Il n'y avait aucun "trait" dans ma proposition. Simplement l'indication de ma méthode : "essayer de comprendre". B.Coppens) ...
Essayer de comprendre restera toujours une honorable démarche.
Mais encore faut-il ne pas rejeter les idées et commentaires des autres !!
Sinon, bien sûr, ce ne sont que des mots, vides de sens.
Et votre envie de fuir signe la réalité de mes propos !
Cher Randonneur, Waterloo pouvait être gagné par Napoléon comme par l'ennemi ; mais, comme décrit par ailleurs, l'infortune du Grand Homme fut manifeste, et trop d'éléments contrariants ses plans restent à déplorer.
Mais il n'est nullement question de parler d'infériorité concernant les armées de Wellington, bien que la victoire ne lui revienne pas en nom propre.
L'ouvrage très intéressant de Jean-Marc Largeau, agrégé d'Histoire et maître de conférence à Tours "La Défaite glorieuse de 1815 à nos jours",
cite à ce propos un historien allemand, H.Delbrück, écrivant ceci après 1918 :
"Même si Napoléon n'a pas réussi à vaincre des ennemis supérieurs en nombre, sous le commandement de Wellington et Gneiseneau, le fait qu'il ait failli être victorieux et qu'il soit finalement vaincu, non dans la honte, mais avec honneur, lui a donné personnellement un inoubliable éclat, et a contribué pour son peuple une source de force spirituelle, d'où il a puisé une nouvelle vie" ... 