Louis XVII, la piste argentine...

Louis XVII, la piste argentine...

Message par BRH » Vendredi 04 Novembre 2011 16:53:32

Institut des sciences historiques :

http://www.sciencehistorique.com/3.html

Louis XVII, le retour !


Dix ans après les analyses ADN qui ont permis de trancher sur l’identité du cœur déposé à Saint-Denis et, par conséquent de pouvoir confirmer définitivement la mort du roi Louis XVII le 8 juin 1795, le Professeur Jacques Soppelsa, Président honoraire de l’Université Paris I, se servant de son expérience de Conseiller culturel auprès de l’ambassade de France à Buenos-Aires, fait paraître un curieux ouvrage sur l’enfant roi et martyr.

L’ouvrage Louis XVII la piste argentine (A2C Médias (8, avenue Foch, Paris 16ème), Paris, 2011, ISBN 978-2916831-16-9) , est consacré à une piste sud américaine qui jusqu’alors semblait avoir été ignorée. Nul doute que ce livre qui plus est d’un universitaire aux talents reconnus, aurait rencontré un grand succès avant que l’énigme ne soit résolue.

Au-delà de l’histoire qu’il relate et qui repose plus, comme l’auteur le dit lui-même, sur un faisceau d’indices que sur des preuves, il renouvelle néanmoins, implicitement, une question, celle de l’histoire secrète ou des secrets de l’histoire que les témoins et ou les acteurs ne sont pas toujours bien disposés à mettre sur la place publique. Rouvrant le débat le professeur Soppelsa nous oblige à nous reposer une question qui jusqu’alors n’a pas été élucidée. Pourquoi y a-t-il eu des faux dauphins ? A quoi ont pu servir ces leurres ?

N’est-on pas là dans les souterrains de la politique ? Dans des opérations du type de celles qui en 1943 et 1944 ont été menées de toute pièce pour faire croire aux allemands que le débarquement n’aurait pas lieu en Normandie. Déploiement d’armes, fausses villes et faux regroupements d’hommes, faux réseaux (incluant la mort d’hommes et de femme convaincus de l’histoire qu’on leur avait apprise) en un mot, donner tellement l’apparence du vrai que l’Etat-major allemand s’y est laissé prendre.

Or, sous ce jour, la question des survivances de Louis XVII n’a pas été vraiment étudiée. Il ne s’agit pas tant de savoir de quelle part de vérité ces faux dauphins relevait, mais bien de savoir pourquoi le pouvoir, les pouvoirs en place ont donné corps, ont forgé ces curieux « agents » -au sens très moderne du terme- dont ils se sont servis. Il y a une vingtaine d’années quand j’avais un peu étudié cette « énigme » j’avais été frappé de voir qu’elle était née au moment de la Restauration. N’était-ce pas une manipulation ? Le parallèle avec l’histoire contemporaine est frappant dans le livre de J. Soppelsa où justement son héros est un officier de marine de l’Empire...Qui donc a intérêt à faire courir le doute ? Ancien révolutionnaire souhaitant se dédouaner en montrant quelle part il a pris à l’évasion ? Police de l’Empereur ou de la Restauration ? ou encore agent des Orléans et du futur Louis-Philippe pour mettre en doute la légitimité de Louis XVIII et de Charles X ?

A défaut de survivance il y a bel et bien eu le souci de créer de fausses pistes. Le nombre même de faux dauphins en est en soi une preuve même si certains demeurent plus de l’ordre de la psychose privée que de la politique secrète des Etats.

Depuis que la mort du dauphin a été prouvée telle est bien là, la seconde énigme de l’Affaire Louis XVII qui reste à percer. Quelle manipulation ? Pourquoi et pour qui ? Les historiens ont encore du travail pour nous faire comprendre pourquoi on créa des faux dauphins.

Le livre de jacques Soppelsa est une nouvelle pièce au dossier. Il intéresse tous ceux qui recherchent derrière les évènements les causes secrètes de l’histoire.



Qu’y-a-t’il de sérieux dans ce roman ? Un livre sur “Pierre Benoît” aurait déjà été écrit sur le sujet en 1941 (selon Pilayrou). Et ledit personnage n’aurait jamais revendiqué avoir été le fils de Marie-Antoinette.

En résumé, Decazes aurait exfiltré ledit individu en Argentine, à Buenos-Ayres, dans le courant de 1818. Il y aurait vécu une trentaine d'années, avant de périr assassiné en 1852…
Tant que les Français constitueront une nation, ils se souviendront de mon nom !

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Re: Louis XVII, le retour...

Message par BRH » Vendredi 04 Novembre 2011 18:07:39

France Soir, 26 septembre 2011 :

Louis XVII, La piste argentine
Le nouveau livre-évènement de Jacques Soppelsa. Qu’est-ce qui a pu motiver un agrégé de géographie et spécialiste reconnu de géopolitique à écrire un roman (passionnant) sur le sort mystérieux de Louis XVII, dont le sort ne sera probablement jamais réellement élucidé?

« Louis XVII, La piste argentine »* Il est vrai que Jacques Soppelsa, ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure, docteur d’Etat en Lettres et Sciences Humaines, Professeur titulaire de la Chaire de Géopolitique en Sorbonne, Président honoraire de l’Université, Paris I Panthéon Sorbonne, a commis de nombreux essais de géopolitique et avait plutôt habitué ses lecteurs aux thématiques liées à la guerre froide, aux relations transatlantiques, ou encore aux nouveaux défis de l’ordre international. En fait, lorsque l’on y regarde de plus près, les choix du thème éminemment historique de « Louis XVII » et du sous-titre du livre, « la piste argentine », ne sont pas si étrangers qu’il n’y paraît à la carrière universitaire et à l’expérience de Soppelsa, qui, rappelons-le, a été diplomate aux Etats-Unis et en Argentine, et a toujours été féru d’histoire. Etv c’est en tant qu’ancien Conseiller culturel en Argentine, en fonction à Buenos Aires que Jacques Soppelsa – toujours resté fort attaché à l’Argentine et qui y séjourne régulièrement - a mené une longue enquête depuis 1994. Il raconte lui-même au début de ce roman original et fort bien écrit, que le sujet lui est tombé dessus par le plus grand des hasards, lorsqu’il fut un jour invité à Buenos Aires à un étrange dîner par une certaine Elisa. Celle-ci lui raconta que son ancêtre, Pierre Benoit, loin d’être un simple roturier aventureux venu s’installer en Argentine en 1818, aurait été l’héritier d’une « très très grande famille française, la plus grande ! »… Peu habitué à ce genre d’intrigues familiales et peu crédule de nature, Jacques Soppelsa pensa dans un premier temps qu’il avait affaire à une folle ! Puis il accepta tout de même de se rendre au dîner puis d’échanger avec deux membres de la famille Zapiola qui achevaient la rédaction d’un ouvrage complétant et poursuivant lui-même une recherche rédigée sur l’illustre famille française par un grand-oncle. C’est à la lecture de cet opuscule que notre géopolitologue-diplomate devint enquêteur, impressionné qu’il fut par la documentation abondante faite de documents administratifs, de correspondances, de photos et de coupures de presse. On apprend ainsi dès le début du livre de Soppelsa que Pierre Benoit, dans sa vie « officielle », aurait été élevé par les meilleurs précepteurs privés, eux-mêmes rémunérés par les services du premier Consul français puis du futur empereur ( !), aurait bénéficié d’une éducation hors-pair, excellant dans la peinture, la sculpturr, parlant six langues couramment, comme les membres des meilleures familles, puis menant une vie plus que mystérieuse en Amérique latine, devenant même Grand Maître de la loge de Philadelphie, celle de Simon Bolivar. On apprend enfin que le fascinant personnage mourut empoisonné mystérieusement en août 1852, par un étrange visiteur français, le docteur Lavergne, lequel regagna illico l’hexagone où il fut lui-même immédiatement guillotiné… Républicain convaincu et ancien militant de gauche, donc supposé être à des années lumières des préoccupations et nostalgies royalistes, Jacques Soppelsa se se passionne et se prend peu à peu d’affection pour Louis XVII, dont l’historiographie officielle raconte qu’il serait mort à l’âge de 15 ans au Temple. Certes, la curiosité teintée de compassion naîtra très progressivement chez le professeur Soppelsa, ceci au fil de nombreuses années passées à explorer Buenos Aires et les archives familiales des supposés descendants du petit Dauphin bourbon. Mais Soppelsa fait sienne la thèse selon laquelle Louis XVII se serait évadé ou aurait été « exfiltré », comme on dit aujourd’hui, de sa sinistre geôle du Temple grâce aux sbirres de Barras. Peu à peu, ne pouvant résister à la force des nombreux indices toujours plus nombreux conservés chez des Argentins d’origine française, Soppelsa commence à considérer comme crédible la version selon laquelle le jeune Dauphin aurait finalement débarqué à Buenos Aires et s’y serait caché dans le plus grand secret. L’ouvrage de Jacques Soppelsa a par ailleurs le mérite de faire renaître la polémique autour du coeur soi-disant « authentifié » de Louis XVII, qui attesterait de sa mort au Temple. S’appuyant cette fois-ci sur des enquêtes menées en France et ailleurs par nombre de spécialistes, Soppelsa émet de forts doutes quant aux résultats de l’analyse scientifique de 2000 qui aurait « définitivement » réglé la controverse relative au cœur du dauphin. Certes, le cœur retrouvé appartient bel et bien, comme montre l’ADN, à un enfant apparenté à Marie Antoinette, mais ce cœur conservé dans l’alcool est probablement, selon Soppelsa, celui du frère aîné de Louis XVII , Louis Joseph, retrouvé mort le 10 juin 1795. Certes, Soppelsa n’est pas un « survivationniste » au départ, et il conserve toujours un certain recul, y compris vis-à-vis de ce dauphin qu’il affectionne. Mais il confesse au début de son livre qu’il a surtout cherché à éveiller la curiosité du lecteur. Mission accomplie ! Car une fois commencée, la lecture du livre ne peut être interrompue. Jacques Soppelsa, Louis XVII, La piste argentine, A2C Medias, collection histoire, 2011, 187 p. 20 euros
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Re: Louis XVII, le retour...

Message par BRH » Vendredi 04 Novembre 2011 18:20:41

http://www.euskonews.com/0250zbk/kosmo25001.html

Los Zapiola, una familia vasco-argentina que convive con la memoria de Luis XVII y la herencia de la corona francesa
Gonzalo Javier Auza

Antes de afincarse en América, los Zapiola aparecen en Zuberoa y Gipuzkoa. Uno de los primeros de los que se tiene noticia es Jean de Sapiolle, establecido en Moncayolle y casado con Jeanne de Armain. El hijo de este matrimonio, Pierre de Sapiolle y Armain, nacido en 1700, se mudó a Orio, donde se casó con Josefa de Oiamburu y Zabala. En el nuevo domicilio castellanizó su nombre para convertirse en Pedro de Zapiola y Armana y dejó dos hijos con el nuevo apellido: Manuel Joaquín y Antonio José.

Manuel Joaquín se hizo marino y en 1759 llegó a Buenos Aires al mando de la goleta San Ignacio. Luego de varias misiones en el Cono Sur quedó establecido definitivamente en esa ciudad, donde participó del gobierno civil y realizó operaciones comerciales. En 1771 se casó con María Encarnación de Lezica y Alquiza, hija de Juan de Lezica y Torrezuri, fundador de la villa de Luján y mecenas del Convento de Santo Domingo de Buenos Aires. De este matrimonio nació el General José Matías Zapiola, compañero de San Martín en sus campañas y uno de los principales conductores militares del movimiento independentista de América.

Un bisnieto del marino Manuel Joaquín fue José Matías de Zapiola (nieto del otro José Matías, el militar). Este personaje nacido en 1852 introdujo, mediante su casamiento con Dolores Cándida Benoit, al Delfín de Francia en la historia de la familia Zapiola.


Vajilla perteneciente a Pierre Benoit, actualmente en poder de la familia Zapiola.

Un francés sin pasado

El 1° de julio de 1818 llegó a Buenos Aires la goleta francesa La Chiffone, procedente del Puerto del Havre de Grace. En ese navío viajaba un grupo de franceses que venía a instalarse en el Río de la Plata. Entre ellos, Pierre Benoit. Ese hombre de ojos azules, cabello rubio ensortijado, cejas arqueadas y un hoyuelo en el mentón vivió 34 años en la Argentina y desarrolló una intensa vida profesional; pero durante todo esos años mantuvo un fuerte hermetismo sobre su vida anterior en Europa.

Casó con María de las Mercedes Leyes Espinosa, luego de vencer grandes resistencias de los padres que no aceptaban la unión con un francés anónimo al que no se le conocía la familia; y tuvo dos hijos: Petrona, que no dejó descendencia, y Pedro. La hija primogénita de este último fue Dolores Cándida, esposa de José Matías de Zapiola.

Los Zapiola Benoit fueron, así, herederos de un legado histórico que se guardó en el secreto familiar -siempre contado a hurtadillas en mensajes telegráficos- durante muchos años y que recién a partir de 1941 -con un libro de Federico Zapiola- comenzó a ver la luz: El abuelo Pierre Benoit era en realidad Luis Carlos de Francia, Luis XVII.


Firma de Pierre Benoit, que concluye con un signo similar al que figura en el comienzo del Testamento de Luis XVI.

"Soy Luis XVII. Debo llamarme Pierre Benoit"

Según la familia, Pierre Benoit no fue uno más de los usurpadores, ansiosos por ocupar un trono; sino que, por el contrario, se trató de un hombre que intentó llevar una vida en el anonimato, con un silencio estricto respecto de su pasado, quizá como modo de escapar a la muerte o la cárcel. Contó su secreto en cuentagotas a su esposa y a su hija; y dejó aquí y allá señales ambiguas y misteriosas.


El signo con el que comienza el testamento de Luis XVI es similar a al que Pierre Benoit ponía al final de su firma.

La historia llegó a oídos de Dolores Cándida de boca de su tía Petrona, hija de Pierre; y a la familia le costó muchos años lograr que dijera todo lo que había oído. De hecho, en una carta señaló: "¿Qué haríamos con saber la verdad tan tarde y tan sin objeto? [...] No son las coronas ni los escudos los que hacen valer al hombre, sino su limpieza de alma, su actuación honrada, sin pedir ayuda a los que se fueron. Mi abuelo fue bien nacido, más en una época funesta; contentémonos con saber que somos de buena cuna". Con el paso del tiempo, se obtuvo de Dolores el secreto; pero cuando rompió el mutismo también indicó: "Me confesó [mi tía] algo, no todo, y me dijo que su padre le recomendó silencio, porque si hablaba dirían que habría perdido el juicio". De modo que la tradición oral tuvo un quiebre por el cual se perdió información.

En sus memorias, Dolores Cándida recuerda que Benoit le indicó a su hija Petrona: "A fines de 1793, en la época del Terror, una mujer de cierta edad y un hombre me llevaron escondido debajo de una amplia capa, en una calesa, una noche oscura y me entregaron al matrimonio Benoit, en el Puerto de Calais. No me pidas Petrona hablar de antes de esa noche. Recibí educación esmerada y privada, estaba como escondido, pero muy bien tratado; con gran cariño".

Lucrecia Zapiola, nieta de Dolores e investigadora del tema Pierre Benoit, en su libro Soy Luis XVII. Debo llamarme Pierre Benoit explica con lujo de detalles cómo se habría producido el intercambio del Delfín por un reemplazante que habría muerto en la prisión del Temple; y describe los documentos escritos, los testimonios orales y las pistas que afirman la teoría según la cual su tatarabuelo sería Luis XVII.

El pasado se trasluce

A pesar de su silencio sobre el pasado, Pierre Benoit no podía ocultar su amplísima cultura, fruto de una educación privilegiada: dominaba cinco idiomas, entre ellos latín y griego; era arquitecto civil y naval; dibujante y pintor; y tenía conocimientos de astronomía, botánica y geodesia.


Columnas del frente de la Catedral de Buenos Aires, que diseñó Pierre Benoit. En el detalle se puede observar un supuesto delfin coronado. Foto: Gonzalo J. Auza

Su sólida formación lo llevó a asistir al naturalista francés Amadee Bompland, de viaje en Paraguay, creando dibujos de flora y fauna para sus estudios. Además, durante años trabajó diseñando residencias particulares y numerosas construcciones para el gobierno argentino; entre ellas, el cementerio de la Recoleta y el frente de la Catedral de la ciudad. Esta última actividad fue su principal ocupación, de la que vivió hasta el día de su muerte.

Si tenía que referirse a sus orígenes se contradecía a sí mismo: a veces indicaba que había nacido "en cuna de oro" sin dar más explicaciones; y en otras oportunidades decía que era "hijo de una lavandera" o de "un pescador del Puerto de Calais".


Dibujos atribuidos a Pierre Benoit. Realizados en una exploración de Amadee Bompland.

Se encontraba con problemas similares cuando debía dar cuenta de su fecha de nacimiento o de bautismo. Dejó en diferentes ocasiones un desparramo de fechas diversas que impiden saber con certeza su edad. Con ocasión de su casamiento debió indicar el nombre de sus padres y los señaló como Pedro Benoit y María Juana Daulo. Así, los descendientes descubren escondido en el nombre de su supuesta madre el de María Antonieta: "Marie [Antoinette Josephe] Jeanne[, archiduchese] D[']Au[triche et de] Lo[rraine]. Las partidas de nacimiento y bautismo aparecen en Calais, pero algunos piensan que pudieron ser fraguadas para sostener el cambio de identidad.

Lo cierto es que existen muchos elementos en la vida de Pierre Benoit que lo alejan del supuesto origen humilde que él mismo se adjudicaba. La sólida formación cultural y el haberse educado en su propio domicilio -como señaló en oportunidades- lo distanciaban del mundo de los pescadores. Como complemento, tenía relaciones que lo acercaban a otros círculos. En ocasiones recibía correspondencia proveniente de Francia que prudentemente hacía desaparecer. Era marino de carrera, había pertenecido al ejército imperial y había sido protegido por Napoleón durante el Imperio y durante "los Cien Días", según la documentación que posee la familia. Además, tenía un alto grado en la masonería: cuando llegó a América portaba una carta de recomendación dirigida a Simón Bolivar (que nunca utilizó) y, curiosamente, poseía el nombre simbólico "Bolivar II" en la sociedad secreta.

Señales con un halo de misterio


Autorretrato de Pierre Benoit, en el que se ven parcialmente las flores de lis que estaban ocultas bajo el marco original.
Los miembros de la familia Zapiola que investigaron la vida de su ancestro descubrieron numerosos signos extraños dejados por Benoit aquí y allá.

Al quitar el marco de un autorretrato, por ejemplo, descubrieron cuatro flores de lis escondidas, que hablarían de su origen. Del mismo modo, en numerosas pinturas Benoit dejó inscripciones como "del fin" o "del Z", que la familia interpreta como "Delfín"; o "del is" que se leería como "de lis". Además, en las firmas de sus planos parecen confundirse una "P" de Pierre con una "L" y una "C" entrelazadas (de Luis Carlos); y la "B" de Benoit también se transforma en una "R" de Rey. En otros trabajos aparecen escondidas las letras "L C R F" que se leerían como Luis Carlos Rey de Francia.


Pintura de Pierre Benoit. La mujer retratada tendría rasgos similares a los de los miembros de la familia real francesa.
Uno de sus cuadros representa al soldado Cimbro entrando en la tienda de Mario para asesinarlo y esto, según algunos, remite a un discurso de Vergniaud ante la Asamblea que juzgaba a Luis XVI; puesto que la escena nada tenía que ver con la vida conocida de Benoit. Entre los testimonios más curiosos se cuentan tres retratos de mujeres en los que algunos descubren un parecido asombroso con María Antonieta, Madame Royale y Madame Elizabeth, hermana del Luis XVI.

Una muerte tan extraña como su pasado

El 21 de agosto de 1852 llegó al puerto de Buenos Aires un barco procedente de Francia. Bajó un "doctor" que se dirigió al domicilio de Benoit y solicitó verlo. El dueño de casa estaba en cama por una dolencia en las piernas; entonces lo hicieron pasar al dormitorio. Cuando Mercedes, la esposa de Benoit, se dio cuenta de que el visitante y su marido efectivamente se conocían, los dejó a solas. Luego de un rato el médico se despidió de la esposa de Benoit y se retiro. Cuando ésta regresó al cuarto encontró un panorama desolador: su marido había sido envenenado. Quisieron encontrar al asesino, pero descubrieron que había partido inmediatamente para Europa.

Así, con el mismo misterio que rodea su vida en el viejo continente, y de la que sólo habló de modo sintético a sus familiares directos, murió Pierre Benoit, que no tenía ningún enemigo en Argentina.

¿Un final abierto?

Un siglo y medio después, en abril de 2000, dos exámenes de ADN realizados por las Universidades de Lovaina y de Munster en el que supuestamente es el corazón del Delfín -que había sido robado por el Dr. Pelletan cuando realizó la autopsia del niño muerto en el Temple el 8 de junio de 1795- certificaron que pertenecía a la familia de María Antonieta. Así, dieron crédito a la historia oficial, según la cual Luis XVII habría muerto en la prisión; y dejaron fuera de carrera a numerosos pretendientes a la corona de Francia, que a lo largo de los últimos siglos alimentaron una producción literaria de entre 500 y 800 obras.

Sin embargo, y a pesar de las noticias difundidas por la prensa en esa oportunidad, el profesor Jean-Jacques Cassimann de la Universidad de Lovaina se habría desdicho respecto de la identificación del corazón con Luis XVII, puesto que podría pertenecer a otro miembro de la misma familia, según explica Lucrecia Zapiola.

Además del examen de ADN existen otros elementos disponibles para conocer el verdadero destino de Luis XVII. El testamento de la Duquesa de Angulema -hermana del Delfín- que podría estar en el Archivo del Vaticano, es uno de los documentos más interesantes, frente a la presunción de que la duquesa tenía "un gran secreto" que la habría torturado durante toda su vida.

La familia vasco-argentina, por su parte, tiene interés en que se realice un examen de ADN sobre los restos de su ancestro; sin embargo no hay quien costee tal investigación. Está pendiente también una excavación del terreno ocupado antiguamente por la casa de Benoit en Buenos Aires, pues según la tradición de la familia Zapiola allí estarían enterradas unas botellas con documentación. La Universidad de Buenos Aires y el Instituto Histórico de la misma ciudad realizaron una excavación en el año 2000 sin éxito; pero Lucrecia Zapiola explica que los investigadores excavaron en una franja de terreno equivocada y no donde estuvo la casa.


Trenza que conserva la familia Zapiola y que pertenecería a María Antonieta.
Pierre Benoit podría no haber sido Luis XVII; si ese fuera el caso... ¿quién era? ¿un miembro de la nobleza francesa huyendo de su pasado? ¿otro miembro de la familia real? Se podría analizar otro elemento que aportaría datos sobre su origen: una supuesta trenza de María Antonieta, guardada en un sobre de seda bordado con canutillos plateados, que legó a sus herederos. ¿Cuán cercano de la reina pudo estar para recibir ese regalo?

Francia está muy cómoda con su república; pero si algún día volviera a instaurar una monarquía, quizá habría que buscar al titular de la corona entre los herederos de Pierre Benoit; posiblemente en la familia vasco-argentina Zapiola. Una verdadera curiosidad política.

Bibliografía

Anónimo, "Arqueología en la ciudad", La Nación, 16 de Enero de 2000, Buenos Aires.

Anónimo, "El enigma del Delfín", Noticias, 17 de Abril de 1994, Buenos Aires, pp.52-53.

Anónimo, "Identificaron el corazón de Luis XVII, el hijo de María Antonieta", Clarín [en línea], 20 de Abril de 2000, [consultado el 25-3-2003]. Disponible en http://old.clarin.com.ar/diario/2000/04/20/e-05201d.htm

Iglesias, Graciela. "Ponen fin a un enigma histórico: Luis XVII murió en Francia", La Nación 20 de Abril de 2000, Buenos Aires, p. 4.

AAVV, Los Vascos en la Argentina. Familias y Protagonismo, Buenos Aires, Fundación Vasco Argentina Juan de Garay, 2000.

Mujica Lainez, Manuel. "La escalinata de Marmol" en Misteriosa Buenos Aires, Buenos Aires, Sudamericana, 1996, pp. 282-287.

Pizarro, Emilse, "Salen a luz las costumbres porteñas", La Nación, 6 de Febrero de 2000, Buenos Aires, p. 20.

Saez Germain, Alejandro. "Sangre fértil", Noticias, 17 de Abril de 1994, Buenos Aires, pp.46-51.

Stuart, Mark, "El 'Rey' Luis Alfonso", El Mundo [en línea], N° 366, 20 de Octubre de 2002, [consultado el 25-3-2003]. Disponible en
http://www.el-mundo.es/cronica/2002/366/1035193632.html

Zapiola, Federico, Luis XVII: ¿Murió en Buenos Aires? Hechos y sugestiones extrañas, Buenos Aires, Edición del autor, 1941.

Zapiola, Federico, Luis XVII: ¿Murió en Buenos Aires? Hechos y sugestiones extrañas. Apéndice por Lucrecia y José Matías Zapiola, Buenos Aires, Enrique Bassi, 1991.

Zapiola, Lucrecia. Soy Luis XVII. Debo llamarme Pierre Benoit, Buenos Aires, Edición de la autora, 1993.
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Re: Louis XVII, le retour...

Message par BRH » Vendredi 04 Novembre 2011 18:25:11

Le Zapiola, Argentine basques famille qui vit avec le souvenir de Louis XVII et l'héritage de la couronne française
Gonzalo Javier Auza

Avant de s'installer en Amérique, et Soule Zapiola apparaissent en Gipuzkoa. L'un des premiers dont les nouvelles sont de Jean de Sapiolle, créé en Moncayolle et épousa Jeanne de Armain. Le fils de ce mariage, et Armain Sapiolle Pierre, né en 1700, a déménagé à Orio, où il épousa Josefa de Oiamburu et Zabala. Dans le nouveau domicile Castilianize son nom pour devenir Pedro de Zapiola et le bras gauche et deux enfants avec le nouveau nom: Manuel Joaquin et Antonio José.

Manuel Joaquin est devenu un marin et en 1759 sont arrivés à Buenos Aires en commandement de la goélette de San Ignacio. Après plusieurs missions dans le Cône Sud a été établie de façon permanente dans cette ville, où le gouvernement civil a participé et mené des affaires. En 1771, il épousa Maria Encarnacion Lezica et Alquiza, fille de John et Torrezuri Lezica, fondateur de la ville de Luján et patron du couvent de Santo Domingo de Buenos Aires. De ce mariage est né José Matías Zapiola général, compagnon de saint Martin dans leurs campagnes et les grands pilotes militaires du mouvement d'indépendance en Amérique.

Petit-fils d'un marin était Joseph Joachim Manuel Matias Zapiola (petit-fils d'un autre Matthias Joseph, les militaires). Ce personnage est né en 1852 présenté par son mariage avec Dolores Candida Benoit, le Dauphin de France dans l'histoire de l'Zapiola famille.


Vaisselle appartenant à Pierre Benoit, actuellement détenus par le Zapiola famille.

Un Français sans passé

Le 1er Juillet 1818 de Buenos Aires est devenue la goélette française La mousseline de soie, du port de Havre de Grace. Dans ce navire transportant un groupe de Français venus s'installer dans le Rio de la Plata. Parmi eux, Pierre Benoit. L'homme aux yeux bleus, cheveux blonds bouclés, sourcils arqués et une fossette au menton vécu 34 ans en Argentine, et a développé une intense carrière, mais pendant toutes les années ces maintenu une forte secret sur sa vie antérieure en Europe.

Il a épousé Maria de las Mercedes Lois Espinosa, après avoir surmonté une forte résistance des parents qui n'ont pas accepté l'union anonyme avec un Français qui n'était pas connu de la famille, et avait deux fils, Petrona, qui n'a laissé aucun descendant, et de Pierre. La fille aînée de ce dernier était Dolores Candida, épouse de Joseph Matthias Zapiola.

Le Benoit Zapiola ont ainsi hérité d'un héritage historique qui a été enregistré dans le secret de famille, a toujours dit de se faufiler sur les messages télégraphiques, pendant de nombreuses années et seulement depuis 1941-avec un livre de Frédéric-Zapiola commencé à voir le lumière: grand-père Pierre Benoit était en réalité Luis Carlos de France, Louis XVII.


Signature de Pierre Benoit, qui se termine par un signe similaire à celle trouvée dans le début de l'Ancien Testament de Louis XVI.

«Je suis Louis XVII. J'appelle Pierre Benoit"

Selon la famille, Pierre Benoit n'était pas plus l'un des usurpateurs, désireux d'occuper un trône, mais au contraire, c'était un homme qui a essayé de mener une vie dans l'anonymat, avec un strict silence sur son passé, peut-être comme un moyen d'échapper à la mort ou l'emprisonnement. Compte-gouttes dit son secret à sa femme et sa fille, et à gauche ici et là des signaux contradictoires et mystérieux.


Le signe commence par le testament de Louis XVI est similaire à celui mis Benoit Pierre la signature finale.

L'histoire parvint aux oreilles de Dolores Candida de la bouche de sa tante, Petrona, fille de Pierre, et la famille lui a coûté de nombreuses années pour arriver à dire tout ce qu'il avait entendu. En fait, dans une lettre dit:? "Ce que nous voulons connaître la vérité si tard et si aucun objet [...] N'est-ce pas les couronnes ou les boucliers de l'homme qui l'affirment, mais le nettoyage de votre âme, sa performance honnêtement, sans demander de l'aide à ceux qui ont quitté. Mon grand-père était bien née, plus à un moment fatal, se contenter de savoir que nous sommes bien nés ». Au fil du temps, Dolores a été obtenue à partir du secret, mais quand il rompit le silence a aussi dit: «Il m'a dit [ma tante] quelque chose, pas tout, et m'a dit que son père lui a conseillé le silence, parce que si il a été dit qu'il aurait perdu du procès. " Ainsi, la tradition orale avait une pause pour lesquelles l'information a été perdue.

Dans ses mémoires, rappelle Dolores Candida Benoit a dit à sa fille de Petrona: «À la fin de 1793, au moment de la Terreur, une femme âgée et un homme m'a pris sous une vaste couche cachée, dans une voiture, une nuit noire, et ils m'ont donné de se marier Benoit, dans le port de Calais. Petrona ne me demandez pas de parler d'avant cette nuit. J'ai reçu une excellente éducation et privé, était comme cachée, mais très bien traité, avec une grande affection. "

Lucrecia Zapiola, petite-fille de Dolores et de la recherche au sujet de Pierre Benoit, dans son livre Je suis Louis XVII. J'appelle Pierre Benoit explique en détail comment l'échange aurait produit un remplacement que les dauphins sont morts dans la prison du Temple, et décrit les documents écrits, témoignages oraux et des indices qui confirment la théorie selon laquelle son grand-père serait de Louis XVII.

Le passé vient par

Malgré son silence sur le passé, Pierre Benoit ne cachait pas sa vaste culture, le résultat d'une éducation privilégiée, parle cinq langues, dont le latin et le grec, était civil et architecte naval, dessinateur et peintre, et avait connaissance de l'astronomie, la botanique et la géodésie.


Colonnes en face de la cathédrale de Buenos Aires, qui a conçu Pierre Benoit. Dans le détail, vous pouvez voir un cours de dauphin couronné. Photo: Gonzalo J. Auza

Sa solide expérience l'a amené à fréquenter le naturaliste français Bonpland AMADEE, voyager au Paraguay, en créant des dessins de flore et de faune pour leurs études. A également travaillé pour de nombreuses années de conception et des résidences privées pour les bâtiments du gouvernement argentin, y compris le cimetière de la Recoleta et la face de la cathédrale de la ville. Cette dernière activité était la principale occupation, il a vécu jusqu'au jour de sa mort.

Si vous avez eu à se référer à ses origines se contredit parfois indiqué qu'il était né «dans le berceau d'or» sans autre explication, et d'autres fois dit qu'il était «fils d'une blanchisseuse" ou "un pêcheur de Puerto de Calais. "


Dessins attribués à Pierre Benoit. Fabriqué dans une exploration des AMADEE Bonpland.

Il a constaté des problèmes similaires quand il doit rendre compte de leur date de naissance ou de baptême. Arrêtée à des époques différentes une date différente étalement savons avec certitude que de prévenir leur âge. A l'occasion de son mariage doit indiquer le nom de leurs parents et que Pierre a dit Joan Benoit et Marie Joseph Daul. Ainsi, les descendants ont découvert caché dans le nom de sa mère supposée de Marie-Antoinette:. "Marie [Antoinette Josèphe] Jeanne [, archiduchese] D ['] Au [Triche et de] Nous [Lorraine] La naissance et le baptême apparaissent à Calais, mais certains pensent que pourrait être forgé pour appuyer le changement d'identité.

La vérité est qu'il ya beaucoup d'éléments dans la vie de Pierre Benoit sûr il loin d'origines humbles qui se jugées. La forte culture de fond et ont été éduqués dans leur propre maison-opportunités-comme l'a souligné la distance entre le monde des pêcheurs. En complément, avaient des relations qui est venu à d'autres cercles. Parfois, la correspondance reçue de la France qui avait prudemment disparu. Mer était en marche, avait appartenu à l'armée impériale et avait été protégé par Napoléon sous l'Empire et pendant la «Cent Jours», selon des documents détenus par la famille. Il avait aussi un haut degré de la franc-maçonnerie, quand il est venu en Amérique avec une lettre de recommandation adressée à Simon Bolivar (jamais utilisé) et, fait intéressant, avait le nom symbolique "Bolivar II» dans la société secrète.

Signaux avec un halo de mystère


Auto-portrait de Pierre Benoit, qui sont en partie le lys qui ont été cachés dans le cadre initial.
Les membres de famille Zapiola qui étudient la vie de son ancêtre découvert de nombreux signes étranges laissés par Benoit ici et là.

Suppression partie d'un auto-portrait, par exemple, a trouvé quatre lys dans, qui parlent de leur origine. De même, dans de nombreux tableaux et inscriptions laissées Benoit "la fin" ou "Z", qui joue la famille comme «Dolphin» ou «est» serait remplacé par «lis». En outre, les signatures de leurs plans semblent se fondre un «P» Pierre avec un "L" et "C" entrelacés (Luis Carlos), et le "B" Benoit est également transformé en un "R" Roi . Dans d'autres œuvres sont cachés par les lettres «LCRF" qui serait lu comme Luis Carlos roi de France.


Peinture de Pierre Benoit. La femme représentée aurait des caractéristiques similaires à celles des membres de la famille royale française.
Un de ses tableaux est le soldat entrer dans le magasin Cimber Mario pour le tuer, et ce, selon certains, se réfère à un discours de Vergniaud à l'Assemblée réputé Louis XVI, depuis la scène n'avait rien à voir avec la vie connue Benoit. Parmi les déclarations les plus curieux comprennent trois portraits de femmes dont certains trouvent une ressemblance frappante avec Marie-Antoinette, Madame Royale et Madame Elisabeth, sœur de Louis XVI.

Une mort aussi étrange que son passé

Le 21 août 1852 atteint le port de Buenos Aires un bateau de la France. En vertu d'un «docteur» qui sont allés à la maison de Benoit et a demandé à voir. Le propriétaire était dans son lit avec un mal de jambe, puis je fus introduit dans la chambre. Lorsque Mercedes, l'épouse de Benoit, a remarqué que le visiteur a effectivement connu son mari, laissé seul. Après un moment le docteur prit son congé de l'épouse de Benoit et retraités. Quand elle est retournée à la salle de fonder une désolation: son mari avait été empoisonné. Ils voulaient trouver le meurtrier, mais il a découvert qu'il avait quitté immédiatement pour l'Europe.

Ainsi, avec le même mystère qui entoure sa vie dans le vieux continent, et ne parlait que de manière synthétique à leurs familles immédiates, est décédé Pierre Benoit, qui avait aucun ennemi en Argentine.

Une ouverture finale?

Un siècle plus tard, en avril 2000, deux tests d'ADN effectués par les universités de Louvain et le Munster qui est censé être le cœur du Dauphin, qui avait été volé par le Dr Pelletan lorsque vous avez effectué l'autopsie de l'enfant mort dans le Temple le 8 Juin, 1795 - certifié qui a appartenu à la famille de Marie-Antoinette. Ainsi, accordant foi à l'histoire officielle, selon laquelle Louis XVII était mort en prison, et exclu de la course des prétendants à la couronne de nombreux de France, qui au cours des derniers siècles a alimenté une production littéraire entre 500 et 800 œuvres.

Cependant, malgré les nouvelles rapportées par la presse à cette époque, le professeur Jean-Jacques Cassimann Université de Louvain ont rétracté dans l'identification du cœur avec Louis XVII, car elle pourrait appartenir à un autre membre de la même famille, dit Lucrecia Zapiola.

En plus du test ADN, il existe d'autres éléments disponibles pour connaître le véritable sort de Louis XVII. La volonté de la duchesse d'Angoulême, sœur du Dauphin, qui pourrait être dans les archives du Vatican, est l'un des documents les plus intéressants, à l'encontre de l'hypothèse que la duchesse avait un «grand secret» qui aurait torturé durant toute sa vie.

Argentine basques famille, quant à lui, a un intérêt dans des tests d'ADN effectués sur les restes de son ancêtre, mais personne ne défrayer une telle recherche. Aussi en attente est une excavation du site anciennement occupé par la maison de Benoit à Buenos Aires, car selon la tradition familiale bouteilles Zapiola y être enterré avec la documentation. L'Université de Buenos Aires et l'Institut Historique de la même ville a mené une fouille en 2000, sans succès, mais Zapiola Lucrecia explique que les chercheurs excavé d'une bande de terre où il a eu tort, et non la maison.


Braid conserve la famille Zapiola et appartenait à Marie-Antoinette.
Pierre Benoit n'aurait pas pu Louis XVII, si tel était le cas ... Qui était-il? Un membre de la noblesse française fuyant son passé? Est-ce que un autre membre de la famille royale? Vous pouvez tester un autre élément qui fournissent des données sur leur origine: une tresse appelée Marie-Antoinette, stockée dans une broderie de soie de perles d'argent, qu'il légua à ses héritiers. Comment proche de la reine pourrait être de recevoir ce cadeau?

La France est très à l'aise avec leur république, mais si un jour revenir à établir une monarchie, aurait pu trouver le propriétaire de la couronne entre les héritiers de Pierre Benoit, éventuellement en Argentine Zapiola basques famille. Une véritable curiosité politique.
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Re: Louis XVII, la piste argentine...

Message par BRH » Dimanche 06 Novembre 2011 16:36:06

"Pierre Benoit, un autre architecte français installé en Argentine, fut nommé directeur du département topographique.

Son fils, Pierre Benoit, (1836-1897) dessina les plans de la cathédrale de La Plata et de plusieurs autres bâtiments publics de la capitale de la province de Buenos Aires. Il s´inspira du néogothique, universalisé par Eugène Emanuel Viollet le Duc. Benoit a été l’architecte argentin le plus prolifique du XIXème siècle."

http://fr.wikipedia.org/wiki/Pedro_Benoit
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Re: Louis XVII, la piste argentine...

Message par Antonio » Dimanche 06 Novembre 2011 23:14:44

Tiré par Jacques Hamann et Maurice Etienne: " Louis XVII et les 101 prétendants"
Editions le Semaphore


BENOIT Pierre
Le 26 août 1941, est paru un livre à Buenos Aires, imprimé par la typographie "San PabJo" qui avait pour titre: "Louis XVII muriò en Buenos-Aires ?" dont l'auteur était Frederico Zapiola. En ce temps-Ià, les historiens n'eurent pas connaissance de ce nouveau prétendant.

Dans le n°164, de janvier 1953 de la revue "Histonium", à la page 45, Frederico Zapiola publiait un article intitulé "Luis XVII no muriò en el Temple" dans lequel l'auteur s'oppose à Me Maurice Garçon pour soutenir que l'enfant mort au Temple n'était pas Louis XVII. En 1991, le livre de F. Zapiola est réédité par les neveux de l'auteur : Lucrecia et José Mathias Zapiola.

Très récemment, le journal argentin "La Nacion", sous la plume de Luis F. Nunez, remit en faveur Pierre Benoit par l'article intitulé: "El enigmatico destino de Luis XVlI. Enfin, le journal "Point de Vue", n°2343, du 29 juin 1993, invite ses lecteurs à prendre connaissance d'un "Nouveau Louis XVII à Buenos Aires", par Angel Fumagalli.

Quoi qu'il en soit, Benoit n'a jamais prétendu publiquement être le fils de Louis XVI. Tout au contraire, il affectait la modestie, la pudeur et la discrétion. Donc, sous le nom de Pierre Benoit, Louis XVII débarqua à Buenos-Aires le 1er juillet 1818, arrivant de Saint-Domingue après une multiple et féconde carrière.

Pierre Benoit fit l'impossible pour cacher son passé et décourager la curiosité de ses enfants sur ce sujet. Il se prétendait être le fils d'un pauvre pêcheur et d'une humble lavandière, ce qui s'accordait mal avec son éducation parfaite et ses vastes connaissances. Outre sa langue maternelle, il parlait l'anglais, l'allemand et un castillan élégant; il connaissait le latin, le
dessin tant technique qu'artistique, et les hautes mathématiques, toutes choses peu communes d'alors.

Pierre Benoit était un franc-maçon. En 1825, il avait reçu un diplôme maçonnique de la ville de Philadelphie, diplôme le faisant "Apôtre et Grand Maître Charbonnier". D'emblée, il bénéficiera de hautes protections, notamment celles du
général Belgrano et de Bernadino Rivadavia.

Ce fut son arrière-petit-fils, Frederico Zapiola qui a prétendu pour la première fois, que son aïeul était Louis XVII.Sauvé du Temple, il fut confié à Monsieur de Petitval au château de Vitry. Plus tard, entre 1808 et 1814, sous le nom de Pierre Benoit, il servit dans la marine impériale. Le 14 avril 1814, l'aspirant Benoit reçoit l'ordre de prendre le comman-dement du bateau de seconde espèce (n°274), en opération dans la Manche. En juillet 1818, il débarque à Buenos Aires, mais il est obligé de renoncer à la marine, car il souffre d'une ancienne blessure à la jambe. En 1820, il est chargé d'accompagner le naturaliste Aimé Bonpland, lequel herborisera dans le centre de l' Amérique du Sud.

En guise de conclusion:
Pierre Benoit naquit à Calais dans le Nord de la France, le 15 Thermidor an II (2 août 1794). Il était le fils de Pierre-François Benoit et de Marie-Jeanne Daulo. Marié à Buenos Aires le 22 juillet 1828 avec Maria-Josepha de las Mercedes Lejes, il eut deux enfants :

1. Petronia-Mercedes, née le 17 mai 1829
2. Pedro, né le 18 novembre 1836, lequel épousa en 1862 Dolores Vasquez. La fille de ce Pedro, Benedetta-Dolores, épousa en 1882 José Martin Zapiola, et dont le petit-fils Frederico est l'auteur dulivre précité.

Le 22 août 1852, mourait à Buenos Aires un certain Pierre Benoit, homme de science, naturaliste et membre du Conseil des Travaux Publics du général Juan Manuel de Rosas. Ce fut une mort mystérieuse et soudaine. Quelques heures auparavant, le défunt avait pris des cachets ordonnés par un médecin français inconnu, récemment débarqué en Argentine.

Doué d'un indéniable talent artistique, Benoit a laissé à la postérité de nombreux tableaux, notamment des marines, et curieusement, des portraits de Marie-Antoinette et de Madame Elisabeth. Son autoportrait est orné defleurs de lys et des armes des Bourbons. Sur l'un de ces tableaux, l'on y découvre ceci: "L.C.R.F. -P.B.", permettant à Frederico Zapiola de traduire en clair: "Louis Charles Roi de France -Pierre Benoit" ! !

Sources
."Le Destin Enigmatique de Louis XVIF', par Luis F. Nunez -Journal La Nacion
."Pierre Benoit était-il Louis XVII ?", par Gustavo Buratti -La Science Historique
1964 -1er semestre 1965- Nouvelle série
."A Buenos Aires, un nouveau Louis XVIf', par Angel Fumagalli -Point de Vue,
no2343, 29 juin 1993
."Luis XVIl murio en Buenos Aires ?", par Frederico Zapiola, Buenos Aires, 1991
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Re: Louis XVII, la piste argentine...

Message par BRH » Mardi 08 Novembre 2011 16:11:54

Circonstance singulière, le nom de famille "Daulo" ne semble pas avoir existé...

Toutefois, le nom "Daul" existe :

"Daul
Surtout porté dans le Bas-Rhin (il y est attesté au moins depuis le XVIe siècle), le nom s'écrit aussi Daull. Je n'en connais pas le sens, mais M.-T. Morlet propose une forme alémanique Taul, avec le sens de tête, cime d'un arbre."

Dictionnaire étymologique des noms.
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Re: Louis XVII, la piste argentine...

Message par CEHQ » Mardi 08 Novembre 2011 16:35:41

Vous pouvez trouver les 2 livres sur Pierre Benoit écrits par Federico et Lucrecia Zapiola sur le site du CEHQ Louis XVII :
http://louisxvii.chez.com/bibliographie_illustree_977.htm
CEHQ
 
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