Ce que je ne peux qu'observer qu'avec tritesse c'est que la genuflexion à Depla - qui vous a envoyé en soldat sur PH - vous a totalement ôté votre liberté d'esprit et votre capacité à prendre du recul par rapport à une décision de modération.
Personne n'a eu besoin de m'envoyer sur ce sujet. Je l'avais déjà débatu avec une personne d'une autre trempe qu'Alain.G... et bien plus convainquant, puisque c'est lui qui m'a ouvert les yeus (Takata, sur...PH)! C'est moi qui est fait les recherches, qui est trouvé les liens que j'ai cités.
Je passerai sur votre agression inutile...
Vous voulez un exemple "d'argument d'autorité" signé Alain.g, à la suite d'un message lui demandant de justifier ce qu'il avance?
J'ai donné toutes mes références et il s'agit de Kershaw et des références de Kershaw, qui sont des références de 1er ordre toutes précisées avec les pages. Croyez ce que vous dites, pour moi, j'ai mes références et je préfère les suivre que suivre Delpla. Je ne cherche plus à vous convaincre, j'ai renonçé.
Dans Kershaw, " Choix fatidiques, dix décisions qui ont changé le monde. " Le seuil 2009, lire de la page 37 à 144.
Allez, je vous en donne un autre signé Cardozo, pour le même prix:
Les historiens connaissent parfaitement ces archives diplomatiques allemandes. C'est le cas notamment de Andreas Hillgruber qui a classé et commenté ces documents dans un opuscule intitulé "Staatsmänner und Diplomaten bei Hitler" et publié en 1967 aux éditions Bernard & Graefe.
Connaissant ces archives, la quasi totalité des historiens considère que l'entrevue d'Hendaye fut une grande déception pour Hitler. Andreas Hillgruber évoque "le résultat insuffisant" de l'entrevue et "l'impression négative qu'avait éprouvé Hitler au cours de ses entretiens avec Franco à la frontière franco-espagnole".
Ce ne sont que des échantillons. Vous en voulez d'autre? J'en ai une pleine valise!:D
Les deux "côtés" ont amené leurs arguments, très bien. Aucun n'a pu convaincre l'autre et puis - comme souvent - les attaques personnelles (modérées il est vrai) sont venues. Le sujet a donc été bouclé.
Je ne vois pas dans ce rapide résumé un "argument d'autorité".
Alain.G et Cardozo ont largement surexploité le filon de "l'historien que l'on peut croire sur parole", à tel point que votre serviteur a été obligé de leur rappeler que l'histoire ne se décidait pas à la majorité. Sans compter les attaques (personnelles, pour le coup, donc tombant sous le coup de la Charte) contre F. Delpla.
Je n'ai pas cherché à le défendre (c'était plus le rôle de la Modération, me semble-t-il, quoiqu'elle ne le fit pas), mais me suis insurgé contre le fait de classer les historiens entre "bons" et "mauvais", les premiers pouvant être crus sur parole, coupant court à toute discussion, les arguments des seconds étant rejetés... d'autorité.