 et inhumé à saint Denis depuis le 8 juin 2004, serait-il le même que le coeur du fac-similé de 1894 et remis à don Carlos le 2/07/1895 ?

En ce qui me concerne, l'alternative semble être aujourd'hui la suivante :

1 / OU BIEN le coeur de 1894/1895 est inhumé dans un caveau de l'église paroissiale de Lanzenkirchen, si le témoignage d'Otto Friedrichs de 1911 est partiellement fiable ... Dans ce cas Otto Friedrichs aurait confondu l'église de Lanzenkirchen avec la chapelle du château de Frohsdorf ... Pour les détails de cette argumentation, merci de bien vouloir vous reporter aux dernieres informations postées sur http://cril17.org/

2 / OU BIEN il a disparu on ne sait où ...

Pour la 1ère hypothèse, j'attends une réponse à 3 courriers différents envoyés en Autriche à des personnes susceptibles de nous donner des informations crédibles ...
raphael charles
 
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Re: Le point de vue Naundorffiste

Message par Antonio » Dimanche 19 Décembre 2010 11:50:14

Bonjour
La comtesse de Chambord, Marie Thérèse Beatrix Gaetane
laissa le chaeau de Frohsdorf à don Jaime, Jacques de Bourbon, Duc d'Anjou.
Apres la mort de ce dernier en 1931, les archives, les byjoux, la bibliotheque, les meubles et les souvenirs
viennent vendus à l'encheres et disperdus par nombreux collectioneurs



(Jean-Paul Bled: Les Lys en exil ou la seconde mort de l Ancien régime, Fayard, 1992)
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Re: Le point de vue Naundorffiste

Message par Antonio » Dimanche 19 Décembre 2010 20:53:29

Bonsoir
Oscar de Incontrera (Incontreras) erudit né en 1901 dessendant de famille espagnole
tres attaché à la branche Bourbons d'Espagne et aux evenements lié par l'histore Charliste
et la ville de Trieste.

Erudit tres documentè sur cette histoire.

C'est pour ça que, Oscar de Incontrera, minimise l'importance du manuscrit de Trieste , etant partisan de la branche Bourbons d'Espagne.

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Re: Le point de vue Naundorffiste

Message par BRH » Vendredi 08 Juillet 2011 11:04:39

d'Artagnan
avril 5th, 2011 at 19:27

Même si je ne suis pas Naundorfiste. Cela ne nous emêche pas de nous pose « quelques » questions que ce pose le document qui suit: http://naundorffisme.free.fr/Reponses.htm

et de lire principalement le document qui montre comment Naundorff a été traité par la justice:
http://naundorffisme.free.fr/La%20justi ... 20XVII.pdf

Les injustices commises à l’égard de Naundorff

Il n’est pas sans intérêt de considérer l’attitude du Pouvoir tant en Prusse, qu’en France et en Angleterre, vis-à-vis de Naundorff, attitude toute d’hostilité pour ne pas dire plus. Car comment expliquer autrement, toutes ces pièces volées, tous ces actes arbitraires et illégaux, enfin ces dénis de justices à l’égard de Naundorff.

Voici une énumération, sèche, mais saisissante, de ces faits, tous prouvés par des documents authentiques :

1° Les pièces volées.

Si Louis XVII était réellement mort au Temple, il serait inadmissible que la plupart des documents concernant l’enfant royal aient été soustraits. Or :

- Impossible de trouver les originaux des déclarations de décès, procès-verbaux d’inhumation et acte de décès du prisonnier du Temple. Ils ont été cherchés en vain par Napoléon, par la Restauration, sous Louis-Philippe. Les Archives interrogées, déclarent ne rien savoir. Et l’un de ces actes, déposé aux Archives de la Police parisienne, y a disparu en 1870 ! Seul un historien, M. de Beauchesne, partisan farouche de la mort de Louis XVII au Temple, en 1853, aurait trouvé les originaux. Mais les fac-similés qu’il en donne, ne sont pas légalisés et les diverses copies qui existent de ces actes, sont, toutes, différentes entre elles !

- Personne n’a trouvé les procès-verbaux que le député Sevestre annonçait devoir être déposés aux Archives de la Convention, après le décès du 8 juin 1795, procès-verbaux relatant ce décès et annoncés par le Moniteur du 23 prairial an III (11 juin 1795).

- Ont disparus les deux lettres remises au Comité de Sûreté Générale le 28 octobre 1794 qui déclenchèrent la visite au Temple, en pleine nuit, de deux de ses membres, Reverchon et Goupilleau de Fontenay, ainsi que le rapport qu’ils lui firent de cette inspection.

- Où est le texte d’un décret lancé le 16 floréal an III (5 mai 1795) ordonnant l’arrestation du Dauphin évadé ? Décret vu par les conventionnels Courtois, Cambacérès, Chazal, etc…

- Le conventionnel Courtois avait en sa possession, parmi des papiers se référant à l’évasion du Temple, un manuscrit sur le rôle du Comte de Provence pendant la Révolution. Tous ses papiers lui furent pris lors de sa mort en 1816. Une partie seulement fut rendue à son fils, chez qui on perquisitionna, une fois encore, six ans après la mort du Conventionnel !

- Cambacérès, membre du Comité de Sûreté Générale, au courant de l’évasion, en a souvent témoigné. Fait duc par Napoléon, et archi-chancelier de l’Empire, il reçut dès 1818 des lettres de grâce de Louis XVIII qui le ménagea ostensiblement. Mais, dès sa mort, le 8 mars 1824, celui-ci fait séquestrer tous ses papiers.

- Les papiers du conventionnel Prieur de la Côte-d’Or, contenant, paraît-il, la preuve de l’évasion du Temple, étaient, en 1912, entre les mains de M. Arbelet, avocat à la Cour de Cassation de Dijon. Pourquoi, malgré de nombreuses demandes, ne sont-ils pas livrés au public ?

- Pourquoi la disparition totale du dossier du Petitval, ce banquier de Barras et Cambacérès, entre autres, qui avait été chargé par Malesherbes, sur l’ordre de Louis XVI, des intérêts du Dauphin ? Il fut assassiné le 21 avril 1796 avec 5 membres de sa famille, et jamais les assassins ne furent découverts !

- Le docteur Desault soigne l’enfant du Temple. Il fait un rapport sur l’état du malade. Le texte de sa déclaration est indiqué dans la table du Moniteur comme devant se trouver au n° 263 du Journal Officiel et ce n° 263 ne contient rien de tel !

- Barras, incontestablement l’un des principaux instigateurs de l’évasion de Louis XVII, fut exilé sous Napoléon. Et au retour de Louis XVIII, il revint s’installer tranquillement dans sa villa de Chaillot sans être inquiété, en particulier par la loi bannissant les régicides. Mais en janvier 1829, dès après sa mort, tous ses papiers ont été enlevés par les soins de la police… et demeurent introuvables !

- Pourquoi l’exemplaire déposé aux Archives Nationales de la Proclamation de Charrette de fin 1795, qui parle du Dauphin évadé, a-t-il subi une découpure faite aux ciseaux juste à ce passage ?

- Le gardien du Temple, Lasne, remet, le 9 germinal an IV (30 mars 1796) à Bénézech, ministre de l’intérieur du Directoire, le registre-journal du Temple (qui fut consulté par Madame de Tourzel fin 1795), contre reçu. Ce registre est aujourd’hui introuvable !

- Pourquoi M. de Hardenberg, ministre prussien, a-t-il gardé les quelques pièces que Naundorff avait remises au gouvernement prussien peu après son arrivée en Prusse ? Pourquoi ce refus de les rendre ?

- Naundorff se réfugia dans la ville de Spandau, de 1812 à 1822. Pourquoi les papiers du gouverneur de cette ville ont disparu ?

- Pourquoi les documents de Pezold, ami de Naundorff et syndic à Crossen, ont-ils été saisis par le gouvernement prussien, qui a gardé aussi une autobiographie de ce même Naundorff ?

- Pourquoi les récits de Naundorff faits à Brandebourg et à Crossen ont-ils disparu ?

- Pourquoi le dossier de Frotté a-t-il disparu des archives de l’Orne après 1812, Frotté qui a pris part active à l’évasion qu’il a payé de sa vie (il fut assassiné au cours d’un guet-apens en 1800).

- Un rapport de police du 21 mai 1817, aux Archives Nationales, fait allusion aux « pièces authentiques du dossier 43.184 » de la Sûreté Générale. Ce dossier a disparu !

- Au mois d’octobre 1817, le Ministère de la Justice transmettait au ministère de la Police Générale « vingt pièces relatives aux dépouilles mortelles de S. M. Louis XVII ». Pourquoi ces vingt pièces sont-elles maintenant introuvables ?

- La veuve Simon est interrogée par la police de la Restauration, le 16 novembre 1816. Le rapport, conservé aux Archives Nationales, renvoie à un « dossier Louis XVII ». Ce dernier a disparu !

- A disparu le manuscrit de Gomin.

- Ont disparu les correspondances de la famille royale que possédait le marquis de Guiry.

- Pourquoi les papiers de l’impératrice Joséphine ont-ils été saisis dès sa mort survenue le 29 mai 1814 ?

- Ont disparus les documents détenus par l’avocat Bourbon-Leblanc, avec, entre autres, un testament de Monsieur de Joly.

- Les papiers scellés de Louis XVIII ont été détruits sitôt après sa mort ? Pourquoi ?

- Pauline de Tourzel, devenue par la suite Comtesse de Béarn, a reconnu Louis XVII en Naundorff. Pourquoi sa correspondance a-t-elle disparu ?

- Ont disparus tous les papiers de Monsieur de Repentigny concernant son enquête sur Naundorff demandée par le duc de Berry.

- A disparu la note adressée au juge Schultz par Naundorff pour protester contre le fouet.

- Ont disparus les deux mémoires adressés par Pezold au roi Frédéric-Guillaume III de Prusse, et toutes les archives de Pezold et Lauriscus à Crossen parmi lesquelles des documents appartenant au Prince qu’il leur avait confiés.

- M. de Joly, dernier ministre de la Justice sous Louis XVI, attestait dans son testament politique, qu’il avait reconnu en Naundorff le fils de son royal Maître. Pourquoi ce Testament politique a-t-il disparu à sa mort en 1837 ?

- En 1836, sur commission rogatoire, fut interrogé à Vevey (Suisse) M. Brémond, sous-secrétaire d’Etat au ministère de l’Intérieur sous Louis XVI. Pourquoi cet interrogatoire a-t-il disparu des minutes de ce greffe ? Est-ce parce qu’il reconnaissait formellement l’identité Naundorff-Louis XVII ? Mgr Charles-Louis-Edmond de Bourbon possède une copie authentique officielle du procès-verbal de la déposition de Monsieur de Brémond reconstitué grâce à la copie adressée au Tribunal de la Seine.

- Ont disparu les archives des dossiers d’Entraigues et de Montgaillard.

- La Prusse avait envoyé des notes diplomatiques à la France. Ces notes ont été déposées aux Archives des Affaires Etrangères. Or, actuellement, elles ont toutes disparu !

- Le gouvernement français, avant d’expulser Naundorff, a enlevé, le 15 juin 1836, 202 pièces réunies par lui le jour où il aurait des juges. Une ordonnance de non-lieu ayant été rendue en janvier 1841, pourquoi le gouvernement français a-t-il gardé ces documents saisis illégalement ? Naundorff les réclama. Dans le dossier de police « Naundorff » aux Archives Nationales, se trouve sa réclamation, ainsi qu’un échange de correspondance – 26 lettres – entre trois ministères pour communication de certaines de ces pièces, dont aucune ne figure dans ce dossier. (Ce dossier de police atteste donc formellement de l’existence des documents pris à Naundorff, contrairement à ce que prétendent ses détracteurs). Ils ne lui furent jamais rendus, ni à lui, ni à sa famille, mais pourtant bon nombre d’hommes d’Etat les ont consultés au Quai d’Orsay ou à l’Hôtel Matignon : Jules Favre, Clemenceau, Boissy d’Anglas, Viviani, Aristide Briand, Paul-Boncour, Pierre Laval, etc.

- Sous tous les gouvernements, les livres en faveur de Richemont et des autres faux-dauphins, circulaient librement. Pourquoi les livres en faveur de Naundorff, en particulier ceux de Gruau de la Barre étaient-ils arrêtés à la frontière et saisis ?

- Pourquoi la disparition totale du dossier relatif à la mort (sinon l’assassinat) du vieux Duc de Bourbon, trouvé pendu à son espagnolette ? Lui qui possédait un « redoutable secret »…

- Pourquoi a-t-on refusé à Gruau de la Barre, ancien avocat sous Charles X et partisan de Naundorff, de lui communiquer les Actes Officiels de la Convention, du Directoire, du Consulat, de l’Empire et de la Restauration ?

- Lors du procès en 1873 en reconnaissance d’état civil, le gouvernement français, républicain, interdit l’introduction des photographies de la famille de Naundorff, dans lesquelles éclataient les ressemblances avec Louis XVI, Marie-Antoinette et autres membres de la famille royale. Pourquoi cette interdiction ?

- Pourquoi, au cours de ce même procès de reconnaissance d’état civil les juges ont-ils interdit tout témoignages et refusé toute enquête ? Etc.

- La « déclaration testamentaire » de la duchesse d’Angoulême qui devait être ouverte cent ans après sa mort, en 1951, déposée au Quai d’Orsay et au Vatican, et dont il n’y a soi-disant plus trace… Une lettre du 21 décembre 1992 des Archives Secrètes du Vatican spécifie « que les inventaires et les autres moyens de recherche à notre disposition n’indiquent pas de trace sur l’existence de documents regardant vos demandes (dossiers duchesse d’Angoulême, de Bourbon, Naundorff). Il faudrait donc prendre en main de nombreux volumes et dossiers pour voir s’il y a quelque allusion à ces questions »… (Sic)

- Le mémoire original du docteur Jeanroy qui a participé à l’autopsie du Temple avec les docteurs Pelletan, Dumangin et Lassus ; connaissant le Dauphin, il a donc constaté que le mort n’était pas Louis XVII, mais s’est tu, ne voulant pas subir le sort du docteur Desault et de ses assistants. Ce document qui, lui aussi, devait être ouvert cent ans après sa mort, fut lu et résumé par son petit-neveu le colonel Jeanroy : il affirmait que l’enfant autopsié ne portait pas les cicatrices d’inoculation, ni la cicatrice de la blessure légère à la lèvre supérieure qu’il avait recousue lui-même à la suite de la morsure d’un lapin blanc apprivoisé, ni le « naevus maternus à la cuisse, tache de vin de couleur rosée affectant vaguement la forme d’une colombe », par conséquent cet enfant n’était pas Louis XVII. Il affirmait aussi que la première substitution avait été faite par Chaumette et que les frères de Louis XVI étaient au courant, mais prétextaient de la calomnie selon laquelle le Dauphin était le fils adultérin de Fersen pour justifier leurs prétentions. Ce document fut détruit par fait de la guerre 1914-1918, après sa lecture par son neveu.

- A disparu le dossier de correspondance relatives à Louis XVII de Mgr de Saint-Marsault.

- Ont disparus les documents originaux recueillis par M. Suvigny vers 1850, ainsi que les documents réunis par le vicomte d’Aragonès d’Orcet et par M. le Normant des Varannes.

- Ont disparus les papiers de Botot vus par l’historien Dulaure.

- Ont disparus les papiers du docteur et ancien municipal Lorinet.

- Ont disparus les papiers laissés à Vienne par Madame Royale. Les papiers de sa main qu’elle a laissés à sa mort, détruits par son ordre express par le comte de Montbell, un de ses exécuteurs testamentaires. (Elle a interdit l’autopsie de son corps, qui aurait dû, comme celui de son frère, comporter un naevus maternus, mais à un autre endroit, connu du Dauphin).

- Ont disparus les archives de la famille Hohenzollern relatives à Louis XVII-Naundorff.

- Ont disparus les mémoires de Marie Leschot (1834-1919), petite-fille de Suzanne Catherine Leschot, née Himely (1755-1845), concernant les passages de Louis XVII en Suisse, dont se sont servis les écrivains Macquat et Naville et qui ont disparu depuis lors.

- Ont disparus les papiers du gardien du Temple Laurent devenu secrétaire aux Antilles de Victor Hugues, agent du gouvernement de la Guyane. Laurent remit des paquets scellés concernant les affaires de la révolution à la Cour d’Appel de Cayenne le 22 décembre 1802 (Il est mort en 1807).

- Ont disparus les mémoires et manuscrits de l’abbé Fustier, vicaire général de Tours, que le Prince avait chargé d’une mission à Paris, et qui d’ailleurs mourut en cours de route.

- Les archives Decazes au château de la Grave en Gironde, explorées par Ernest Daudet, puis par le préfet Langeron, contenaient près de 2000 lettres de Louis XVIII à Decazes et – écrit le duc de Castries – grâce à elles « ont éclaircirait bien des secrets dont peut-être celui de Louis XVII. »

- A disparu le rapport du docteur Milcent remis en novembre 1846 au curé Haumet qui concluait « qu’il me semblait démontré que les ossements étaient bien ceux de l’enfant détenu au Temple au moment de la visite du commissaire Harmand et dont l’autopsie avait été faite peu de temps après par les docteurs Dumangin, Pelletan, Lassus et Jeanroy et qui avait été enterré dans le cimetière Sainte-Marguerite. Mais qu’il était absolument impossible d’admettre que ce squelette fut celui d’un enfant de dix ans et quelques mois et qu’il ne pouvait appartenir qu’à un jeune garçon de 15 à 18 ans. » Le docteur Milcent refit ce rapport en 1854.

- En fin, a disparu le dossier de police secrète de Potsdam, constitué dès 1794 par Hardenberg, alimenté par Le Cop à partir de 1810, qui permit à la Prusse, en 1845, de donner au Roi Guillaume II des Pays-Bas la certitude de l’identité Naundorff-Louis XVII. Il fut vu par le chancelier Bismarck, le chancelier von Bülow, le fils du Kaiser, qui en témoignèrent : existe-t-il toujours et qui l’ouvrira enfin ?

2° Injustices à l’égard des témoins

Pour empêcher Naundorff de faire éclater aux yeux de tous la véracité de ses affirmations, ce n’était pas assez de détruire toutes les pièces de première importance. Non : il fallait inquiéter quiconque aurait l’intention de témoigner pour lui devant une Cour de Justice. On arriverait ainsi à la suppression des témoins.

Elle est bien longue la liste de ceux qui furent non seulement inquiétés, mais persécutés, quelques-uns mêmes supprimés, parce qu’ils se dévouèrent à une cause humainement perdue.

- Le 1er juin 1795, le docteur Desault meurt rapidement, trop rapidement, après avoir soigné l’enfant prisonnier au Temple. Quelques jours après lui, disparaissent, non moins mystérieusement, ses amis et collaborateurs, les docteurs Choppart et Doublet. Poison ?

- Pourquoi les 4 porteurs du cercueil de l’enfant mort au Temple le 8 juin 1795, au cimetière de Sainte-Marguerite, firent-ils, de l’aveu même de l’entrepreneur des Pompes Funèbres, leur employeur, une mort aussi funeste que les trois médecins ? Poison ?

- Le Comte Louis de Frotté, qui savait trop de choses et avait fait évader un enfant le 4 juin 1795 – qui n’était pas le Dauphin, mais le substitué Tardiff – est fusillé par ordre de Bonaparte qui le fait tomber dans un guet-apens (18 février 1800).

- Pichegru, dont le nom figure sur le cachet de l’évasion, est trouvé étranglé dans sa prison (6 avril 1804).

- Avant eux, Hoche était mort d’une maladie mystérieuse après avoir, dit l’Histoire, offert un grand dîner à des hommes de tous les partis qu’il prétendait et espérait réunir (19 septembre 1797). A-t-il été empoisonné à cause de l’existence de Louis XVII ?

- L’impératrice Joséphine mourut non moins promptement, le 29 mai 1814, après une entrevue avec le tsar Alexandre Ier, dont le médecin, sir James Wylie, dit au docteur de Carro qu’il était convaincu de son empoisonnement. Or Joséphine avait été un des rouages de l’évasion de Louis XVII…

- Après 1814, les indiscrets qui jasent trop au sujet de l’évasion du Temple sont poursuivis par la police : Caron qui avait soigné le Dauphin en prison, qui avait informé la Duchesse d’Angoulême de l’évasion de son frère, et recevait d’elle une pension substantielle, disparaît le 4 mai 1820. Jacques Boillaut, valet de pied du Roi, est renvoyé pour indiscrétion. L’abbé Souffrant qui avait osé écrire au Roi pour lui reprocher son usurpation, est recherché par les gendarmes en 1817. Et la police dénonce quantité de personnes qui croient à l’évasion et qui sont inquiétées.

- D’après le témoignage de Mme Delmas, nourrice du Duc de Berry, et celui de Henri Pezold, syndic de la ville de Crossen où vécut Naundorff de 1812 à 1822, le Duc de Berry avait écrit au mystérieux horloger prussien : « ou vous rentrerez dans vos droits, ou j’y perdrai la vie ». La police du duc Decazes le laissa poignarder par Louvel, le 13 février 1820. Un de ses amis, le Comte de Repenties, qui, sur son ordre, avait été visiter l’horloger, mourut : également assassiné !

- Bientôt, le malheureux Naundorff est emprisonné pour s’être dit « prince natif » et avoir laissé soupçonner qu’il appartient « à l’Auguste Maison des Bourbons » (1825-1828). Libéré, il réclame ses droits avec une vigueur accrue, aidé par le syndic Pezold. Celui-ci meurt empoisonné (mars 1832). Son successeur Lauriscus épousant la même cause, disparaît à son tour, empoisonné aussi, quelques semaines après !

- Le voyant Martin de Gallardon, ayant reconnu Louis XVII en Naundorff fut empoisonné puis étouffé, le 8 mai 1834.

- Pourquoi le Duc d’Enghien fut-il sauvagement assassiné (20-21 mars 1804) ? Erreur de personne ? Car Naundorff était aussi à Ettenheim ce même jour ! Faut-il rappeler le mot de Fouché : « c’est plus qu’un crime, c’est une faute » ?

- Pourquoi la famille du Petitval, ancien ambassadeur de France en Chine, mandataire privé de Louis XVI, chargé des intérêts du Dauphin par Malesherbes, sur l’ordre de Louis XVI, fut-il assassiné en 1796 avec 4 membres de sa famille et plusieurs serviteurs ? Rappelons que son « dossier » a disparu… et les assassins jamais retrouvés.

- Pourquoi l’assassinat de Fualdès, le 19 mars 1817, magistrat à Rodez. Est-ce parce qu’il avait été le confident de Duroc, lui-même confident de Joséphine et de Bonaparte ? Est-ce parce qu’il avait été au courant de l’évasion du Temple, et détenait des documents établissant de façon probante la survie de Louis XVII et son identité avec Naundorff ?

- Pourquoi Frédéric Leschot, ancien compagnon du Dauphin, fut-il assassiné le 10 mai 1835 par Roussel, qui tenta peu après d’assassiner Naundorff ?

- Pourquoi Geoffroy, archiviste des Deux-Sèvres, fut-il révoqué pour sa croyance à l’identité Naundorff-Louis XVII ?

Pourquoi ces injustices, ces morts violentes qui frappèrent les seuls partisans de Naundorff ?


Nota : ce texte semble avoir été repris des écrits de Charles Edmond de Bourbon (décédé en 2008).
Tant que les Français constitueront une nation, ils se souviendront de mon nom !

Napoléon
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Re: Le point de vue Naundorffiste

Message par raphael charles » Vendredi 08 Juillet 2011 16:41:54

Cher Bruno,

Vos messages ( privé et ici public ) me renvoient au message posté dans ce fil le Vendredi 17 Décembre 2010 11:09:54 ! Je peux malheureusement vous confirmer que je n'ai obtenu aucune réponse de mes correspondants en Autriche ! ...

Mais depuis cette date, le trabaccolo CRIL17 a surfé sur bien des vagues, au risque parfois de se perdre dans sa navigation vers Trieste ...
raphael charles
 
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