Francois Delpla a écrit :Oliviert a écrit :
Sujet du message : Re: Histoire mondiale de la France, dir. Boucheron (Seuil)
Message Publié : 15 Jan 2017 4:23
Ce livre contient 800 pages pour 145 chapitres écrits par 122 auteurs. Il est dommage que très peu de ces historiens contribuent à Passion-Histoire. On se demande parfois s'ils ont internet. Ca pourrait être intéressant de discuter ici avec eux de leurs chapitres.
Le pauvre, s'il savait !
La réaction directoriale n'a pas tardé :
Narduccio a écrit :
Sujet du message : Re: Histoire mondiale de la France, dir. Boucheron (Seuil)
Message Publié : 15 Jan 2017 15:15Helios a écrit :
Mais peut-être que certains participent à ce forum sans qu'on le sache. Tout le monde a un pseudo sur les forums (et, rassurez-vous, je suis sûr qu'ils ont Internet!)
Certains sont venus sans pseudos. Le problème est qu'ils ont parfois du mal avec le fait que nos forums sont ouverts. Il y a aussi le fait qu'un troll ne peut pas être calmé avec un appel à la raison. Et il y a des personnes sur le forum qui pensent avoir raison, même quand tout montre qu'ils ont une vision très erronée des choses. En disant cela, je pense à certains identitaires qui ont sévi ici par le passé et qu'on a fini par exclure car les discussions de sourds finissent par faire fuir les gens intelligents.
D'autres participent avec un pseudo et on se rend compte quand ils participent à une discussion qu'ils savent de quoi ils parlent.
Et puis, il y a ceux qui ramènent ici des discussions entre chapelles et qui en arrivent très vite aux noms d'oiseaux. Toujours étonnant de constater que l'on peut être très instruit, très intelligent et ne pas pouvoir accepter que les autres puissent avoir un avis différent ...
Dans quelle(s) catégorie(s) entrons-nous, BRH et moi ? Serions-nous identitaires ou adeptes des noms d'oiseaux ?
Je rappelle qu'après m'avoir rangé dans la seconde, Raguse a été impuissant, pendant des dizaines de mois et de pages, à produire le moindre exemple.
Bref, l'enfumage des passionnés continue, étayé sur une bonne conscience inébranlable, du moins en façade. Pas question, notamment, d'avouer qu'on a banni des historiens : libre aux naïfs de croire qu'ils sont partis d'eux-mêmes.