L'Énigme des Invalides

Ne faut-il pas savoir adapter son humour à son public ?

Je ne vous poursuis pas, camarade.
J'ai juste la politesse élémentaire de répondre du tac au tac à vos piques.
Quand je ne le fais pas, vous prétendez que je suis à court d'argument.
Il serait temps de vous mettre d'accord avec vous-même...

Pris entre le marteau et l'enclume, l'apprenti Jésuite jette l'éponge.

Peu importe vos propos à mon égard Joker. . . Vous ne savez pas vous arrêter, un peu comme le rouleur compresseur rouge en 1945. . .
Je vous le dis et vous le répète, je vous aime car vous êtes mon prochain, et vos piques répétées ici et là ne diminueront pas ma piété. De toute façon je vous pardonne vos offenses, comme j'espère que vous me pardonnez les miennes.

Bien à vous.

Je m'arrête quand je n'ai plus rien à dire, camarade.
Ce qui n'est pas toujours le cas de tout le monde.
Vos "offenses" ne m'affectent que dans la mesure où elles ont un caractère répétitif qui peut devenir lassant à la longue.
Mais je n'ai rien de personnel contre vous.
Comme quoi on peut avoir lu le Manifeste et avoir le pardon aisé.