Duc de Raguse a écrit :
Dans un ton condescendant et plein de mépris
Duc de Raguse a écrit :, distribuant aux uns et aux autres vos bons et mauvais points, faisant passer Phocas pour un idiot ("pire que Savinien", il s'agit là de vos mots) et cherchant querelle à Barak parce qu'il avait dit du mal de Ferrand et du bien de vous (que vous n'avez d'ailleurs pas compris !)...
Duc de Raguse a écrit : Lorsque Tonnerre se donnait du mal de vous répondre dans des messages argumentés et fouillés, vous vous borniez souvent à ne poster qu'une phrase de critiques stériles, jamais étayées le pire était un qui se contentait de reprendre une de la dizaine pour simplement écrire "quelle perle" et repartir aussitôt. C'est quoi ce comportement ?
Duc de Raguse a écrit :En fait, c'est lui qui vous à fait la leçon et vous ne l'avez pas supporté
Duc de Raguse a écrit :: vous vous êtes donc mis à gesticuler dans tous les sens pour récupérer le crédit perdu
Duc de Raguse a écrit :Où sont donc vos soutiens ? J'en ai lu quatre chez Bruno (qui n'avaient pourtant pas l'habitude d'y venir) qui vous ont fait comprendre que c'est vous qui aviez tord, mais personne pour soutenir que c'était la modération de PH.
Vous considérez-vous toujours blanc comme neige envers et contre tout ?
Car hormis, vous rapprocher du cas de Bruno - qui n'a rien à voir avec le vôtre (faudrait être aveugle pour soutenir le contraire) - vous avez quoi ? Rien, sauf le nombre, la quantité, histoire de noyer dans un flot d'inutilités la vérité.
Duc de Raguse a écrit :Vous faites le reproche de ne pas vous répondre dans l'heure qui suit.
Duc de Raguse a écrit :
Comme quoi, non, une salle de profs n'est pas toujours remplie d'humanistes curieux, mais aussi d'aigris de mauvaise foi.
Pourquoi d'ailleurs parlez-vous toujours de salle des profs, qui plus est de lycée ?
Qui vous a dit que j'enseignait, en lycée en plus ?
Extrapolation, à nouveau !
le maréchal pilsudski avait verrouiller la question avec les russes nous perdrons notre liberté avec les allemand notre âme.
Tous les historiens disent que Hitler était déçu. Quant à Schmidt, il n'a pas besoin d'être indulgent avec Franco. Est-ce qu'il se soucie de l'opinion des Démocraties d'après-guerre ? Peut-être, mais ce n'est pas du tout certain. On peut supposer que Schmidt se contente de dire la vérité.
(...)
Je n'ai pas encore fini de les relire intégralement. Mais je supose que ces documents ont déjà été lus par les historiens. Pourquoi ne sont-ils pas arrivés à la même conclusion que vous ? Est-ce qu'ils ont mal interprété les documents ? Est-ce qu'ils ont lu d'autres documents en plus de ceux que vous signalez ? Autant de questions auxquelles je suis incapable de répondre.
Duc de Raguse a écrit :François Delpla a écrit :Tu devrais aujourd'hui te poser quelques questions sur les parentés stylistiques de Cardozo
On critique mon omnipotence en permanence et voilà que je devrais me transformer en officine de la stasi ? Il faudrait savoir...![]()
Alain.g a écrit :MessagePosté: 05 Avr 2012 12:29
Pas mal mais:
- Chamberlain n'est plus un appeaser après l'invasion de la Tchécoslovaquie en 1939 par Hitler qui considère le traité qu'il a signé comme un chiffon de papier. Voir la citation plus haut sur les nazis lors de la déclaration de guerre à L'Allemagne de la GB
- Il faut distinguer comme je l'ai dit un Churchill pas très en cour dans son parti et qui est jugé outrancier, du problème de traiter avec Hitler, ce qui diminue la porté du a), car Churchill va justement instrumentaliser le thème de traiter avec Hitler comme un repoussoir pour se remettre en selle dans le parti et les médias, en agitant le drapeau du patriotisme, de la grandeur de la GB. Il gagne haut la main et il est maintenant comme dit Lukacs le plus grand homme du siècle (sic), un géant.
- Halifax avait une tare, il ne siegeait pas à la chambre des députés mais aux Lords et ne pouvait donc venir à la chambre défendre ses idées. Fin 40, il est hors jeu.
- Depla en fait trop sur l'isolement de Churchill et la force des appeasers dont il grossit le rôle ce qui a pour effet collatéral de faire croire que Hitler, qu'il sous-entend comme avisé et très informé, aurait été à deux doigts de faire la paix avec la GB. Rien ne permet de le dire. Même si Hitler avait réussi à faire assassiner Churchill ce qu'il a tenté plusieurs fois sans succès, la GB n'aurait pas traité avec Hitler, elle l'avait déjà fait et avait été dupé à Munich. Eden aurait pris le relais de Churchill.
Hitler n'a pas ménagé la GB, il a échoué à la mettre à genoux et a renonçé à l'envahir. Les faits sont là.
Par contre que les anglais lors de Dunkerque aient fait croire à Hitler qu'ils réfléchissaient est possible, habituel quand on est mal. Ils l'auraient alors dupé, à leur tour!
" Dans une tentative apparente pour apaiser Halifax, Churchill a dit qu'il "doutait que quelque chose viendrait d'une approche à l'Italie, mais que la question était celle qui le Cabinet de guerre aurait à considérer." Cependant Halifax n'était pas d'humeur à être apaisé et tenté d'obtenir un commentaire cabinet de Churchill. Il a demandé à Churchill s'il «était convaincu que les questions vitales pour l'indépendance de ce pays n'ont pas été affectés serait-il prêt à discuter de ces termes?"
réponse de Churchill à Halifax est en contradiction directe avec ce qu'il avait dit au début Reynaud. Churchill a dit, "Je vous serais reconnaissant de sortir de nos difficultés actuelles sur ces termes, à condition que nous a conservé les éléments essentiels et les éléments de notre force vitale, même au prix d'une partie du territoire." Les historiens ont souvent utilisé cette déclaration de Churchill à suggèrent qu'il vacillé sur si oui ou non la Grande-Bretagne devrait faire un accord de paix avec l'Allemagne. Cependant, en comparaison avec ses déclarations antérieures sur le sujet une autre théorie devient apparente. Churchill tout simplement menti à Halifax dans le but de gagner du temps.
Churchill était un tacticien très rôdé, il a pu faire semblant d'abonder dans le jeu d'Halifax et gagner du temps comme dit l'article. J'approuve le rédacteur qui est comme moi impressionné par la constance de la position de Churchill et son résultat final.
Hitler n'a pas ménagé la GB, il a échoué à la mettre à genoux et a renonçé à l'envahir. Les faits sont là.
ciders
Je reste assez perplexe devant cette idée qui ferait de Canaris un nazi fanatique, et de surcroît, ami de Heydrich.
De même, le côté "agent secret nazi caché"... j'entends bien qu'il soit de bon ton de voir des complots partout, mais tout de même.
Daniel Laurent
Lire le livre de Kerjean avant de tirer des conclusions hâtives, merci.
L’amitié Heydrich-Canaris est une évidence abondamment sourcée.
pierma
Pour autant qu'on pouvait être ami avec Heydrich !!
Mauser
Toujours cette dichotomie de certains dignitaires nazis en privé des hôtes courtois cultivé pour certains. et en publique capable d'instiguer ou d'appuyer les pires mesures de l'état nazi.
Amitié entre les deux homme peut être un bien grand mot mais qui se servait de qui n'oublions pas que Heydrich reste un ancien officier de marine chassé par elle de ses rangs Qu'un amiral chef du renseignement des armées s'intéresse à lui pouvait flatter son ego.
Maintenant vu la complexité de l'amiral était-ce lui qui se servait d'Heyndrich dans le monde du renseignement tout est possible surtout l'incroyable.
La question serait plus qui intoxiquiat qui ou soutirait des renseignement à l'autre
Daniel Laurent a écrit:
Lire le livre de Kerjean avant de tirer des conclusions hâtives, merci.
L’amitié Heydrich-Canaris est une évidence abondamment sourcée.
J'entends bien, mais le livre de Kerjean, aussi bien documenté soit-il, ne constitue en rien l'Alpha et l'Omega, et pas du tout encore le livre recelant la Vérité absolue sur l'énigme Canaris. Même si François Delpla soutient largement la thèse de Kerjean sur d'autres forums.
Une des plaies du métier d'historien, c'est souvent cette facilité de brûler ce qu'on a adoré jadis, et de passer d'une thèse à son extrême contraire. Dire de Canaris qu'il a été un agent double, et rien de plus, c'est assez virulent, quand bien même effectivement Canaris et Heydrich ont été assez proches durant les années 1930. Et parler d'évidence en histoire... le terme est sans doute mal choisi.
Donc, en ce qui me concerne, et jusqu'à preuve du contraire, je ne suis pas tout à fait acquis aux thèses développées par l'auteur de cet ouvrage.
.de Canaris qu'il a été un agent double, et rien de plus
je ne suis pas tout à fait acquis aux thèses développées par l'auteur
Daniel Laurent
ciders a écrit:
Mais cela fait-il de Canaris un nazi fanatique comme Heydrich ?
Non, mais cela fait partie du "paysage" qui tends a le montrer.
Au fait, avez-vous lu ce livre ?
ciders
Pas encore. Mais comme il semble qu'il soit révolutionnaire et qu'il va tout changer de la perception acquise depuis quelques décennies dans le monde au sujet de l'amiral Canaris... ma foi, on peut toujours tester.
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