Au passage de la Bérézina, Napoléon fit appliquer un plan, simple comme bien souvent, mais doté de toutes les chances de succès ...
Ce plan sauva l'armée et porta un grand coup à l'ennemi.
Ceci valut au Grand Homme l'hommage de deux historiens militaires américains, qui s'exprimèrent en ces termes :
"-La Grande Armée était peut-être mourante, mais ni l'hiver, ni la faim, ni les fleuves, ni l'écrasante supériorité de l'ennemi en hommes et en canons ne parvenaient à l'arrêter. Elle les vainquait et les écrasait, et elle continuait.
Et, avec elle, émergeant du désastre, marchait le prestige de Napoléon ...
On ne doit jamais désespérer quand des braves restent groupés autour de leurs drapeaux ...'
