Après plusieurs semaines de contestations estudiantines, symbolisées notamment par l'occupation de la place Tien-an-Men à Pékin, le pouvoir dictatorial communiste se décidait à briser le mouvement pour les Droits de l'Homme en Chine. Alors que la France s'apprêtait à fêter le bicentenaire de la Révolution Française, les apparatchiks communistes n'hésitaient pas à noyer toute contestation dans un bain de sang. Dans la nuit du 3 au 4 juin, les tanks de l'armée "populaire" écrasaient les imprudents qui avaient cru pouvoir narguer l'une des dictatures les plus sanglantes au monde.
Une pensée pour cette jeunesse qui n'hésita pas à donner sa vie pour de nobles idéaux.