Joker a écrit :
La RTBF est une télévision de service public malheureusement sous la coupe réglée des politiciens.
Chaque parti au pouvoir essaie d'y placer ses pions et cela nuit à la bonne marche de la maison.

Ce n'est pas tellement cela qui détermine le contenu des programmes. La RTBF fonctionne beaucoup à l'économie et supprime progressivement toutes ses émissions qui ne font pas suffisamment recette tout en maintenant toutefois quelques émissions d'information de bonne qualité.
Joker a écrit :
RTL-TVI est aux mains du secteur privé et est donc un peu le pendant de TF1 à l'échelle de la Belgique.
La comparaison avec M6 est sans doute plus juste puisqu'il s'agit du même groupe. RTL-TVI n'a guère pas d'émission. C'est surtout une chaîne de diffusion de films et de séries.
Joker a écrit :
Les émissions littéraires susceptibles d'accueillir Bruno sont "Si j'ose écrire"
Ce n'est pas le créneau. "Si j'ose écrire" semble plutôt spécialisé dans les auteurs de roman à faible diffusion.
Joker a écrit :
et "Noms de dieux" (RTBF).
Ce serait amusant. Le rapport avec le titre de l'émission serait le culte de Napoléon. Mais, là aussi, il s'agit d'une émission qui s'adresse à un public réduit.
Joker a écrit :
Sur RTL-TVI, je ne vois guère que l'émission "Controverse", mais elle aborde plutôt l'actualité politique ou des faits de société. Pas d'émission littéraire spécifique sur cette chaîne à ma connaissance.
Le titre même de l'émission laisse entendre qu'il faut une bonne bagarre sur le plateau pour faire une bonne émission. La RTBF s'est lancé dans le même créneau avec "Lieu public". Quand on s'est bien étripé, les techniciens estiment que c'est réussi.
Joker a écrit :
Par contre, l'animateur de l'émission, Pascal Vrebos, me semble nettement plus accessible...
Peut-être qu'un article dans la presse belge pourrait servir de tremplin idéal à un intérêt des médias.

Il n'est sans doute pas évident d'intéresser le public belge à la question de la présence de Napoléon dans le sarcophage des Invalides. Inutile de compter sur une mobilisation de l'opinion en faisant vibrer l'indignation nationale parce que les Anglais l'auraient méchamment escamoté. Mais il y a peut-être d'autres moyens d'utiliser les "complexes" des petits Belges
