Re: message 18 sept. 10h45
Pénélope,
en cherchant le livre que Duc de Reichstadt a mentioné je suis venu directement par Google ici, parce que DDR a orthographié (quel mot pour "spell"

) le mot "Pernoud" comme "Pernoux"

.
http://www.amazon.fr/Femme-au-temps-Cat ... 2234053579
"droit romain, qui traitait réellement les femmes comme d'éternelles mineures..."
Je suis d'accord. J'ai d'ailleurs lu un livre en cherchant pour le concept du mot "virtus" dans le monde romain et ça pour l'ancien forum de l'histoire du BBC. Dans ce livre l'auteur parle aussi de l'attitude des Romains du premier siècle AD envers les femmes en comparaison avec l'attitude judaique et chrétienne de ce temps.
Parce que l'ancien forum était disparu, j'ai renouvelé ma question sur le forum nouveau du BBC:
http://www.bbc.co.uk/dna/mbhistory/F223 ... ad=3174357
"Ancients thought different than we" (les anciens(Romains) pensaient autrement que nous)
Message 1: le livre: "The body and society. Men women and sexual renunciation in early Christianity" (Le corps et la société. Hommes femmes et renonciation sexuelles dans la Chrétienté commençante" (je ne trouve pas un mot pour "early" ni en néerlandais, ni en français?) de Pete Brown. Si vous comprenez l'Anglais: mon quatrième et cinquième paragraph. C'est un peu en contradiction avec ce que vous dites de la Chrétientè du moyen-âge et même de mon temps de collège

.
J'étais dans le temps surpris par les paralleles du Christianisme comme je l'ai appris à un collège catholique près de Gand dans les années cinquantes avec l'attitude romaine du premier siècle AD.
Eric Lindsay (un endocrinologue canadien) était directement d'accord pour l'attitude chrétienne, mais il ne pouvait pas croire que l'attitude des romains (des notables) était si étroitement commun avec celle de la Chrétienté.
Dans mes autres messages je recherche la question plus au fond: messages: 15, 30, 33 de lol beeble, 65, 71, 72, 82 de lol beeble, 98, 106, 108 de lol beeble. Si vous avez besoin d'assistance pour la traduction ou d'autres questions...? Allez y.
Wollemi est une Australienne, Caro de la Nouvelle-Zeelande. Jozef est un Polonais, qui est très gentil, mais ne dit rien de mal de la Pologne ou de la foi catholique...
"chez nous on brûlait les hérétiques, mais sans distinction de sexe particulière"
On a aussi eu un débat sur le BBC autours des martyrs catholiques et protestantes en Angleterre avec une longue discussion du Polonais Jozef avec quelqu'un du, je pense, Royaume-Uni. Je n'ai pas le temps pour le rechercher et d'ailleurs je n'avais pas pris part dans le débat.
Mais les Anglicans et les Protestants exagèrent maintes fois les morts au bûcher (burnt at the stake) des Protestants. J'étais moi-même surpris quand un historien comme Geoffrey Parker dans "Dutch revolt" (la révolte néerlandaise), parle aprés recherche d'un nombre entre six et sept cents de procès pendant toute la guerre de quatre-vingts ans. Les Catholiques n'étaient pas mis au bûcher, mais ils étaient quand même assassinés pour leure foi. Et d'accord c'étaient plutôt des prêtres, mais des prêtres sont aussi des êtres humains... comme les martyrs de Gorcum le 9 juillet 1572 ou le massacre de Roermond aussi en 1572.
En Angleterre aussi les Catholiques n'étaient pas mis au bûcher, mais ils étaient quand même tués inculpés par des proces, parce que les Catholiques étaient considérés comme "ennemis de l'état". Et pour moi mort est mort, quand c'est par un proces de l'Inquisition ou par un proces de trahison de l'état

. Et peut-êtres les deux étaient des proces "politiques"?
De "Bloody Mary" avec la réaction catholique on parle que! de trois cent morts "burnt at the stake". C'était tout autre dans la guerre de trente ans où des milliers de personnes étaient tués pour la foi. Certains régions n'avaient qu'un tiers de la population d'auparavant par les combats et la famine.
Quand à l'égalitè des hommes et des femmes, je pense quelle n'est qu'achevée dans la XXIième siècle dans les milieux dits de l'Ouest...et même là

. Ma femme dit toujours que je suis dominant... et après tout ce que j'avais fait pour plaire à elle...
Cordialement,
Paul.