le Chaînon manquant entre Napoléon et Louis 17 retrouvé ?

Le vicomte Victor François de Montchenu a laissé un témoignage en faveur de Richemont, en date du 8 novembre 1842. Il était le frère cadet du marquis Claude Marin Henri de Montchenu qui servit Louis XVIII en qualité de commissaire extraordinaire du roi à Sainte-Hélène, de 1816 à 1821...
Extrait de Wikipedia:
Victor François de Montchenu, issu d'une des plus anciennes familles du Dauphiné, vouée depuis plusieurs siècles à la carrière des armes, naquit le 6 novembre 1764 à Bougé-Chambalud (Isère).
Admis, encore enfant, à l'Ecole des chevaux-légers, il avait obtenu, en 1775, en entrant dans sa douzième année, une sous-lieutenance au Régiment d'Infanterie du Roi, où les emplois étaient réservés aux fils de famille les plus recommandables par leur noblesse et leurs services. Il était capitaine dans ce corps à l'affaire de Nancy, et se trouvait à côté du lieutenant Désilles, lorsque ce jeune officier périt victime de son dévouement, en se jetant à la bouche d'un canon, dans l'espoir d'arrêter la lutte engagée entre les patriotes et les troupes de M. de Bouillé.
Constamment attaché aux principes monarchiques, lorsque de Montchenu vit en 1792 que la cause royale était irrévocablement séparée de celle de la nation, il quitta la France et rejoignit l'armée des Princes, où il servit en qualité d'aide-de-camp du général Livarot. En mars 1793 il assistait à la défense de Maestricht contre l'armée de Dumouriez, et pendant les campagnes de 1794 et 1795, il servait en qualité d'aide-major au régiment de Broglie, à la solde de l'Angleterre.
Rentré en France à la paix de 1814, de Montchenu reçut la croix de Saint-Louis, le 13 août, et le brevet de maréchal de camp le 30 décembre de la même année. Son frère aîné fut l'année suivante envoyé en qualité de commissaire du gouvernement français à Sainte-Hélène pour y surveiller Napoléon Ier.
Sous la Restauration, le général de Montchenu a exercé les fonctions d'inspecteur général d'infanterie. Il a été successivement nommé chevalier, puis officier de la Légion d'honneur, le 18 mai 1820, et 1er mai 1821.
Après les événements de 1830, il a cessé de servir, a été admis à la retraite au mois de février 1835 et est mort à Paris le 12 janvier 1849, âgé de 85 ans.
Extrait de Wikipedia:
Victor François de Montchenu, issu d'une des plus anciennes familles du Dauphiné, vouée depuis plusieurs siècles à la carrière des armes, naquit le 6 novembre 1764 à Bougé-Chambalud (Isère).
Admis, encore enfant, à l'Ecole des chevaux-légers, il avait obtenu, en 1775, en entrant dans sa douzième année, une sous-lieutenance au Régiment d'Infanterie du Roi, où les emplois étaient réservés aux fils de famille les plus recommandables par leur noblesse et leurs services. Il était capitaine dans ce corps à l'affaire de Nancy, et se trouvait à côté du lieutenant Désilles, lorsque ce jeune officier périt victime de son dévouement, en se jetant à la bouche d'un canon, dans l'espoir d'arrêter la lutte engagée entre les patriotes et les troupes de M. de Bouillé.
Constamment attaché aux principes monarchiques, lorsque de Montchenu vit en 1792 que la cause royale était irrévocablement séparée de celle de la nation, il quitta la France et rejoignit l'armée des Princes, où il servit en qualité d'aide-de-camp du général Livarot. En mars 1793 il assistait à la défense de Maestricht contre l'armée de Dumouriez, et pendant les campagnes de 1794 et 1795, il servait en qualité d'aide-major au régiment de Broglie, à la solde de l'Angleterre.
Rentré en France à la paix de 1814, de Montchenu reçut la croix de Saint-Louis, le 13 août, et le brevet de maréchal de camp le 30 décembre de la même année. Son frère aîné fut l'année suivante envoyé en qualité de commissaire du gouvernement français à Sainte-Hélène pour y surveiller Napoléon Ier.
Sous la Restauration, le général de Montchenu a exercé les fonctions d'inspecteur général d'infanterie. Il a été successivement nommé chevalier, puis officier de la Légion d'honneur, le 18 mai 1820, et 1er mai 1821.
Après les événements de 1830, il a cessé de servir, a été admis à la retraite au mois de février 1835 et est mort à Paris le 12 janvier 1849, âgé de 85 ans.