Les cheveux du substitué ?

Suite à la publication des travaux du Pr Lucotte sur la mèche Reiset (effectués à la demande de Mme de La Chapelle, présidente du Cercle Louis XVII), une discussion passionnante a débuté sur le CRIL17 :
http://cril17.org/2015/03/12/autour-dun ... ment-45958
Nous semblons toucher près du but pour faire reconnaître que nous sommes bien en présence des restes de l'enfant mort au Temple en juin 1795 et que ce dernier ne pouvait évidemment pas être Louis XVII, comme tout le laissait penser jusque-là ! L'existence d'un substitué est donc bien proche d'être reconnue !
http://cril17.org/2015/03/12/autour-dun ... ment-45958
Nous semblons toucher près du but pour faire reconnaître que nous sommes bien en présence des restes de l'enfant mort au Temple en juin 1795 et que ce dernier ne pouvait évidemment pas être Louis XVII, comme tout le laissait penser jusque-là ! L'existence d'un substitué est donc bien proche d'être reconnue !
BRH dit :
16.3.2015 à 18:12
Il me semble que le texte du Pr Lucotte a été modifié à la relecture de son rapport sur quelques points mineurs ?
Cela étant dit, il convient de reconnaître l’excellence de son travail, ce dont je me réjouis. D’ailleurs, en octobre 2013, j’avais suggéré à Madame de La Chapelle de confier au Pr Lucotte cette mèche pour examen et ensuite, je n’ai pas manqué d’insister auprès de ce dernier pour accomplir ce travail. Evidemment, on pouvait espérer en tirer de l’ADN, mais ceci s’est révélé impossible. Quoi qu’il en soit, le résultat est là. Les dépôts constatés en vue de « blondir » les cheveux revêtent une importance extrême.
Est-ce suffisant pour conclure que nous sommes bien en présence des cheveux de l’enfant mort au Temple en juin 1795 ? Je serais tenté de le soutenir, comme l’affirment les éminents intervenants. Mais je crains fort que l’on nous oppose un manque de traçabilité, au nom de l’histoire officielle.
L’examen du crâne, scié au niveau des orbites, selon la description même de Pelletan, permettait déjà de l’affirmer. On connaît les dénégations qui ont été opposées à cette évidence.
La comparaison avec la mèche Damont ferait probablement taire toutes les contestations. Surtout si l’on y retrouve les fameux dépôts ! Toutefois, comme nous sommes en présence d’une question qui touche à la politique, je n’en suis pas absolument certain.
Pour ce qui est d’une demande d’annulation de l’acte de décès sur ces bases, l’idée est séduisante. Les lumières de François-Marie seraient les bienvenues…