Addendum premier message.
Le lien avec histoforum n'est plus activé et toutes notres messges semblent être disparu, parce que Histoforum n'est plus un forum mais une bibliothèque maintenant.
Mon lien du BBC a un "point" de trop dans le URL.
Le correct est:
Comment est Hitler venu au pouvoir?
http://www.bbc.co.uk/dna/mbhistory/F223 ... ad=3829766
Un autre:
http://www.bbc.co.uk/dna/mbhistory/F223 ... ad=1852839
L' essence du deuxième URL est:
"The Kaiser and his court: Wilhelm II and the Government of Germany" Cambridge University Press 1966. par John C. G.-Röhl.
Dans ce livre l'auteur dit que la culpabilité de Guillaume II était très grande.
Aussi Heinrich August Winkler: "Der lange Weg nach Westen" (le long chemin vers l'Ouest). Winkler appelait le chemin vers l'Ouest et vers la démocratie: le "Sonderweg" (le chemin spécial). Et il prend l'arrivé de la démocratie après la réunification. Et je suis d'accord avec lui.
De tout ça, c'est mon opinion que l'Allemagne n'avait jamais eu une démocratie complête comme par exemple la Grande Bretagne ou la France (dans sa Troisième République). J'admets néanmoins que l'Allemagne n'était pas pire que par exemple une Russie, ou une Hongrie-Autriche.
Mon message 12 dans le deuxième "thread" du BBC:
Friedrich-Wilhelm I, le Roi-Sergeant, introduisait une révolution d'en haut, bassée sur simplicité, économie, et du travail dur. Quelque Calvinism obligé d'en haut. Aussi une système d'éducation avec l'apprentisage après l'école, cherchante pour qualité et perfection. ça résultait dans une performance assez haute dans les secteurs de la production et dans les domaines de pointe.
J'explique le "Sonderweg" de Winkler avec un livre que j'ai lu:
"Les Allemands du XXe siècle 1890-1990: histoire d'une indentité" par Christian von Krockow Paris Hachette 1990 (en Allemand dans l'original: Die Deutschen in ihrem Jahrhundert)
La société Wilhelmiène avait un classe moyenne incorporante un tas de professions, comme entrepreneurs, agents d'état, jounrnalistes, ingénieurs, avocats, des gens retraités, mais ils n'avaient pas une "indentité". La seule référence était et reste "l'État", la seule pancarte suprème et paternaliste. Le jeune Thomas Mann l'appelait: "Général Dr von Staat".
Bien que la révolution industrielle valait des sueurs et des larmes pour les masses, l'Allemagne impériale était bon pour les travailleurs et on avait une améliorisation constante des salaires et plus important des lois sociales dès que 1839 en Prussie, qui était suivie par les autres "Länder". Les lois sociales étatient principalement pour éviter des tensions avec les travailleurs.
En Prussie et après dans l'Allemagne impériale c'était l'état autoritaire dirigé par une aristocratie dévouée, qui donne le pas. Les classes moyennes n'avaient longtemps pas d'autre possibilité que d'aller dans la service d'état pour avoir sécurité et prestige. Et là seulement en grimpant par "éducation" sur la longe échelle d'une sévère formation. Et ainsi l'État pouvait recruter à l'aise de l'élite intellectuelle des classes moyennnes.
Le repoussement de la révolution "Bourgeoise" de 1848 et la réalisation de unification de 1870 dans le "Deuxième Reich" par l'ancien état autoritaire était la cause que l'orientation double des Libéraux: d'union "et!" de liberté qui finissait dans le "seul" nationalisme.
L'essence de l'état selon Bismarck était "pouvoir" envers des dangers internes et externes, basé sur une armée bien trainée. Pouvoir tout court, sans trop de principes et de théories. . La submission de la classe moyenne était aussi nourrie par la peur des Socialistes émergants.
En 1871 le recteur de l'université de Berlin parlait du "régiment" "intellectuel" de la Garde des Hohenzollern.
Cordialement,
Paul.