Testament politique de Hitler ?

Les Totalitarismes à l'assaut de l'Europe !

Testament politique de Hitler ?

Message par BRH » Mardi 12 Décembre 2017 16:17:20

Daté du 4 février 1945 ?

Churchill se prend pour Pitt. Quelle erreur est la sienne! En 1793, Pitt avait trente-quatre ans.

Churchill est malheureusement un vieillard, tout juste capable d'exécuter les ordres du démentiel Roosevelt.

D’abord les situations ne sont nullement comparables. Il faut se replacer dans les conditions de l’époque. Du point de vue de l’Angleterre, Pitt avait parfaitement raison de ne pas transiger avec Napoléon. En s'obstinant comme il l'a fait, dans des conditions impossibles, Pitt préservait les chances qu'avait son pays de jouer le rôle qui fut le sien au 18ème siècle. C'était une politique de vie. En refusant de s'entendre avec moi, Churchill a entraîné son pays dans une politique de suicide. Il a commis la même erreur que commettent les généraux qui conduisent une guerre selon les normes de la guerre précédente. Il s'agit là de schémas qui ne sauraient se superposer. Le fait nouveau, c'est l'existence de ces géants que sont les États-Unis et la Russie. L'Angleterre de Pitt assurait l'équilibre mondial en empêchant toute hégémonie en Europe, en empêchant donc que Napoléon arrivât à ses fins. L'Angleterre de Churchill, tout au contraire, devait permettre l'unification de l'Europe pour maintenir cet équilibre.

Je me suis efforcé d'agir, au début de cette guerre, comme si Churchill devait être capable de comprendre cette grande politique. Il était capable, dans un moment de lucidité, de la comprendre.

Mais il est depuis trop longtemps lié aux Juifs. Mon idée, en ménageant les Anglais, était de ne pas créer l'irréparable à l'Ouest. Plus tard, en attaquant à l'Est, en crevant l'abcès communiste, j'ai eu l'espoir de susciter une réaction de bon sens chez les Occidentaux. Je leur donnais l'occasion, sans y participer, de contribuer à une œuvre de salubrité, nous laissant à nous seuls le soin de désintoxiquer l'Occident. Mais la haine qu'éprouvent ces hypocrites pour un homme de bonne foi est plus forte que leur instinct de conservation. J'avais sous-estimé la puissance de la domination juive sur les Anglais de Churchill. Ils préfèrent en effet sombrer dans la déchéance plutôt que d'admettre le National-Socialisme. Ils eussent admis à la rigueur un antisémitisme de façade de notre part. Mais notre volonté inébranlable de miner à sa base la puissance juive dans le monde, ils n'ont pas un estomac assez solide pour digérer cela !

Le génie de Pitt, c'est d'avoir pratiqué une politique réaliste, en fonction des données du moment. Une politique qui a permis l'extraordinaire essor de son pays et qui lui assura la suprématie mondiale au cours du 18ème siècle. La copie servile de cette politique, et sans tenir compte de circonstances qui ne sont plus les mêmes, ce qu'a fait Churchill, est une pure absurdité. C'est que le monde a changé depuis le grand Pitt ! Si les changements ont été relativement lents pendant un siècle, la première guerre mondiale les a précipités, et la présente guerre nous a conduits à des échéances.

Au début du 18ème siècle, du point de vue de la puissance, l'Europe seule comptait. Les grands empires asiatiques étaient tombés dans un sommeil qui ressemblait au sommeil de la mort. Le Nouveau Monde n'était qu'une excroissance de l'Europe, et personne, raisonnablement, ne pouvait prévoir le prodigieux destin des treize colonies anglaises qui venaient de s'émanciper. Treize ! Moi qui ne suis pas superstitieux, cela m'inciterait à le devenir ! Ce nouvel Etat de quatre millions d'habitants qui s'agrandit démesurément en l'espace de cent ans pour accéder, au début du 20ème siècle, à la puissance mondiale...

Dans la période décisive qui se situe entre 1930 et 1940, la situation était toute différente de ce qu'elle était du temps de Pitt et de Napoléon. L'Europe, épuisée par la grande guerre, avait perdu sa primauté, son rôle directeur n'était plus reconnu. C'était encore l'un des centres d'attraction de la planète mais qui perdait de plus en plus de son importance - à mesure que s'accroissait la puissance des Etats-Unis d'Amérique, celle du colosse Russo-asiatique, celle enfin de l'Empire du Soleil Levant.

Si le destin avait accordé à une Angleterre vieillissante et sclérosée un nouveau Pitt au lieu de ce demi Américain ivrogne et enjuivé, ce nouveau Pitt eût aussitôt compris que la traditionnelle politique d'équilibre de l'Angleterre devait s'exercer à une autre échelle, à l'échelle mondiale. Au lieu de maintenir, de susciter et d'exciter les rivalités en Europe, afin qu'y persistent les divisions, l'Angleterre devait tout au contraire laisser se faire l'unification de l'Europe, à défaut de l'encourager. Alliée à une Europe unie, elle conservait la possibilité de jouer un rôle d'arbitre dans les affaires du monde.

Tout se passe comme si la Providence avait voulu punir Albion des nombreux crimes qu'elle a commis au cours de son histoire, ces crimes qui ont fait sa force. L'arrivée de Churchill, à une période décisive pour l'Angleterre et pour l'Europe, c'est la punition choisie par la Providence. C'était l'homme qu'il fallait à l'élite dégénérée de Grande-Bretagne. C'est à ce Barnum sénile qu'il appartenait de décider de ce que serait le sort d'un immense empire et en même temps celui de l'Europe. L'on peut se demander si le peuple anglais a conservé, à travers la dégénérescence de ses élites, les qualités qui justifièrent sa domination sur l'univers. J'en doute, car chez lui nul sursaut ne s'est produit, semble t'il, pour répondre aux erreurs de ses chefs. De nombreuses occasions se sont présentées pourtant qui eussent permis à l’Angleterre de se lancer hardiment dans une voie nouvelle et féconde.

Il lui était possible, si elle l’avait voulu, de mettre fin à la guerre au début de 1941. Elle avait affirmé sa volonté de résistance dans le ciel de Londres, elle avait à son actif les humiliantes défaites des Italiens en Afrique du Nord. L’Angleterre traditionnelle eût fait la paix. Mais les Juifs ne l’ont pas toléré. Ses hommes de main, Churchill et Roosevelt, étaient là pour l’empêcher.

Cette paix pourtant eût permis de tenir les Américains à l’écart des affaires de l’Europe. Celle-ci, sous la direction du Reich, se serait rapidement unifiée. Le poison juif éliminé, cela devenait chose facile.

La France et l’Italie, battues à tour de rôle et à quelques mois de distance par les deux puissances germaniques, s’en seraient tirées à bon compte. L'une et l'autre auraient dû renoncer à une politique de grandeur hors de saison. Elles eussent renoncé du même coup à leurs prétentions en Afrique du Nord et au Proche-Orient, ce qui eût permis à l'Europe de faire une audacieuse politique d'amitié à l'égard de l'Islam. Quant à l'Angleterre, débarrassée de ses soucis européens, elle pouvait se consacrer entièrement au salut de l'Empire. L'Allemagne enfin, ses arrières étant assurés, pouvait se jeter à corps perdu dans ce qui constituait sa tâche essentielle, le but de ma vie et la raison d'être du National-Socialisme : L'écrasement du bolchevisme. Cela entraînait comme conséquence la conquête des espaces, à l'Est, qui doivent assurer l'avenir du peuple allemand.

Les lois de la vie comportent une logique qui ne se confond pas nécessairement avec notre logique.

Nous étions disposés à des compromis, prêts à jeter nos forces dans la balance pour faire durer l'Empire britannique. Et tout cela alors que le dernier des Hindous m'est au fond beaucoup plus sympathique que n'importe lequel de ces insulaires arrogants. Les Allemands seront heureux plus tard de n'avoir pas contribué à la survie d'une réalité périmée que le monde futur aurait eu de la peine à leur pardonner. Nous pouvons prophétiser aujourd'hui, quelle que soit l'issue de cette guerre, la fin de l'Empire britannique. II est touché à mort. L'avenir du peuple anglais, c'est de mourir de faim et de tuberculose dans son île maudite.

Aucun rapport entre l'obstination britannique et la résistance acharnée du Reich. D'abord, l'Angleterre avait le choix, rien ne la contraignait à se lancer dans la guerre. Non seulement elle s'y est lancée, mais elle l'a provoquée. Il va sans dire que les Polonais, s'ils n'avaient été poussés par les bellicistes anglais et français, eux-mêmes excités par les Juifs, ne se seraient pas senti la vocation du suicide. De toute façon, l'Angleterre, même après avoir commis cette erreur, pouvait encore tirer son épingle du jeu, soit après la liquidation de la Pologne, soit après la défaite de la France. Cela n'eût sans doute pas été très honorable pour elle, mais dans ce domaine son amour-propre n'est pas très chatouilleux.

Elle n'avait qu'à rejeter sur ses ex-alliés l'entière responsabilité de sa défection, comme elle et la France le firent pour la Belgique en mai 1940. Nous l'eussions d'ailleurs aidée à sauver la face.

Au début de 1941, elle pouvait, dans de meilleures conditions encore, après ses succès d'Afrique et ayant rétabli son prestige, se retirer du jeu et conclure une paix blanche avec nous. Pourquoi a t'elle préféré subir la loi de ses alliés juifs et américains, en fait plus voraces que ses pires adversaires ? Car la Grande-Bretagne n’a pas mené sa propre guerre, elle a fait la guerre que lui ont imposée ses implacables alliés.

Mais l’Allemagne n’avait pas le choix. Dès que fut affirmée notre volonté de réunir enfin tous les Allemands dans un grand Reich et d’assurer à celui-ci les conditions d’une indépendance véritable, autrement dit la possibilité de vivre, d’emblée tous nos ennemis se dressèrent contre nous. La guerre devenait inévitable du seul fait que le moyen de l’éviter eût consisté pour nous à trahir les intérêts fondamentaux du peuple allemand. Nous ne pouvions nous contenter pour lui des apparences de l’indépendance. C’est bon pour des Suédois et pour des Suisses qui sont toujours prêts à se gargariser avec des formules creuses pourvu qu’ils se remplissent les poches. La République de Weimar ne prétendait pas davantage. Mais voilà une ambition qui ne pouvait convenir au Troisième Reich !

Nous étions condamnés à faire la guerre. Notre unique préoccupation consistait donc à faire le choix du moment le moins défavorable, et il va sans dire qu’une fois engagés il ne pouvait être question pour nous de reculer. Nos adversaires n’en veulent pas seulement à la doctrine nationale-socialiste. Ils en veulent au National-Socialisme d’avoir permis l’exaltation des qualités du peuple allemand. Ils veulent donc la destruction du peuple allemand, il n’y a aucun malentendu à ce propos. Pour une fois, la haine se montre plus forte que l’hypocrisie. Merci à l’adversaire du service qu’il nous rend en nous livrant aussi clairement le fond de sa pensée !

A cette haine totale qui nous submerge, nous ne pouvons répondre que par la guerre totale. Luttant pour survivre, nous luttons désespérément. Quoi qu’il arrive, nous mènerons jusqu'à la mort notre combat pour la vie. L'Allemagne sortira de cette guerre plus forte que jamais, et l'Angleterre plus faible que jamais.

L'histoire prouve que pour l'Allemagne le malheur et l'adversité constituent souvent le prélude indispensable aux grands relèvements. Les souffrances du peuple allemand au cours de cette guerre, et il en a souffert incomparablement plus que n'importe quel autre peuple, ce sont ces souffrances mêmes qui l'aideront, si le sort est pour nous, à surmonter sa victoire. Et au cas où la Providence l'abandonnerait, en dépit de ses sacrifices et de son opiniâtreté, c'est qu'alors elle l'aurait condamné à des épreuves plus grandes pour lui permettre d'affirmer son droit à la vie.
Tant que les Français constitueront une nation, ils se souviendront de mon nom !

Napoléon
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Re: Testament politique de Hitler ?

Message par BRH » Samedi 16 Décembre 2017 11:58:08

Quartier Général du Führer
14 février 1945

La fatalité de cette guerre, c'est que pour l'Allemagne elle a commencé à la fois beaucoup trop tôt et un peu trop tard. Du point de vue militaire, notre intérêt était qu'elle commençât un an plus tôt.

J'aurais dû en prendre l'initiative en 38 au lieu de me la laisser imposer en 39, puisque de toute façon elle était inéluctable. Mais je n'y puis rien si les Anglais et les Français ont accepté, à Münich, toutes mes exigences !

En ce qui concerne l'immédiat, ce fut un peu trop tard. Mais, du point de vue de notre préparation morale, ce fut beaucoup trop tôt. Je n'avais pas encore eu le temps de former les hommes de ma politique. Il m'aurait fallu vingt ans pour amener cette nouvelle élite à maturité, une élite de jeunes qui auraient baigné dès l'enfance dans la philosophie nationale-socialiste. Notre drame, à nous Allemands, c'est que nous n'avons jamais le temps. Toujours les circonstances nous pressent. Et si le temps nous manque à ce point, c'est avant tout parce que l'espace nous manque. Les Russes, dans leurs vastes étendues, peuvent s'offrir le luxe de ne pas être pressés. Le temps travaille pour eux. Il travaille contre nous. A supposer d'ailleurs que la Providence m'eût accordé une existence personnelle assez longue pour conduire mon peuple au degré de développement nécessaire sur la voie du National-Socialisme, il est bien certain que les adversaires de l'Allemagne ne l'eussent pas permis. Ils auraient tenté de nous détruire avant qu'une Allemagne, cimentée par une foi unanime, nationale-socialiste de cœur et d'esprit, ne fût devenue invincible.

Faute des hommes formés selon notre idéal, il a bien fallu que nous nous servions des hommes qui existaient. Cela se voit au résultat ! Du fait de ce divorce entre la conception et la réalisation, la politique de guerre d'un Etat révolutionnaire comme le Troisième Reich fut, par la force des choses, une politique de petits bourgeois réactionnaires. Nos généraux et nos diplomates, à part d'assez rares exceptions, sont des hommes d'un autre temps. Ils conduisent donc la guerre d'un autre temps, de même qu'ils font la politique extérieure d'un autre temps. Cela est vrai de ceux qui nous servent de bonne foi comme des autres. Les uns nous servent mal par incapacité ou par simple défaut d'enthousiasme, les autres par volonté délibérée de sabotage.

C'est à l'égard de la France que l'erreur de notre politique a été la plus complète. Il ne fallait pas collaborer avec eux. Cette politique qui les a servis, nous a desservis. Abetz s'est cru original en se faisant le champion de cette idée et en nous poussant dans cette voie. Il se croyait en avance sur les faits alors qu'en réalité il retardait. Il s'est figuré que nous avions affaire à la France de Napoléon, c'est-à-dire à une nation capable de comprendre et d'apprécier la portée d'un geste noble. Il a omis de voir ce qui est, c'est-à-dire que la France, en l'espace de cent ans, a changé de visage. Elle a pris celui d'une prostituée. C'est une vieille putain qui n'a cessé de nous tromper, de nous bafouer et de nous faire chanter.

Notre devoir était de libérer la classe ouvrière, d'aider les ouvriers de France à faire leur révolution. Il fallait bousculer impitoyablement une bourgeoisie de fossiles, dénuée d'âme comme elle est dénuée de patriotisme. Voilà quels amis nos génies de la Wilhelmstrasse nous ont trouvés en France, de tout petits calculateurs, qui se sont mis à nous aimer quand l'idée leur vint que nous occupions leur pays pour défendre leurs coffres forts - et bien résolus à nous trahir à la première occasion, pour peu que ce fût sans risques !

En ce qui concerne les colonies françaises, nous n'avons pas été moins stupides. Toujours l'œuvre de nos génies de la Wilhelmstrasse ! Des diplomates du style classique, des militaires de l'ancien régime, des hobereaux, voilà quels auxiliaires nous avons eus pour faire une révolution à l'échelle de l'Europe !
Ils nous ont fait faire la guerre qu'ils eussent faite au 19eme siècle. A aucun prix nous ne devions jouer la carte française contre les peuples qui subissaient le joug de la France. Nous devions au contraire les aider à se libérer de cette tutelle, les y pousser au besoin. Rien ne nous empêchait, en 1940, de faire ce geste au Proche-Orient et en Afrique du Nord. Eh bien, notre diplomatie s'est appliquée à consolider le pouvoir des Français aussi bien en Syrie qu'en Tunisie, en Algérie et au Maroc. Nos gentlemen préféraient certainement entretenir des rapports avec des Français distingués plutôt qu'avec des révolutionnaires hirsutes, avec des officiers à badine qui ne songeaient qu'à nous flouer plutôt qu'avec les Arabes - qui eussent été pour nous de loyaux partenaires. Oh, le calcul de ces machiavels de profession ne m'échappe pas. Ils connaissent leur métier, ils ont des traditions ! Ils n'ont pensé qu'au bon tour qu'ils jouaient ainsi aux Anglais, car ils en sont encore au fameux antagonisme traditionnel qui oppose Français et Anglais sur le plan colonial. C'est bien ce que je disais, ils se croient toujours sous le règne de Guillaume II, et dans le monde de la reine Victoria, dans celui de finauds qui s'appelaient Delcassé et Poincaré ! Or cet antagonisme a cessé d'être fondamental. C'est beaucoup plus une apparence qu'une réalité, et parce que chez nos adversaires aussi il y a encore des diplomates de l'ancienne école. En fait, l'Angleterre et la France sont des associés jouant chacun son jeu personnel avec âpreté, qui ne reculent jamais devant les entorses faites à l'amitié mais qui se retrouvent toujours à l'heure du danger. La haine tenace du Français à l'égard de l'Allemand a quelque chose d'autrement profond. Il y a là pour nous une leçon à retenir.

De deux choses l'une en ce qui concerne la France : Ou bien elle abandonnait son alliée l'Angleterre, et en ce cas elle ne présentait aucun intérêt pour nous en tant qu'alliée éventuelle, car il est certain qu'elle nous eût abandonnés de la même manière à la première occasion ; Ou bien elle ne faisait que simuler par ruse ce changement de partenaire, et elle n'en était que plus redoutable pour nous. L'on a fait, de notre côté, des rêves absolument ridicules au sujet de ce pays. Il n'y avait véritablement qu'une formule souhaitable : Adopter à l'égard de la France une politique de méfiance rigoureuse. Je sais que je ne me suis pas trompé en ce qui concerne la France. J'ai dit avec clairvoyance, dans Mein Kampf, ce qu'il fallait en penser. Et je sais très bien pourquoi, en dépit des sollicitations qui me furent faites, je n'ai jamais accepté de changer quoi que ce soit à mes propos d'il y a vingt ans.
Tant que les Français constitueront une nation, ils se souviendront de mon nom !

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Testament politique de Hitler ? Sur le racisme et les juifs.

Message par BRH » Samedi 16 Décembre 2017 11:59:36

Quartier Général du Führer
13 février 1945

Le mérite du National-Socialisme, c'est qu'il a été le premier à poser le problème juif de façon réaliste.

Les Juifs ont toujours suscité l'antisémitisme. Les peuples non juifs, au cours des siècles - et des Égyptiens jusqu'à nous - ont tous réagi de la même manière. Un moment arrive où ils sont las d'être exploités par le Juif abusif. Alors ils s'ébrouent comme l'animal qui secoue sa vermine. Ils réagissent brutalement, ils finissent par se révolter. C'est là une façon de réagir instinctive. C'est une réaction de xénophobie à l'égard de l'étranger qui refuse de s'adapter, de se fondre, qui s'incruste, qui s'impose et qui vous exploite. Le Juif est par définition l'étranger inassimilable et qui refuse de s'assimiler. C'est ce qui distingue le Juif des autres étrangers : Il prétend avoir chez vous les droits d'un membre de la communauté tout en demeurant Juif. Il considère comme un dû cette possibilité de jouer simultanément sur deux tableaux, et il est seul dans le monde à revendiquer un aussi exorbitant privilège.

Le National-Socialisme a posé le problème juif sur le plan des faits : En dénonçant la volonté de domination mondiale des Juifs, en s'attaquant à eux systématiquement, dans tous les domaines, en les éliminant de toutes les positions usurpées par eux, en les traquant partout avec la volonté bien établie de laver le monde allemand du poison juif. Il s'est agi pour nous d'une cure de désintoxication indispensable, entreprise à la dernière limite, sans quoi nous eussions été asphyxiés et submergés.

Réussissant cette opération en Allemagne, nous avions des chances qu'elle fit tache d'huile. Cela était même fatal, car il est normal que la santé triomphe de la maladie. Les Juifs furent aussitôt conscients de ce risque, et c'est la raison pour laquelle ils décidèrent de jouer leur va-tout dans la lutte à mort qu'ils déclenchèrent contre nous. Il leur fallait abattre le National-Socialisme à n'importe quel prix, la planète dû t-elle être détruite. Aucune guerre n'a été aussi typiquement que celle-ci, ni aussi exclusivement, une guerre juive.

Je les ai en tout cas obligés à jeter bas le masque. Et même si notre entreprise se solde par un échec, cet échec ne saurait être que provisoire. J'aurai ouvert les yeux du monde sur la réalité du péril juif.

Une des conséquences de notre attitude, c'est que nous avons rendu le Juif agressif. Or il est moins dangereux sous cette forme qu'à l'état sournois. Mieux vaut cent fois le Juif qui avoue sa race que le Juif honteux qui prétend ne différer de vous que par la religion. Si je gagne cette guerre, je mets un terme à la puissance juive dans le monde, je la blesse à mort. Si je perds cette guerre, cela n'assure pas davantage leur triomphe - car, eux, ils en perdraient la tête. Ils pousseraient l'arrogance à un tel degré qu'ils provoqueraient par là même le choc en retour. Ils continueraient, bien entendu, de miser sur les deux tableaux, de revendiquer dans tous les pays les avantages des nationaux, et sans renoncer à l'orgueil de demeurer de surcroît les membres de la race élue. Ce serait la fin du Juif honteux, remplacé par le Juif glorieux - aussi puant que l'autre, sinon plus. En sorte que l'antisémitisme ne saurait disparaître, les Juifs eux-mêmes l'alimentant et le ranimant sans cesse. Il faudrait que la cause disparût pour que disparût la réaction de défense. L'on peut faire confiance aux Juifs. L'antisémitisme ne disparaîtra qu'avec eux.

Ceci étant dit en dehors de tout sentiment de haine raciale, il n'est souhaitable pour aucune race de se mêler à d'autres races. Le métissage systématique, et sans nier des réussites fortuites, n'a jamais donné de bons résultats. C'est une preuve de vitalité et de santé de la part d'une race de vouloir se préserver pure. Il est normal au surplus que chacun éprouve l'orgueil de sa race, et cela n'implique aucun mépris à l'égard des autres. Je n'ai jamais pensé qu'un Chinois ou un Japonais nous fussent inférieurs. Ils appartiennent à de vieilles civilisations, et j'admets même que leur passé soit supérieur au nôtre. Ils ont des raisons d'en être fiers comme nous sommes fiers de la civilisation à laquelle nous appartenons. Je pense même que plus les Chinois et les Japonais demeureront fiers de leur race, plus il me sera facile de m'entendre avec eux.

Cet orgueil basé sur l'appartenance à une race n'existe pas fondamentalement chez l'Allemand. Cela s'explique par ces trois derniers siècles de divisions intestines, par les guerres de religion, par les influences étrangères qu'il a subies, par l'influence du christianisme - car le christianisme n'est pas une religion naturelle aux Germains, c'est une religion importée et qui ne correspond pas à leur génie propre. L'orgueil de la race, chez l'Allemand, quand il se manifeste et prend même un air agressif, n'est qu'une réaction compensatrice du complexe d'infériorité qu'éprouvent beaucoup d'Allemands. Il va sans dire que cela ne s'applique pas aux Prussiens. Eux, depuis l'époque du grand Frédéric, ont acquis cet orgueil tranquille et simple qui est la marque des gens qui sont sûrs d'eux-mêmes et qui sont ce qu'ils sont sans ostentation. Du fait des qualités qui sont les leurs, les Prussiens étaient capables, et ils l'ont prouvé, de réaliser l'unité allemande. Le National-Socialisme a essayé de donner à tous les Allemands cet orgueil qui était jusqu'ici la caractéristique des seuls Prussiens.

Les Autrichiens ont dans le sang un orgueil analogue à celui des Prussiens, né du fait que durant des siècles ils n'ont pas été dominés par d'autres peuples, qu'ils ont été au contraire, durant une longue période, ceux qui commandent et à qui l'on obéit. Ils ont accumulé l'expérience de la domination et du pouvoir, et c'est là qu'il faut voir la raison de l'atticisme que nul ne leur conteste.

Le National-Socialisme fondra dans son creuset toutes les particularités de l'âme allemande. Il en sortira le type de l'Allemand moderne, travailleur, consciencieux, sûr de lui mais simple, orgueilleux non de ce qu'il représente à titre individuel mais de son appartenance à un grand ensemble qui fera l'admiration des autres peuples. Ce sentiment de supériorité en tant qu'Allemand n'implique aucun désir d'écrasement à l'égard des autres. Nous avons parfois exalté ce sentiment avec une certaine exagération, mais cela était nécessaire en fonction du point de départ, et il fallait que nous poussions les Allemands un peu brutalement dans la bonne voie. Un excès dans un sens provoque presque toujours un excès de sens contraire. C'est dans la nature des choses. Tout cela, au surplus, ne saurait se faire en un jour. Cela requiert le lent travail du temps. Frédéric le Grand est le vrai créateur du type prussien. En fait, il a fallu deux ou trois générations pour incarner ce type, pour que le style prussien devînt un caractère propre à chaque Prussien.

Notre racisme n'est agressif qu'à l'égard de la race juive. Nous parlons de race juive par commodité de langage, car il n'y a pas, à proprement parler, et du point de vue de la génétique, une race juive. Il existe toutefois une réalité de fait à laquelle, sans la moindre hésitation, l'on peut accorder cette qualification et qui est admise par les Juifs eux-mêmes. C'est l'existence d'un groupe humain spirituellement homogène dont les Juifs de toutes les parties du monde ont conscience de faire partie, quels que soient les pays dont administrativement ils sont les ressortissants. C'est ce groupe humain que nous appelons la race juive. Or il ne s'agit nullement, bien que la religion hébraïque leur serve parfois de prétexte, d'une communauté religieuse ni d'un lien constitué par l'appartenance à une religion commune.

La race juive est avant tout une race mentale. Si elle a pour origine la religion hébraïque, si elle a en partie été façonnée par elle, elle n'est pas néanmoins d'essence purement religieuse, car elle englobe de la même façon les athées déterminés et les pratiquants sincères. A cela, il faut ajouter le lien constitué par les persécutions subies au cours des siècles et dont les Juifs oublient toujours qu'ils n'ont cessé de les provoquer. Anthropologiquement, les Juifs ne réunissent pas les caractères qui feraient d'eux une race unique. Il est pourtant indubitable que chaque Juif recèle dans ses veines quelques gouttes de sang spécifiquement juif. Il serait impossible autrement d'expliquer la permanence, chez eux, de certains caractères physiques qui leur appartiennent en propre et qu'on retrouve invariablement chez des Juifs aussi différents, par exemple, que le Pollack et le Juif marocain - leur nez indécent, leur narine vicieuse, etc. Cela ne semble pouvoir s'expliquer par le type de vie qu'ils mènent, toujours semblable, de génération en génération, dans les ghettos principalement.
Une race mentale, c'est quelque chose de plus solide, de plus durable, qu'une race tout court.

Transplantez un Allemand aux Etats-Unis, vous en faites un Américain. Le Juif, où qu'il aille, demeure un Juif. C'est un être par nature inassimilable. Et c'est ce caractère même, qui le rend impropre à l'assimilation, qui définit sa race. Voilà une preuve de la supériorité de l'esprit sur la chair !

Leur ascension foudroyante, au cours du 19ème siècle, a donné aux Juifs le sentiment de leur puissance et les a incités à jeter bas leur masque. Aussi est-ce une chance pour nous de pouvoir les combattre en tant que Juifs avérés et agressivement fiers de l'être. Etant donné la crédulité du peuple allemand, nous ne pouvons que nous louer de cet accès de sincérité de la part de nos plus mortels ennemis.

Je me suis montré loyal envers les Juifs. Je leur ai donné, à la veille de la guerre, un ultime avertissement. Je les ai prévenus que, s'ils précipitaient à nouveau le monde dans la guerre, ils ne seraient cette fois-ci pas épargnés - que la vermine serait définitivement exterminée en Europe. Ils ont répondu à cet avertissement par une déclaration de guerre, affirmant que partout où il y avait un Juif il y avait par définition un ennemi inexpiable de l'Allemagne nationale-socialiste.

L'abcès juif, nous l'avons crevé comme les autres. Le monde futur nous en sera éternellement reconnaissant.
Tant que les Français constitueront une nation, ils se souviendront de mon nom !

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Testament politique de Hitler ? Sur la France...

Message par BRH » Samedi 16 Décembre 2017 20:31:52

Quartier Général du Führer
14 février 1945

La fatalité de cette guerre, c'est que pour l'Allemagne elle a commencé à la fois beaucoup trop tôt et un peu trop tard. Du point de vue militaire, notre intérêt était qu'elle commençât un an plus tôt.

J'aurais dû en prendre l'initiative en 38 au lieu de me la laisser imposer en 39, puisque de toute façon elle était inéluctable. Mais je n'y puis rien si les Anglais et les Français ont accepté, à Münich, toutes mes exigences !

En ce qui concerne l'immédiat, ce fut un peu trop tard. Mais, du point de vue de notre préparation morale, ce fut beaucoup trop tôt. Je n'avais pas encore eu le temps de former les hommes de ma politique. Il m'aurait fallu vingt ans pour amener cette nouvelle élite à maturité, une élite de jeunes qui auraient baigné dès l'enfance dans la philosophie nationale-socialiste. Notre drame, à nous Allemands, c'est que nous n'avons jamais le temps. Toujours les circonstances nous pressent. Et si le temps nous manque à ce point, c'est avant tout parce que l'espace nous manque. Les Russes, dans leurs vastes étendues, peuvent s'offrir le luxe de ne pas être pressés. Le temps travaille pour eux. Il travaille contre nous. A supposer d'ailleurs que la Providence m'eût accordé une existence personnelle assez longue pour conduire mon peuple au degré de développement nécessaire sur la voie du National-Socialisme, il est bien certain que les adversaires de l'Allemagne ne l'eussent pas permis. Ils auraient tenté de nous détruire avant qu'une Allemagne, cimentée par une foi unanime, nationale-socialiste de cœur et d'esprit, ne fût devenue invincible.

Faute des hommes formés selon notre idéal, il a bien fallu que nous nous servions des hommes qui existaient. Cela se voit au résultat ! Du fait de ce divorce entre la conception et la réalisation, la politique de guerre d'un Etat révolutionnaire comme le Troisième Reich fut, par la force des choses, une politique de petits bourgeois réactionnaires. Nos généraux et nos diplomates, à part d'assez rares exceptions, sont des hommes d'un autre temps. Ils conduisent donc la guerre d'un autre temps, de même qu'ils font la politique extérieure d'un autre temps. Cela est vrai de ceux qui nous servent de bonne foi comme des autres. Les uns nous servent mal par incapacité ou par simple défaut d'enthousiasme, les autres par volonté délibérée de sabotage.

C'est à l'égard de la France que l'erreur de notre politique a été la plus complète. Il ne fallait pas collaborer avec eux. Cette politique qui les a servis, nous a desservis. Abetz s'est cru original en se faisant le champion de cette idée et en nous poussant dans cette voie. Il se croyait en avance sur les faits alors qu'en réalité il retardait. Il s'est figuré que nous avions affaire à la France de Napoléon, c'est-à-dire à une nation capable de comprendre et d'apprécier la portée d'un geste noble. Il a omis de voir ce qui est, c'est-à-dire que la France, en l'espace de cent ans, a changé de visage. Elle a pris celui d'une prostituée. C'est une vieille putain qui n'a cessé de nous tromper, de nous bafouer et de nous faire chanter.

Notre devoir était de libérer la classe ouvrière, d'aider les ouvriers de France à faire leur révolution. Il fallait bousculer impitoyablement une bourgeoisie de fossiles, dénuée d'âme comme elle est dénuée de patriotisme. Voilà quels amis nos génies de la Wilhelmstrasse nous ont trouvés en France, de tout petits calculateurs, qui se sont mis à nous aimer quand l'idée leur vint que nous occupions leur pays pour défendre leurs coffres forts - et bien résolus à nous trahir à la première occasion, pour peu que ce fût sans risques !

En ce qui concerne les colonies françaises, nous n'avons pas été moins stupides. Toujours l'œuvre de nos génies de la Wilhelmstrasse ! Des diplomates du style classique, des militaires de l'ancien régime, des hobereaux, voilà quels auxiliaires nous avons eus pour faire une révolution à l'échelle de l'Europe !
Ils nous ont fait faire la guerre qu'ils eussent faite au 19eme siècle. A aucun prix nous ne devions jouer la carte française contre les peuples qui subissaient le joug de la France. Nous devions au contraire les aider à se libérer de cette tutelle, les y pousser au besoin. Rien ne nous empêchait, en 1940, de faire ce geste au Proche-Orient et en Afrique du Nord. Eh bien, notre diplomatie s'est appliquée à consolider le pouvoir des Français aussi bien en Syrie qu'en Tunisie, en Algérie et au Maroc. Nos gentlemen préféraient certainement entretenir des rapports avec des Français distingués plutôt qu'avec des révolutionnaires hirsutes, avec des officiers à badine qui ne songeaient qu'à nous flouer plutôt qu'avec les Arabes - qui eussent été pour nous de loyaux partenaires. Oh, le calcul de ces machiavels de profession ne m'échappe pas. Ils connaissent leur métier, ils ont des traditions ! Ils n'ont pensé qu'au bon tour qu'ils jouaient ainsi aux Anglais, car ils en sont encore au fameux antagonisme traditionnel qui oppose Français et Anglais sur le plan colonial. C'est bien ce que je disais, ils se croient toujours sous le règne de Guillaume II, et dans le monde de la reine Victoria, dans celui de finauds qui s'appelaient Delcassé et Poincaré ! Or cet antagonisme a cessé d'être fondamental. C'est beaucoup plus une apparence qu'une réalité, et parce que chez nos adversaires aussi il y a encore des diplomates de l'ancienne école. En fait, l'Angleterre et la France sont des associés jouant chacun son jeu personnel avec âpreté, qui ne reculent jamais devant les entorses faites à l'amitié mais qui se retrouvent toujours à l'heure du danger. La haine tenace du Français à l'égard de l'Allemand a quelque chose d'autrement profond. Il y a là pour nous une leçon à retenir.

De deux choses l'une en ce qui concerne la France : Ou bien elle abandonnait son alliée l'Angleterre, et en ce cas elle ne présentait aucun intérêt pour nous en tant qu'alliée éventuelle, car il est certain qu'elle nous eût abandonnés de la même manière à la première occasion ; Ou bien elle ne faisait que simuler par ruse ce changement de partenaire, et elle n'en était que plus redoutable pour nous. L'on a fait, de notre côté, des rêves absolument ridicules au sujet de ce pays. Il n'y avait véritablement qu'une formule souhaitable : Adopter à l'égard de la France une politique de méfiance rigoureuse. Je sais que je ne me suis pas trompé en ce qui concerne la France. J'ai dit avec clairvoyance, dans Mein Kampf, ce qu'il fallait en penser. Et je sais très bien pourquoi, en dépit des sollicitations qui me furent faites, je n'ai jamais accepté de changer quoi que ce soit à mes propos d'il y a vingt ans.

Quartier Général du Führer
15 février 1945

Nous avons manqué à notre devoir et méconnu nos intérêts en ne libérant pas, dès 1940, le prolétariat français. De même en ne libérant pas les protégés français d'outre-mer.

Le peuple de France ne nous en aurait sûrement pas voulu de le décharger du fardeau de l'Empire.
Dans ce domaine, le peuple de ce pays a toujours manifesté plus de bon sens que ses prétendues élites. Il a mieux que ses élites l'instinct de l'intérêt véritable de la nation. Sous Louis XV aussi bien que sous Jules Ferry il s'est révolté contre l'absurdité des entreprises coloniales. Je ne sache pas que Napoléon ait été impopulaire pour avoir bazardé la Louisiane. C'est inouï, en revanche, la désaffection que s'est value son incapable neveu en allant guerroyer au Mexique !


Quartier Général du Führer
15 février 1945

Je n'ai jamais aimé la France ni les Français, et je n'ai cessé de le proclamer. Je reconnais néanmoins qu'il y a parmi eux des hommes de valeur. II est indubitable, au cours de ces dernières années, que de nombreux Français ont joué avec une entière sincérité et un grand courage la carte de l'Europe. Ce qui prouve la bonne foi de ces précurseurs, c'est la sauvagerie avec laquelle leurs propres compatriotes leur ont fait payer leur clairvoyance et leur foi.
Tant que les Français constitueront une nation, ils se souviendront de mon nom !

Napoléon
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