Un avatar de la guerre froide ?

L'après-Guerre et ses conséquences: la confrontation Est/Ouest jusqu'à la chute de l'URSS.

Message par A.Lionel » Vendredi 21 Septembre 2007 12:04:13

"J'ai déjà dit que l'explosion est l'événement déclenchant, mais que la cause de l'effondrement de la structure est la dilatation des matériaux, et si vous pensez qu'une telle dilatation se fait en 2 secondes. "

Alors pourquoi toutes les tours qui ont subit des températures bien supérieures de par le monde, ne se sont jamais effondrées? Les aciers étaient encore plus dillatés non?

"Là encore, personne n'est allé voir ce qu'il se passait dans la structure elle même...vos chiffres ne valent rien.
Les avions ont entamé la structure elle même, créant ainsi un contact direct avec les matériaux, la température de l'air ambiant n'a absolument pas joué."

C'est tellement vrai que l'air ambiant n'était pas suffisant pour que le kérosène s'enflamme à haut degré!
A parce que personne n'est allé voir, vous plaisantez j'espère?

"Les avions ont entamé la structure elle même"

Vous y etes allé vous, vous voyez je peux vous retourner l'argument!

"Là encore, personne n'est allé voir ce qu'il se passait dans la structure elle même...vos chiffres ne valent rien."

Mais si voyons, les tours ont été pulvérisées en poussières de béton, les barres du coeur coupées de la meme longueur par de simples incendies et en si peu de temps?
Je ne savais pas que les incendies avaient la précision de démolisseurs!

"Cherchez pas je vous dis, vous êtes en train de contredire la physique...cette "contre thèse" est une fois de plus une théorie du complot complètement absurde."

Deux tours qui s'effondrent verticalement à la vitesse de la chute libre à cause d'incendies pour vous cela ne va pas à l'encontre de la physique?

"Justement si je suis intervenu ici c'est que vous vulagrisez la mécanique et la thermique"

Bah, vous n'apportez rien de bien "scientifique" non plus, vous etes meme révolutionnaire en défiant les lois de la physique!

"Vous doutez des conséquences d'une dilatatuon et de ses causes?"

Non je n'en doute pas vos exemples je les connaissais, ceci dit, l'acier ne fond pas à 650 degrés, ni ne se ramolit et quand bien meme la température eut été de 1500 degrés je ne vois toujours pas comment les tours se seraient effondrées sur elles-memes!
Si pour vous les températures rapportées n'ont aucun interet effectivement cette discussion est inutile.
"Les vraies conquêtes, celles qui ne donnent aucun regret, sont faites sur l'ignorance."
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Message par A.Lionel » Vendredi 21 Septembre 2007 12:11:45

Et le Wt 7 ? Une explication ?
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Posté le : Jeudi 20 Septembre 2007 21:20:55 Sujet du message:

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Selon moi ça pourrait s'expliquer par l'effondrement des 2 autres tours, créant des vibrations et des contraintes énormes dans un périmètre très localisé...vibrations bien sûr transmises jusquà WT7, la structure de cette dernière entrant alors dans une fréquence proche de sa fréquence de résonnance, d'où son effondrement...mais il est clair que cette structure devait être sous-dimensionnée d'un point de vue vibratoire...


A causes différentes, meme résultat? :D

Savez vous que le WTC7 s'est effondré des heures et des heures après l'effondrement des WTC1 et !?

Vos vibrations ne tiennent pas la route.

En revanche des vibrations, non des explosions en sous-sol et deux tremblements filmés et enregistrés par sismographes ça ne vous choque pas?

Au fait pour le WTC7, l'ordre a été donné de le détruire alors qu'il n'y avait pas le feu! Et devinez par qui? Et surtout pourquoi, qu'y avait-il dans le WTC7?
Les WTC1 et 2 ont été détruites comme le WTC7, par implosions succéssives. Memes outils de démolition, memes conséquences.

Vraiment vous n'avez pas suivi l'affaire.
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Message par A.Lionel » Vendredi 21 Septembre 2007 12:31:15

"oubliez votre subjectivité et vos suppositions découlant d'une étude de textes qui vous échappent car vous allez vous casser les dents..."

Au fait, mes dires sont vérifiés, analysés, entrecoupés par différents témoignages de spécialistes, d'experts ou de simples passants ou témoins, par des preuves visuelles, auditives et matérielles, qui, au fil du temps, des années, sont de plus en plus précises.

Puisqu'il le faut dès ce soir (tant pis pour "la Réforme"), je réunirai tous les éléments sur l'effondrement des deux tours avec le nom des intervenants, vous verrez ma subjectivité, je la mets au placard, en revanche mettrez vous celle de spécialistes mondialement connus ou encore mettrez vous à la poubelle les témoignages des gens présents qui ont vécu cette tragédie?
Les mobiles aussi seront abordés enfin au moins les personnalités qui avaient des responsabilités s'agissant des deux tours et meme des trois, les mobiles demandant l'ouverture d'un autre sujet.

Vous avez déjà balayé d'un revers de main les deux ondes sismiques enregistrées, à quoi devrai-je m'attendre?
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Message par BRH » Vendredi 21 Septembre 2007 21:57:09

Dilatation et chaleur ? Mais comment expliquer les poutres cassées nettes ?

Les architectes américains qui insistent sur ce fait et contestent la version officielle sont donc des ânes ? :shock:
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Message par Paul Ryckier » Vendredi 21 Septembre 2007 23:53:40

Baron Percy a écrit :Cette théorie a fait florès peu après les attentats et elle continue à avoir ses adeptes inconditionnels, ce qui la fait surgir à la surface à intervalles réguliers.
Je dois reconnaître qu'elle m'interpelle sur certains points et que j'ai toujours été surpris par la vitesse d'écroulement des tours jumelles : moins de 10 secondes, soit le temps pour une pierre lancée du sommet d'atteindre le sol alors qu'il y avait une centaine d'étages dans chacune d'elles avec des superstructures qui auraient dû ralentir leur chute.
Autre élément surprenant : la pulvérisation des tours au point de ne pouvoir retrouver aucun objet intact.
Certains soutiennent donc que seule l'hypothèse d'une série d'explosions commandées à distance peut expliquer cela.
Si celle-ci devait s'avérer exacte, quel machiavélisme elle suppose dans le chef des autorités américaines !
C'est tellement monstrueux que c'en est difficilement imaginable.
Mais l'administration Bush nous a accoutumé à tellement de mensonges que l'on en vient parfois à se demander si l'inconcevable n'a pas réellement eu lieu...


Cher Baron et concitoyen,

j'ai vu comme beaucoup d'autres des théories de conspiration. J'ai déja pris part dans des discussions semblables sur le forum du BBC et ils ne mènent à rien.

D'après que j'ai vu une documentaire, les differentes "plafonds" étaient accrochés au structure de l'enveloppe par des triangles en acier. Par la chaleur de la kérosène ils se sont dilatés et les plafonds sont tomber l'un sur l'autre en augmentant la vitesse de la chute par chaque impact sur un nouveau plafond. Ce raisonnement me semblait logique, mais je ne suis pas assez compétent pour dire si ce théorie est exact ou non.

Dans le passée j'ai vu des techniciens qui faisaient des "vérités" en faveur d'un théorie officielle et aussi beaucoup qui le faisaient en faveur d'un théorie conspiratoire pour supporter des opponents politiques d'un gouvernement. Qui croire? Ceux d'après moi, qui donnent le théorie le plus scientifique? Mais que croire au bout des "scientifiques" politisés de l'un ou l'autre coté?

Ca dit, je pense toujours que l'explication officielle est la bonne.

Cordialement,

Paul.

PS. Merci, pour vos aimables mots dans un autre "sujet" Celui de De Grelle; Excusez pour n'avoir pas répondu immédiatement :oops: .
Paul Ryckier
 
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Bon appétit! Autant prendre l'affaire en son entier...

Message par A.Lionel » Samedi 22 Septembre 2007 17:35:55

Pour la FEMA ce sont la collision et l’incendie qui provoquèrent les effondrements, ceci est repris par Gene Corley docteur en sciences de la société américaine des ingénieurs civils.

John Skilling et Les Robertson sont les ingénieurs qui ont conçu la structure d’acier des tours jumelles dans les années 60. Ils avaient décidé de créer une structure capable de résister à l’impact d’un Boeing 707, afin de protéger celle-ci en pour ne pas revivre l’épisode de L’Empire State Building qui avait été percuté par un bombardier égaré en 1945.
Les deux ingénieurs bâtir une structure capable de résister à un impact à n’importe quel endroit de la tour.

La version officielle dit que ce sont deux Boeing 767 avec le plein de carburant pour effectuer un vol transcontinental qui ont frappé les tours, ils étaient plus lourds que deux 707 et volaient à grande vitesse.

Comme nous l’avons vu les 707 et 767 sont équivalents mais les avions ne sont remplis que pour effectuer la distance nécessaire.
Le plus petit des 767 qui a frappé une des tours n’avait pas les réservoirs remplis de carburant et n’était pas à sa charge de décollage maximale.

Les pompiers de New York par radio dirent ceci : « Echelle 15, nous avons deux foyers d’incendie isolés, nous devrions être capables d’en arriver à bout avec deux lances, transmettez que, Etage 78. Deux poches de feu isolées ».

Pour la FEMA, la plus grande partie du kérosène contenu dans les avions avait été brûlée dès l’impact par la boule de feu et durant les quelques minutes d’incendie qui ont suivi.
Le rapport de la FEMA nous informe ensuite que le kérosène en feu se serait dispersé à travers les étages embrasant le contenu du building, et générant de plus en plus de chaleur.

Cela aurait suffit à abattre les 47 colonnes d’acier de la structure centrale, les 236 colonnes extérieures et des milliers de montants d’acier, et tout cela simultanément.

Maintenant un peu de bon sens et de la physique de base : si vous avez tenté d’allumer un feu de bois, vous savez qu’une colonne de fumée vous indique que le feu ne brûle pas convenablement. La fumée est le signe d’un feu en manque d’oxygène.
Les tours ont fumé pendant plus d’une heure sans s’embraser.
Pendant ce temps, des milliers de gens avaient été évacués par les escaliers.
D’autres prisonniers des décombres se tenaient dans l’ouverture des fenêtres et appelaient à l’aide.
En fait les tours se sont comportées comme les concepteurs l’avaient prévu.
Frank de Martini chef de projet de la construction du WTC « les buildings avaient été conçus de façon à ce qu’ils puissent encaisser un Boeing 707 pleinement chargé...Je crois que les buildings pourraient supporter de multiples impacts d’avion de ligne parce que cette structure est comme une moustiquaire de porte, une grille dense. Un avion n’est qu’un crayon qui percerait cette grille. Ca n’a aucun effet sur le reste de la grille »

Les tours ont été construites pour résister à des rafales de vent de 225 Km/h lors des tempêtes hivernales. N’importe qui à l’intérieur pouvait les sentir osciller par grand vent.
L’impact d’un seul avion n’était pas pire que les rafales de vent permanentes encaissées lors d’un ouragan.


En une heure après le premier crash, une des tours s’effondrait,

Selon l’ingénieur Leslie Roberts de la FEMA : « La question du carburant de l’avion en terme d’explosion et d’incendie n’a pas été considérée…Nous n’étions pas responsables de cet aspect de la conception [des tours]. »

Imaginez avoir conçu spécialement les tours pour l’impact d’avions sans avoir pensé au carburant…

Jamais dans l’histoire du monde, un building d’acier ne s’est effondré à cause d’un incendie.
Jonathan Barnett de l’institut polytechnique de Worcester : « Je n’ai jamais vu un building en acier ignifugé s’effondrer à cause d’un incendie. »

De violents incendies de longue durée ont fait rage dans des buildings à structure d’acier,
(1988, Los Angeles, le First Interstate Bank brula durant 3h30. 1975. La tour nord du WTC a enduré un incendie nocturne durant 3 heures, cet incendie s’est répandu d’étage en étage et a brûlé deux fois plus longtemps que le 11/09. En 2005, la Tour Windsor de Madrid, un gratte-ciel en construction, a subi un incendie pendant 20 heures, il en resta une structure debout assez solide pour supporter une grue.)
Aucune de ces tours ne s’est effondré.
Alors comparez un incendie ravageur de 20 heures à 90 minutes de fumée.

-Pourquoi les buildings sont faits en acier ?

Fortes, légères et souples, les structures d’acier offrent plusieurs avantages par rapport au bois et au béton surtout lorsqu’il s’agit de gratte-ciels. Les buildings sont relativement légers, avec une capacité à supporter des charges énormes.
Les étages supérieurs n’écraseront pas ceux du bas et l’acier résiste mieux aux intempéries et au feu.

La conception et la construction du WTC : Paul Goldberger, architecte « La majorité des gratte-ciels sont bâtis sur des structures de béton ou d’acier qui représentent un réseau de colonnes et de poutres qui traverse tout le building. Les tours du WTC étaient différentes, elles étaient ce que les ingénieurs appellent une « structure en tube. Il s’agit d’une maille d’acier extrêmement solide qui entourait l’extérieur.»

A l’intérieur se trouvait le noyau central : un rectangle de 47 colonnes d’acier de 10 cm d’épaisseur à la base qui s’amincissait avec la hauteur…ancrant les tours tout en leur permettant de bouger.
Des planchers préfabriqués en une pièce, des plaques de métal soudées sur les armatures d’acier elles-mêmes soudées et boulonnées à la structure verticale.

Selon la FEMA, cette structure robuste aurait cédé parce que le feu aurait rongé les armatures entraînant le bris des boulons. Au fur et à mesure que les armatures ployaient puis cédaient, les planchers chutaient.
En 2002 PBS a crée un modèle vidéo : « Une fois que les armatures cèdent, les étages qu’elles supportaient s’effondrent en cascade avec une force trop grande pour être contenue. Le résultat est appelé « effondrement progressif », les étages s’empilent les uns sur les autres. »

Ce qui reste est le grand et indestructible noyau.
Pourquoi PBS omet-elle d’expliquer la disparition complète du noyau des deux tours ?

La thèse centrale de la version officielle est basée sur la chaleur : des températures suffisamment élevées pour affaiblir l’acier.
Mais les gens n’ont pas témoigné la présence d’une si grande chaleur.
Ni l’acier, ni le béton ou même le verre ne brûlent…
Alors qu’est ce qui a brûlé pour émettre tant de chaleur?

Voici comment les pompiers de New York témoignent de l’effondrement de la tour nord du WTC : « Boum, boum, boum, boum, étage après étage, ils explosaient vers l’extérieur. C’est comme si il y avait eu des explosifs, comme s’ils avaient prévu de l’abattre. Des explosions jusqu’en bas ! »

D’autres personnes ont fourni des descriptions similaires : « A 10h30 j’ai tenté de quitter le building. Dès que je suis sortie j’ai entendu une deuxième explosion et un autre grondement et de plus en plus de fumée et de poussière et un pompier en chef est entré et il a dit que nous devions partir car s’il y avait une troisième explosion, ce building ne pourrait pas tenir longtemps. »

« C’était comme des coups de feu : bang, bang, bang, bang ! Et soudainement trois énormes explosions. »

« Nous avons quitté le 8ème étage par les escaliers. Puis une grosse explosion nous a renvoyé au 8ème. »

« Savez-vous s’il s’agissait d’une explosion ou d’un effondrement ? » demande un journaliste.
« A mon avis, il s’agissait d’une explosion… » Répond un homme en uniforme.

Le chef pompier Albert Turi (interviewé par la NBC) dit qu’il a essayé de faire sortir ses hommes aussi vite qu’il le pouvait, mais il a dit qu’il y avait eu une autre explosion. Et une heure plus tard, il y eut une autre explosion à l’intérieur d’une des tours. D’après lui, des engins explosifs auraient été placés dans le bâtiment.

Carole Marin journaliste de CBS raconta à Dan Rather : « J’approchais du WTC à la recherche d’équipes de CBS et j’ai demandé à un pompier s’il en avait vues, et soudainement il y a eu un roulement d’explosions et on a vu une boule de flammes haute de plusieurs étages venir vers nous. »

-Le problème du bruit provoqué par la chute de la tour sud.

Juste avant que la tour sud ne s’effondre, plusieurs témoignages (filmé par un journaliste TV) ont clairement entendu un bruit d’explosion. Puis l’effondrement.
Le son nous atteint après ce que nous voyons.
Si le « boum » venait de l’effondrement de la tour, nous l’entendrions après le début de la chute. Mais nous entendons le « boum » avant.

-Le comportement de l’acier face à la chaleur.

L’acier fond à partir de 1510°C. Cette température n’est atteinte qu’à l’intérieur de hauts-fourneaux ou avec un mélange à haut pouvoir incendiaire comme la thermite.
L’acier ou toute autre substance qui brûle n’atteindra jamais une température supérieure à celle de la source de chaleur.
Un feu d’hydrocarbure, à ciel ouvert, atteint une température maximale d’environ 650°C dans un environnement non contrôlé. Il est caractérisé par des flammes d’un rouge orangé.
Nous n’avons pu observer que des flammes orange le 11 septembre.
Même les boules de feu causées par l’impact des avions étaient rouge orangé.
Une combustion contrôlée se situe entre un feu de foyer et un feu en haut-fourneau.
Une combustion contrôlée utilise un mélange équilibré de combustible et d’air.
Vous pourriez laisser votre gazinière allumée toute la journée, les éléments faits d’acier ne fondront pas, pas plus que les casseroles !
Comment alors les poutres d’acier des tours ont-elles pu être projetées latéralement pendant que les tours s’effondrent ?
Le feu aurait-il la puissance de projeter ces immenses morceaux de métal ?

Le professeur Thomas Eager du M.I.T officiellement considéré comme la référence universitaire à partir de laquelle on explique les effondrements du WTC écrit en 2001 :
« que l’acier perd la moitié de sa résistance à 650°C et que les incendies ce jour-là n’ont pas dépassé cette température…Alors qu’il était impossible que le feu, diffus et riche en carburant, brûle à une température assez élevée pour faire fondre l’acier, sa combustion rapide et son intense chaleur ont fait perdre à l’acier la moitié de sa résistance entraînant sa déformation, ce qui l’a fait plier ou céder. Cet affaiblissement et cette déformation ont entraîné la chute de quelques étages. Le poids des étages supérieurs a écrasé les étages inférieurs et a entraîné un effondrement en dominos. »

En d’autres termes, les feux n’étaient pas assez chauds pour faire fondre l’acier !
Des feux dispersés ont déformé des parties de l’acier et les étages sont tombés démolissant le building en entier.
Mais alors qu’est-il arrivé au noyau de la structure ?

-Qu’est-ce qu’une démolition contrôlée ?

C’est une implosion caractérisée par une sape de la base du building.
Les murs du building sont ensuite tirés vers l’intérieur.
Les séquences informatisées provoquent l’enchaînement rapide des explosions.
On observe des jets d’expulsion de ciment, des flashes, des détonations, l’affaissement des buildings lorsqu’ils tombent sur leur base, l’énorme vague de nuages de poussières.

S’agissant des tours jumelles au cour de l’effondrement, nous observons des explosions plutôt que des implosions..
On observe une série de grondements qui tournent en rugissant tandis que les débris sont projetés vers l’extérieur.
Les dégâts ne sont pas limités aux alentours. Les fenêtres des bâtiments voisins ont été soufflées.
Quelle sorte d’énergie peut provoquer cela ?
Est-ce que le feu peut éjecter du métal et du béton latéralement dans les airs?
Une pièce de 270 tonnes d’acier, deux fois le poids d’un Boeing, aurait volé sur une distance de 122 mètres, s’incrustant profondément dans le World Financial Center sur Versey street !

Un photographe de la FEMA qui était proche de Ground Zero s’est interrogé sur la présence de si nombreuses poutres d’acier encastrées dans les buildings voisins.
Comment est-ce possible ?

En avril 2006 les New-yorkais furent horrifiés par la découverte de fragments d’os de victimes du 11 septembre sur le toit d’une succursale de la Deutsche Bank toute proche.
Il est question de fragments d’os humains de moins d’un centimètre de long.
Comment peuvent-ils être si petit ?
Comment se fait-il que la tour sud se soit effondrée la première alors qu’elle fut la seconde à être touchée ? Tour sud touchée à 9h03, effondrée à 9h59, tour nord touchée à 8h46, effondrée à 10h28.
Quand on regarde le haut du WTC 2 au moment de l’effondrement, celui-ci s’incline vers l’extérieur, il est sur le point de basculer, pour ensuite se désintégrer en pleine chute.
Comment un bloc de ciment et d’acier a-t-il pu sous nos yeux être réduit en poussière ?
Lorsque l’on regarde les deux tours s’effondrer de façon verticale, celles-ci empruntent le chemin offrant le plus de résistance, composé de tous les étages et de toute la masse de la tour.
Les tours du WTC sont tombées en 10 secondes environ. Les données sismiques de l’université de Columbia donnent environ 8 secondes pour l’effondrement de la tour nord et environ 10 secondes pour la tour sud.
Lynn Simpson, une survivante du 89ème étage de la tour nord, décrit la scène : « Et j’ai vu le WTC s’effondrer littéralement sur lui-même : étage par étage et ça n’a pris que quelques secondes pour se produire. C’était un building immense et il s’est tout simplement écrasé. »
C’est bien la première fois que deux buildings tombent à terre à la vitesse de la chute libre : la vitesse de chute d’un objet dans l’air.
Les étages du bas ont du céder complètement pendant que les étages du dessus tombaient, comme si qu’un individu pouvait franchir une porte ouverte alors qu’elle est fermée.

Quand on prend la peine de regarder les vidéos, il y a quelque chose d’intrigant :
Alors que la tour sud a déjà perdu la moitié de sa taille en s’effondrant, les débris de ce qui vient d’être détruit, n’ont pas encore atteint ce qu’il reste de la tour, on observe une démolition qui progresse plus rapidement que la gravité elle-même.
C’est un building qui se transforme en poudre de haut en bas !

Dans une autre vidéo on observe le noyau de la tour nord céder, 245 mètres de poutres géantes parmi les plus résistantes jamais érigées.
Comment ont-elles pu disparaître soudainement ?
Eric Hufschmid auteur du livre « Painful Questions (questions qui font mal) » est concepteur de logiciels de découpe de métaux : « Les planchers des tours formaient un maillage tridimensionnel de poutres d’acier, chaque étage faisait environ 4000 M², il y avait des milliers d’ancrages tout autour, pour qu’un plancher puisse tomber, il a fallu que ces milliers d’ancrages cèdent en même temps et lorsque vous examinez à quelle vitesse tout s’est écroulé : moins de 10 secondes, en un clin d’œil, des milliers d’attaches sautent. Il n’y a qu’une seule explication : l’emploi d’explosifs. Ils ont forcément du ^placer des explosifs un peu partout sur les étages au niveau des principaux ancrages. Cela expliquerait comment les ancrages ont cédé à une si grande vitesse. Les débris écrasaient les étages l’un après l’autre.
Des débris ne peuvent pas passer au travers d’étages d’acier et de béton aussi rapidement qu’en chute libre. Il n’y a pas eu de ralentissement…Des explosifs ont du briser les ancrages en aval de la chute des débris. Voilà pourquoi le haut du building a entamé sa chute lentement pour accélérer ensuite. »

Dans un effondrement en dominos, les étages finissent au sol superposés, ils sont l’un au dessus de l’autre or à Ground Zero, on ne voit aucune piles d’étages.
Tout autour des buildings, il y a du papier partout, un écrasement normal n’aurait-il pas gardé le contenu à l’intérieur, c'est-à-dire dans les décombres ?
Qu’est-ce qui a soufflé tout ces papiers à travers New York ?
Si vous aviez fait tomber une boule de billard du haut des tours jumelles elle aurait atterri en un peu plus de 9 secondes : le temps qu’ont mis les tours pour s’effondrer.
Aidée par la gravité et traversant l’air, la boule aurait pris de la vitesse.
Le calcul pour l’écrasement d’un building de 110 étages, avec des étages s’entassant en forme de pile, est de 96 secondes et non 9 secondes.
En réalité, avec des étages offrant une résistance, un écrasement de building perdrait de la vitesse, jamais n’accélèrerait.

-Les explosions en sous-sol avant l’effondrement.

Plusieurs témoignages le confirme comme celui-ci : « Les avions ont frappé les tours à une bonne hauteur de sol, mais tout en bas, dans le hall de la tour nord, des garnitures de marbre se sont détachées des murs, toutes les vitres ont éclaté.
« Immédiatement, un type de l’autorité portuaire affirma que les dégâts se situaient au-dessus du 78ème étage, mais il suffisait d’ouvrir les yeux pour comprendre que quelque chose s’était passé dans le hall, on pouvait voir que toutes les fenêtres avaient été soufflées, on aurait dit que c’était le hall qui avait été frappé par l’avion. »

Qu’est-ce qui a provoqué tant de dégâts dans le hall ?

William Rodriguez, un employé à l’entretien du WTC, est le dernier à avoir quitté le building vivant. Il décrit une explosion géante sous le building : « Et tout à coup, nous avons entendu une explosion, une énorme explosion qui provenait de sous mes pieds. Je veux dire que cela provenait des sous-sols B2 et B3. Et ensuite, il y a eu une énorme explosion au somment de la tour. On pouvait entendre la différence entre le sous-sol et le haut du building. Celle du haut qui s’est produite quelques secondes après, paraissait lointaine, alors que celle des sous-sols était très puissante et nous avons senti nos pieds bouger avec le plancher. Le tremblement s’est propagé à travers le plancher et a fait craquer les murs et fait tomber les faux plafonds. C’est à ce moment qu’un certain Felipe David, est entré en criant : « explosion, explosion, explosion ! Quand je l’ai vu, il avait la peau qui pendait sous les aisselles et des parties du visage qui manquaient.»

Une explosion en profondeur sous la tour, avant que l’avion ne s’écrase 95 étages plus haut.

D’autres survivants ont rapporté d’énormes explosions sous la structure des tours.
L’ouvrier Philip Morelli, était au sous-sol 4 de la tour nord au moment du premier crash.
« Je suis allé en bas, mon patron m’avait demandé de sortir les conteneurs. En marchand dans le corridor principal du building, c’est à ce moment que j’ai été soufflé. Le choc de cette explosion, peu importe ce que c’était, m’a jeté par terre et tout a commencé là. Je courais à toute vitesse, je suis passé près des toilettes, j’ai ouvert la porte ne sachant pas qu’il s’agissait des toilettes, et soudainement un autre choc s’est produit et tout le faux plafond est tombé, les lumières tombaient. Je suis sorti de là, et les murs étaient par terre. Je me suis mis à courir vers le parking. Il y avait beaucoup de fumée, des gens criaient et couraient pour fuir.»

Philip a ensuite couru vers la tour sud par un souterrain : « On doit traverser les deux tours en passant par-dessous. C’est comme ça que l’on fait. Et tout à coup ça recommence : ça nous a projeté au sol. Les murs s’affaissaient. Je connais des gens qui sont morts dans les sous-sols, des gens qui ont eu des jambes cassées, d’autres qui ont eu recours à la chirurgie esthétique parce que les murs leur sont tombés sur le visage. »

L’ingénieur Mike Pecoraro a trouvé au 6ème sous-sol, le parking et une salle des machines réduits en gravats.

-Des explosions dans les étages avant l’effondrement.

Des pompiers et des civils disent avoir entendu des explosions partout à l’intérieur des tours.
Le pompier Lou Caccioli a dit ç « People Magazine » : qu’alors qu’il évacuait des travailleurs, il y avait des bombes qui explosaient à l’intérieur du building. Des explosions ont bloqué les ascenseurs, et rempli des étages entiers de fumée et de débris.
« J’ai des témoins d’explosions à l’étage 7-8, 7-8. Nous venons d’avoir une autre explosion. »
« A cause d’une seconde explosion des gens sont couverts de poussière. »
« Une explosion majeure qui semble avoir produit un affaissement total de la périphérie. »

William Rodriguez qui aidait les pompiers, rapporte des explosions à l’intérieur de la tour nord bien avant sa chute : « Alors que je montais les étages, je me rappelle avoir entendu de petites explosions aux niveaux supérieurs. Ces petites explosions ne provenaient pas de la région de l’impact mais de plus bas. »

Et lorsque le second avion a frappé la tour sud William Rodriguez ajoute : « Nous avons entendu « Boum ! à l’intérieur de notre building, la tour nord, nous avons entendu : pop, pop, pop, pop, pop ! Et à la radio de sécurité on a entendu » : « On a perdu le 65, on a perdu le 65 ! » « Cela signifiait que l’étage 65 s’était effondré. Alors que nous descendions dans les cages d’escalier, nous pouvions entendre s’effondre la tour de l’intérieur. On entendait les tremblements, les craquements de murs, les morceaux de buildings qui tombaient tout près de nous.»

-Les explosions en sous-sol avant l’effondrement précédant la destruction de la tour nord..

Que s’est-il passé à la base des tours juste avant leur effondrement?

De la fumée apparaît au niveau de la rue. Dans une vidéo filmée depuis le New Jersey par Richard Siegel : on voit apparaître un nuage de fumée blanche à la base du building, alors qu’une puissante source d’énergie secoue le sol, la caméra tremble puis la tour nord s’effondre juste après en 9 secondes.

Timothy Julian qui est pompier déclara : « J’ai senti comme une explosion puis un bruit de craquement, et tout à coup un bruit de train en marche, tremblant et prenant de la vitesse. J’ai levé les yeux et je l’ai vu tomber. »

William Rodriguez : « Alors que je sortais de la tour nord, tout s’est mis à trembler sous mes pieds comme un tremblement de terre. Tout ce que j’ai vu c’est un camion de pompier. J’ai couru vers ce camion et me suis glissé dessous, juste au moment où la tour s’effondrait sur le camion. »

-Explosions avant et pendant l’effondrement.

Il faut revenir sur la vidéo de Richard Siegel, car il a enregistré un évènement important.
Ajustée pour prendre en considération la distance entre lui (il est placé sur l’autre berge de l’Hudson river) et la tour nord, étant donné que le son voyage plus lentement que ce que nous voyons, la caméra a enregistré de multiples explosions dans les tours : voici le timing de l’enregistrement des explosions de la tour sud :
Explosion (EXP)1 – 9:55:??, EXP 2 – 9:56:05, EXP 3 - 9:56:10, EXP 4 - 9:56:21, EXP 5 - 9:56:51, EXP 6 - 9:56:54, EXP 7 - 9:56:56, EXP 8 - 9:56:57, EXP 9 - 9:58:12.

[Ce ne peut être qu’un enregistrement partiel]
Les fumées de tir et les explosions visibles.
Lorsque l’on regarde la tour s’effondrer, on observe des projections de ciment qui apparaissent sur les cotés de la tour. Ce sont des « fumées de tir » dans le jargon de la démolition qui sont, en fait, des explosifs qui éclatent de façon visible vers l’extérieur tandis que la gravité tire le building vers le sol.
Eclatant au sommet, dans un nuage de fumée en forme de pleure de banane, il ne s’agissait pas d’implosions ordinaires.
Les tours jumelles étaient bâties en 3 sections superposées les unes sur les autres.
Pour soutenir le poids de tous ces étages, les niveaux intermédiaires (donc le second de chaque tour) ont été renforcés à l’extrême. On remarque que durant l’effondrement, il y a des explosions exactement au niveau d’une section intermédiaire.

L’onde de choc, les nuages de poussières, coulées pyroclastiques.

Une puissante explosion produit une onde de choc qui génère de très hautes vagues de compression qui saturent la capacité de l’espace et de l’air ambiant, créant ainsi une force violente.
« Quand les débris ont commencé à tomber, j’étais juste à l’ombre de la tour sud, à moins de 100 mètres de distance. Tout le monde a vu et revu les vidéos de ce nuage qui poursuivait les gens dans la rue. C’était comme une tornade. Nous étions frappés comme une vague à la plage, mais cette vague était chaude, intense et bruyante. C’était comme si on était frappé dans le dos par du gravier…Et le bruit ne cessait de s’approcher. A un moment je courais et une seconde après je volais. Je ne contrôlais plus mes pieds, je ne choisissais plus ma direction. J’étais dans les airs. J’étais poursuivi par une tornade, une tornade d’obscurité. »
Raconte un témoin.

La tour sud est tombée en premier.
A l’image on voit, dans la tour nord, l’onde de choc de la déflagration qui a secoué la tour sud.

Alors que les tours s’effondrent, Manhattan s’assombrit, l’air se remplit de nuages, de poussières et de cendres.
Qu’est-ce qui a produit ces immenses masses de poussières en forme de choux-fleurs qui se déplaçaient avec lenteur ?

Un building de 110 étages vient d’être détruit en un million de tonnes de gravats.
Mais y a-t-il quelque chose dans notre expérience que nous puissions comparer à cet évènement ?

Un volcan.
Le site web su service d’études géologiques américain nous fournit une définition d’une coulée pyroclastique : « Une avalanche de fumée, de gaz brûlant et de débris qui se répand au sol. »
La cheminée de gaz qui s’élève est clairement visible sur une photo aérienne de l’implosion de la tour nord avec des coulées pyroclastiques entre les buildings mais aussi sur l’Hudson river.
La forme en chou-fleur des nuages de débris en est un signe révélateur, ces coulées ont été générées par d’énormes explosions typiques des éruptions volcaniques et des démolitions contrôlées.

-Les murs de rétention.

A la pointe sud de Manhattan, entourés d’eau, d’immenses murs de rétention ont été construits sous le WTC afin de retenir les eaux de la mer et de la rivière Hudson.
« La baignoire » comme on l’appelait contenait sept étages de parkings et d’espaces techniques ainsi que la station du train de New Jersey.
Après le 11 septembre, ces murs de soutien d’un mètre d’épaisseur s’étaient déplacés de 45 cm vers l’intérieur.
Hypothèse : un effondrement en pile aurait du laisser les fondations en place. Elles ont toujours supporté le poids des 110 étages, mais quelque chose s’est produit au niveau des sous-sols pour les faire bouger.
« Tout s’est effondré jusqu’au niveau le plus bas. Nous avions une vingtaine de mètres de murs sans aucun soutien. » Déclare l’ingénieur civil George Tamaro.

Quel genre de force a pu démanteler tous ces étages en sous-sol ?
Pas l’effondrement en pile d’étages en tout cas.

-Le métal fondu.

Les décombres semblaient animés de vie, ça crachait le feu lorsqu’on creusait.
Le sol a continué à brûler.
Les Robertson, un des deux concepteurs des WTC, a affirmé publiquement que 3 semaines après l’effondrement, du feu et du métal en fusion étaient toujours présents sous le sol.
8 semaines après cela brûlait toujours. Sur les décombres c’est encore à 600°C.
En novembre 2005, le professeur de physique Steven Jones de l’université Brigham Young, a publié un article de 25 pages sur l’effondrement des tours jumelles et du WTC7, dans lequel il confrontait la version officielle aux lois de la physique.
Extrait d’une interview diffusée sur MSNBC : « Comme on peut le lire dans le rapport de la FEMA, et je l’ai mis dans mon rapport : « la meilleure hypothèse » - la seule qu’ils aient [la FEMA] examiné : le feu – « n’a qu’une faible probabilité de se produire. Des analyses et enquêtes supplémentaires sont nécessaires afin de résoudre ce problème ». « Je suis d’accord avec eux [la FEMA]. » Et le journaliste l’interrompt car le temps est écoulé !
Steven Jones reprend : « Il y avait du métal fondu dans le sous-sol des 3 buildings. Tous les scientifiques s’accordent maintenant à conclure que le feu n’était pas assez chaud pour faire fondre du métal. Alors pourquoi ce métal fondu ? Eh bien il s’agit d’une preuve directe de l’utilisation d’explosifs à hautes températures comme la thermite. Le fer fondu est le résultat de la réaction de la thermite. »

Voilà les média américains !

La thermite est une arme incendiaire utilisée par les militaires, c’est un composé chimique alliant oxyde de fer et aluminium, qui, une fois allumée, suscite une réaction extrêmement chaude et produit du fer en fusion. En seulement 2 secondes, la thermite peut atteindre des températures de plus de 2500 °C. Amplement suffisant pour faire fondre l’acier.

Nous savons qu’un feu à ciel ouvert ne peut pas chauffer suffisamment pour faire fondre l’acier mais, du métal fondu a été retrouvé à la base des tours.
Le second produit de la réaction de la thermite est l’oxyde d’aluminium visible sous forme de fumée blanche.
Est-ce que la thermite a été utilisée en plus d’explosifs le 11 septembre ?
Sur une vidéo on voit au 81ème étage de la tour sud une substance très brillante qui coule à cet étage et de la fumée blanche apparaît à la base du building.
Est-ce de l’oxyde d’aluminium, le sous-produit de la réaction de la thermite ?

L’annexe C du rapport de la FEMA rapporte la présence de soufre sur les restes d’acier du WTC que le New York Times a qualifié ceci de « mystère le plus profond de tous. »
Le soufre abaisse légèrement le point de fusion du fer.
Du sulfure de fer et de l’oxyde de fer se sont formés sur l’acier de la structure.
La combinaison du soufre avec la thermite est appelée thermate qui produit des effets encore plus rapides.

-L’industrie de démolition.

De puissants explosifs sont utilisés pour affaiblir les fondations et les parties basses des buildings avant que d’autres explosifs et la gravité ne viennent à bout du bâtiment.
Le processus de démolition : « Nous faisons sauter le sous-sol, toutes les colonnes de soutien, ensuite, nous amorçons le départ en faisant sauter le haut, puis un étage sur deux jusqu’en bas.
Chaque explosif possède une minuterie, c’est pour cela qu’on la dit contrôlée. Lorsque les colonnes cèdent, chaque étage s’effondre sur le suivant et ainsi de suite. »

Les professionnels en démolition contrôlée utilisent, pour les buildings à structure d’acier, des charges de découpe linéaire qui sont très précises. Ca génère 200 tonnes/cm3 de pression, et selon les explosifs utilisés, des vitesses de plus de 8 Km/seconde.
Il y a une multitude de types d’explosifs ayant leur propre spécificité : puissance, vitesse…
Le processus de démolition est contrôlé de A à Z.

Les explosions souterraines devaient-elles faire sauter la base des tours, suivies par les explosions entendues à l’intérieur des tours, qui seraient des charges de découpe destinées à faire sauter le cœur des tours ?
Les affaiblissements en vue d’une démolition sont faits bien avant l’explosion finale.
Mais pour le WTC, ce travail a du s’effectuer dans un court laps de temps, durant la période de panique provoquée par la frappe des avions.
Ces colonnes du cœur de la tour ont été retrouvées après l’effondrement. L’angle de coupe de ces colonnes est identique à l’angle des charges utilisées en démolition contrôlée pour couper les poutres d’acier, et contrôler leur chute.
Sur des photos de poutres on note la présence de métal durci après avoir été fondu.
Est-ce que la thermite a été utilisée avec des charges d’angle ?
Le but d’une charge d’angle est de découper les poutres en H.
D’autres charges servent à faire glisser le bâtiment en coupant les poutres obliquement.
Examinons les ruines de ce qui reste des deux tours de 110 étages qui se sont effondrées.
65000 m² de débris accumulés en un tas de 9 mètres de haut dans un cratère de 7 étages reposent presque 2 millions de tonnes de gravats. Si les fondations n’avaient pas été soufflées, où seraient allés ces 2 millions de tonnes ?
Entassées au sol prêtes à être évacuées.
Pour Jack Loizeaux une démolition réussie c’est « prendre un building et le réduire en millions de morceaux et mettre le tout dans les fondations. »

Revenons sur ce que Richard Siegel enregistra avec sa caméra vidéo sur les rives du New Jersey. Les fameux bruits d’explosion, la caméra qui tremble, la fumée à la base de la tour, ne sont-ce pas des éléments de preuve montrant qu’il y eut démolitions contrôlées ?

-Qui savait ?

Certaines personnes semblaient avoir su ce qui allait se passer ce jour là.
La FEMA est arrivée à New York le lundi soir pour un entraînement de terrorisme biologique.
Le porte-parole de la FEMA Tom Kenney déclara à Dan Rather de la CBS : « Pour être honnête avec vous, nous sommes arrivés tard lundi soir et nous sommes entrés en action dès le lundi matin. Mais nous n’avons pu intervenir que ce mardi (mercredi 12 septembre) sur la totalité du site. »

Rudy Giuliani, le maire de New York, annonça à Peter Jenning de ABC, qu’il savait que les tours allaient s’effondrer. « Ce qui se passe maintenant, c’est un immense travail de sauvetage…Je ne sais pas combien il y a de victime, je ne veux pas me prononcer pour l’instant Peter. Je pense que ce sera un nombre horrible, j’ai vu des gens sauter du haut des tours et des pompiers qui montaient à l’intérieur, alors…Et nous étions pris au piège dans un building pendant 15 minutes. Nous avons établi notre quartier général au 75 Barclay street, où se trouvaient les chefs de police et des pompiers et de la FEMA, et nous opérions à partir de là. Et on nous a informé que le WTC allait s’effondrer.(le 11 septembre au matin donc)»

De même, Larry Silverstein, le tout récent locataire du WTC, a déclaré à regret, qu’une décision avait été prise d’abattre le bâtiment 7 (WTC7) en fin de journée, le dernier bâtiment construit sur le complexe du WTC en 1985. En déclarant ceci en 2002 à PBS « Je me rappelle avoir reçu un appel du chef des pompiers qu’ils n‘étaient pas surs de pouvoir contenir l’incendie. Je lui ai dit : Nous avons eu tellement de pertes en vies humaines…La meilleure chose à faire est de le « tirer ». Ils ont pris la décision de le « tirer ». Puis nous avons regardé le building s’effondrer. »

Il s’agissait d’une démolition contrôlée,
L’équipe de déblayage de Ground Zero déclara : « Vers la mi-décembre, le département de la construction avait rasé les buildings N°4 et 5. Nous nous préparons à tirer le bâtiment 6 ! »

Silverstein, un requin de la finance immobilière, avait des relations dans la politique internationale, a pris un bail de 99 ans sur le complexe du WTC au printemps 2001.
Durant l’été 2001, il a négocié le contrat d’assurance de sa nouvelle propriété, s’assurant qu’elle était couverte contre les actes terroristes. Et il avait clairement mentionné que Silverstein avait le droit de reconstruire le complexe si jamais il était détruit.
Après le 11 septembre, Silverstein a poursuivi ses assureurs en justice afin de recevoir le double de l’indemnisation prévue pour la destruction de sa propriété affirmant, que les deux crashes comptaient pour deux attentats terroristes et non pas un seul. Il gagna et encaissa plus de 7 milliards de dollars, un profit fantastique par rapport à l’investissement original de 15 millions de dollars.
« Ma première pensée a été pour les familles, tous ces gens, l’envergure de la tragédie. Cependant, je crois fermement que nous devons reconstruire. » Déclarait Silverstein.

Que représentait le bâtiment 7 ?

Le WTC7 servait de centre de commandement pour les pompiers du WTC. Il y avait une grande réserve d’urgence en diesel et en oxygène.
On y trouvait le bunker d’urgence du maire de New York, des bureaux de la CIA, les services secrets, le département de la défense et la commission des échanges boursiers.
Les autres locataires du WTC7 étaient des compagnies d’assurances, des sociétés financières et des banques ?

Aucun avion n’a percuté le bâtiment 7, mais à 17h20, le 11 septembre, il s’est effondré de lui- même.
On a dit que certains dégâts avaient été causés par les débris de la tour 1 même si un article du New-York Times affirme que le bâtiment 7 « a brûlé comme une torche géante », les seules prises de vues disponibles montrent des fumées non identifiées et des incendies mineurs.
Si on compare les dégâts infligés au bâtiment 3 (WTC3), 4 (WTC4), 5 (WTC5) et 6 (WTC6), avec ceux infligés au WTC7, le WTC7 n’avait quasiment pas été touché.
Ces buildings étaient tous situés sous les tours jumelles et les structures de chacune avait tenu le coup.
Mais étrangement, les sauveteurs semblaient savoir que le bâtiment 7 allait tomber.
L’un deux déclara : « Gardez un œil sur ce building, il va bientôt s’effondrer. »

Un gratte-ciel de 47 étages s’est effondré très proprement en 6,5 secondes, une explosion d’anthologie exactement sur sa base.
Aujourd’hui, la société de Silverstein affirme que le patron faisait référence au contingent de pompiers qui se trouvait à l’intérieur du building lorsqu’il parlait de la décision de le « tirer ».
C'est-à-dire re »tirer » les pompiers de la zone danger.

Cependant, il n’y avait pas de pompiers dans le bâtiment 7 selon la FEMA, le NIST, et le chef des pompiers Frank Fellini. Ils ont reçu l’ordre de quitter les lieux vers 11h30.
6 heures plus tard, le bâtiment 7 s’effondrait.

« Nous avons entendu ce son comme un coup de tonnerre. Nous nous sommes retournés et avons vu comme une onde de choc traverser le bâtiment et les fenêtres ont explosé. C’était horrible. Environ une seconde plus tard, le rez-de-chaussée a cédé. Le building a suivi juste après. » Selon les pompiers.

L’animateur de la radio, Alex Jone, y voit la signature d’une implosion classique.
« Sur une photo prise une seconde après le début de l’effondrement du bâtiment 7, on voit une faille comparable avec d’autres démolitions contrôlées, nous observons qu’ils font d’abord sauter une des colonnes centrales de sorte que le building s’effondre sur lui-même. Si on en fait pas cela le building s’effondre vers l’extérieur et risque d’endommager les constructions voisines. Dans le bâtiment 7, il y a eu une faille classique, sa colonne centrale a été détruite en premier, ainsi il n’a pas endommagé les buildings voisins.»

Souvenez-vous du bunker du maire de New-York, il était situé au 23ème étage du bâtiment 7.
Il était équipé de vitres incassables, d’eau, d’oxygène et avait sa propre autonomie en électricité. Mais le maire de New-York a choisi de s’abriter ailleurs le 11 septembre.

Pourquoi le bâtiment 7

Même les média et les experts n’y comprenaient rien. La chaine History Channer a interviewé l’ingénieur en bâtiment Ramon Gilsanz, qui nous a fait remarquer la faille évidente du WTC7 et nous parle même de l’implosion. « Les ingénieurs ne se concentrent pas seulement sur les tours jumelles. L’évènement le plus troublant ne fut pas la chute des tours, mais que le bâtiment 7 enflammé par les débris, s’écroule uniquement à cause d’un incendie. Le building 7 était un bâtiment à structure d’acier, c’est le premier building en acier à s’effondrer à cause du feu. L’effondrement de ce bâtiment était une implosion. Mais il s’est écroulé tout à fait différemment des deux tours, dans lesquelles les planchers ont cédé en premier. »

En tant que bâtiment des services secrets, le WTC7 était-il le point névralgique du plan du 11/9 ?
Avec une destruction du WTC7 en 6,5 secondes, des milliers de dossiers de fraude de la commission boursière, ont été perdus à jamais. Parmi eux, les dossiers des fameuses affaires Worldcom et Enron (dont les sommes en jeu se comptaient en dizaines de milliards de dollars).

-Sécurité et évacuation des tours.

Personne n’a trouvé la mort dans l’effondrement du WTC7. Il avait été évacué bien avant son implosion. Ce ne fut pas le cas pour les tours jumelles.

Pourquoi n’a-t-on pas dit aux policiers, aux pompiers et aux civils dans ces tours ce qui risquait d’arriver ?
Tragiquement, on a conseillé aux employés des tours de retourner dans leurs bureaux.
Une employée du WTC : « On nous a annoncé que tout allait bien. On évacuait la tour 1, mais il n’y avait pas de problème dans la tour 2, et nous pouvions regagner nos bureaux. »

Un autre employé de la tour sud Stanley Praimnath qui travaillait au 81ème étage : « Lorsqu’un garde de sécurité nous a demandé où nous allions, j’ai répondu : je rentre chez moi, j’ai vu tomber des boules de feu. Il a dit : « Non, votre bâtiment est sécurisé. Mieux vaut rester et retourner à votre bureau ». »
Stanley Praimnath est retourné au 81ème étage. Puis, « Par hasard, j’ai tourné la tête vers la Statue de la Liberté et j’ai vu un avion géant qui arrivait droit sur moi. »
La tour sud a été frappée entre les 78ème et 84ème étages. Coincé au 81ème étage par des décombres, Stanley a été secouru par Brian Clark . Ils ont péniblement descendu les escaliers jusqu’à la sortie. Dehors Stanley a eu un étrange pressentiment nous raconte Brian Clark : « Nous avons levé les yeux vers la tour et Stanley m’a dit : « cette tour pourrait s’effondrer. »
Stanley déclara : « Je ne sais pas pourquoi je lui [Brian] ai dit que la tour allait s’écrouler. Mais je savais que ce n’était pas fini. Brian répliqua : « Je lui ai dit : impossible, c’est une structure en acier, ce qui brûle, ce sont juste des garnitures, des meubles, des tapis…Je n’avais pas terminé ma phrase que la tour s’est mise à vaciller. Je me souviens tout d’abord avoir entendu des explosions : boum, boum, boum ! [de haut en bas] »

Tout le monde n’a pas eu cette intuition, Joseph Milanowycz a appelé son fils Greg sur son portable. « A ce moment j’ai entendu à sa voix que Greg avait peur. Il m’a dit : Papa, tu peux prévenir quelqu’un que nous sommes une vingtaine au coin nord-est du 93ème étage ?
Greg avait voulu quitter la tour sud après l’impact dans la tour nord, mais on lui avait dit que c’était plus sur de retourner à son bureau. Il a répété plusieurs fois : « Pourquoi je les ai écoutés. » »

Qui était le directeur de la société qui assurait la sécurité électronique au WTC et à l’aéroport de Washington, deux lieux impliqués dans le 11 septembre ?
Marvin Bush, le frère cadet du Président, dirigeait ce service de sécurité à Securacom. Entre 1993 et 2000, Securacom a installé un « nouveau système de sécurité » au WTC.
Wirt Walker III, un cousin des Bush, a été PDG de Securacom entre 1999 et 2002.
Bizarrement ces faits n’ont pas été rendus publics.
S’est-on simplement tenu à installer un nouveau système de sécurité au cours de ces années là, ou a-t-on préparé un plan de longue haleine ?

Scott Forbes, informaticien dans un société qui louait des bureaux dans la tour sud depuis sa construction, a fait état d’une coupure d’électricité sans précédent dans sa tour.
Elle a duré presque tout le week-end qui a précédé le 11 septembre.
« L’autorité portuaire nous a prévenus de la coupure trois semaine à l’avance. C’était un délai relativement court pour préparer la déconnexion de tous nos systèmes bancaires. C’était un boulot énorme, sans précédent. Nous avions un centre de données au 97ème étage, tous nos serveurs de base se trouvaient là. Pendant ce week-end, la coupure impliquait qu’il n’y avait pas de sécurité. Toutes les portes étaient ouvertes, et les caméras de surveillance étaient éteintes. Dans toute la tour il y avait des types en bleu de travail avec des boites à outils et des rouleaux de câbles. »
Scott Forbes remarqua aussi des bruits incongrus au 98ème étage : « C’était au moins 4 à 6 semaines avant le 11 septembre, c’était comme si que des transformations avaient lieu à l’étage au dessus, les locataires d’Aon qui étaient installés là avaient été déplacés, les bureaux étaient vides et on faisait beaucoup de travaux avec de grosses machines. On entendait même les marteaux piqueurs et des coups de marteau à tel point que les planchers vibraient. On ne pouvait pas passer à coté, c’était un peu comme si on déplaçait quelque chose de très lourd puis qu’on enlevait les roues et ça faisait un gros boum ! Notre étage en dessous était littéralement secoué, on sentait le poids au dessus de nos têtes. C’était très gros. Un jour j’ai ouvert une porte pour voir ce qui se passait, par curiosité, tout l’espace était complètement vide, il n’y avait rien du tout…Les murs étaient nus, même pas des câbles au plafond»

William Rodriguez (l’employé dernier survivant de la tour) fit un témoignage analogue au niveau des bruits qu’il perçut au 34ème étage de la tour, cet étage avait un accès restreint et était vide normalement, il fallait une clef spéciale pour y accéder. Il ne s’y aventura pas.

On avait prévenu les employés que des câbles internet seraient remplacés.
Mais qui étaient ces étranges ouvriers et que faisaient-ils réellement ?

William Rodriguez : « Tout le courant était coupé, cela signifie que plus rien ne fonctionnait, no sécurité, ni accès à la tour. N’importe qui aurait pu entrer et installer ce qu’il voulait. »

Après avoir fait des heures supplémentaires pour remettre en marche les serveurs de son entreprise, Scott a pris congé le 11 septembre. En regardant les tours s’effondrer depuis le New Jersey, ce matin-là, il était persuadé que c’était le résultat de l’étrange travail exécuté durant le week-end.
Scott a informé de nombreuses autorités, y compris la commission du 11 septembre, de cette coupure de courant longue et inhabituelle, mais personne n’y a prêté attention.

Ben Fountain, un employé de Fireman’s Fund, a fait état d’évacuations inhabituelles des tours au cours des semaines précédant le 11 septembre.

D’autres ont déclaré que l’alerte de sécurité a été inexplicablement levée 5 jours auparavant, et que les chiens détecteurs d’explosifs ont été retirés.
Qu’auraient découvert ces chiens s’ils étaient restés en place ?

« Il y avait aussi des poussières inhabituelles dans la tour, une semaine avant le 11 septembre.
C’était sans doute la semaine qui a précédé le 11/09, j’arrivais au bureau tous les jours vers 7 heures, il y avait une poussière incroyable, c’était vraiment crasseux, c’est comme si les nettoyeurs ne travaillaient pas. Sous les fenêtres il y avait des radiateurs encastrés, la poussière qui s’entassait sur les rebords me rendait malade. C’était d’un gris sale et c’était très visible la semaine avant le 11 septembre. D’où cela pouvait-il venir ? » Raconte Scott Forbes.


-La poussière suffocante de Manhattan.

La poussière suffocante qui a recouvert Manhattan, n’était pas une simple poussière, c’était de la poudre de béton, de verre et de métaux, elle contenait du plomb, du mercure, des dioxines, du benzène et bien sur de l’amiante.
Il n’y avait rien de sain là-dedans pour quelque être vivant que ce soit..
Aujourd’hui, des milliers de secouristes ont un cancer du poumon ou d’autres maladie graves et irréversibles.
Les chiens sauveteurs aussi meurent régulièrement.

Thomas Cahill, professeur en physique et en sciences atmosphériques de l’université de Davis en Californie déclara : « C’était comme un incinérateur municipal en sous-sol, qui a couvé pendant des mois. Il a consumé le building le plus informatisé au monde. »

John Woodworth, président du projet de désintoxication des travailleurs-secouristes new-yorkais déclara : « Les patients avaient un pâte noire qui leur sortait des pores, ils avaient des selles bleues ou vertes qui sentaient la fumée alors qu’ils n’avaient pas vu d’incendie depuis des mois.»

Trois jours seulement après le 11 septembre, Washington a ordonné à l’EPA (l’agence environnementale) de déclarer Manhattan sans danger et de rouvrir Wall Street alors que l’air était encore toxique.
Un juge fédéral poursuit l’ancien chef de l’EPA pour avoir affirmé aux New-Yorkais qu’ils pouvaient retourner chez eux sans risque près de Ground Zero peu après les attentats.
Le juge a qualifié de « choquantes » les déclarations de Todd Whitman.

Hugh Kaufman de l’EPA a déclaré : « On a pu prouver que la Maison Blanche a ordonné à l’EPA de raconter ces mensonges et de dissimuler la gravité des risques environnementaux. »

De plus les urgentistes du 11 septembre qui sont tombés malades et qui ont demandé des aides, ont été ignorés.

- « L’acier de réglisse. »

L’amiante joue un rôle dans le mythe de l’effondrement des tours jumelles le 11 septembre.

La version officielle dit ceci : « L’acier avait bien été ignifugé, mais avec une mousse légère, qui était moins chère mais également moins adhérente. Le New-York Time a écrit que cette mousse tombait facilement, que l’autorité portuaire avait réparé et remplacé des morceaux manquants au cours des mois précédant le 11 septembre. Mais même si l’acier avait été parfaitement ignifugé, l’impact de l’avion dans la tour nord était tellement violent qu’il a tout simplement soufflé la majorité de l’amiante, ce qui a permis au feu de s’attaquer à l’acier. »

James Glanz du N.Y Time déclara : « Peu importe l’état de l’amiante lorsque les avions ont frappé. Ca na pas d’importance puisqu’elle a été soufflée par l’impact et le feu dévastateur sur l’acier. »

Un bon impact d’avion et l’amiante est complètement soufflée de l’acier ?

La chaine History Channel nous explique que la mauvaise ignifugation a permis aux flammes de traverser les espaces entre les étages.

La version officielle dit que : « Comme la majorité de l’amiante avait été délogée par l’impact, les flammes ont attaqué l’acier non protégé. Lorsque l’acier n’est pas protégé, sa résistance diminue rapidement. »

Gene Corley, ingénieur en structure, chef de l’enquête à la FEMA nous dit : « Quand l’acier arrive à près de 600 °C, l’acier perd environ la moitié de sa rigidité. »

L’incendie dans les tours a pu atteindre des températures de 1370 °C.
Le New York Time a décrit ce qui pouvait arriver alors aux planchers en acier.
James Glanz du N.Y Times dit : « L’acier a chauffé et s’est ramolli, comme du réglisse. Au bout du compte tout l’acier s’est ramolli. »

Il y a 40 ans, l’acier utilisé pour construire le WTC fut certifié par Underwriters Laboratories, un organisme mondial de conformité et de sécurité.

Voici une voix isolée qui s’est élevée de cette immense société : « Mon nom est Kevin Ryan, j’ai été cadre chez Underwriters Laboratories, j’ai été licencié 5 jours après avoir envoyé une lettre à un scientifique du NIST (National Institut of Standards and Technology), dans laquelle je remettais en question un rapport du NIST d’octobre 2004 dans une lettre adressée à Frank Gayle de la division metallurgie du NIST.
J’ai écrit cette lettre car je me posais de graves questions sur ce que j’avais lu dans ce rapport.
Ces questions remontaient au mois de septembre 2001, lorsque le PDG de Underwriters Laboratories était venu dans notre filiale de Pennsylvanie. Le PDG a dit à tous les cadres que c’était Underwriters Laboratories qui avait certifié l’acier du WTC, et que nous devions être fiers que les tours aient tenu si longtemps. Les deux années qui suivirent, j’ai fait des recherches et j’ai découvert des choses choquantes, notamment la vitesse à laquelle ont s’est débarrassé de l’acier. C’est du jamais vu. Quand j’ai découvert tout ça, j’ai envoyé une lettre au PDG de Underwriters Laboratories pour lui demander ce qu’il faisait pour défendre notre réputation. Il m’a répondu par écrit que Underwriters Laboratories avait bien testé l’acier, il parlait de la qualité des échantillons et leurs très bonnes performances aux tests. Il disait que nous avions testé l’acier et qu’il s’était comporté à merveille. Il me recommandait d’être patient et d’attendre le rapport du NIST car Underwriters Laboratories collaborait étroitement avec eux. J’ai vu ce rapport en 2004 et en novembre j’ai écrit au NIST pour demander des éclaircissements. Je me sentais le devoir de poser des questions, puisque personne ne semblait s’en inquiéter. Après l’attentat de 1993, l’ignifugation des tours a été considérablement améliorée, mais dans le rapport du NIST, on ne voit pas la moindre trace d’un test qui démontre qu’un 767 délogerait la majeure partie de l’amiante et certainement pas aussi loin du point d’impact. Nous nous trouvons donc avec une nouvelle théorie qui n’en est pas une. C’est plutôt un ramassis de vagues déclarations. Le rapport du NIST ne peut être qualifié que « d’anti-science ». Ils ont commencé par leurs conclusions, pour remonter ensuite à des hypothèses. Lorsque les résultats des tests physiques ont démontré que les températures étaient nettement trop basses pour ramollir l’acier, que les planchers n’ont pas pu céder et que l’amiante n’a pas pu être délogée sur une large zone, le NIST a ignoré ces résultats et a conçu un modèle informatique opaque que personne ne pouvait contester et qui crachait les bonnes réponses… »

L’acier en morceaux, complètement déformé, parlait de lui-même.
Tordu, déformé et sans fissure.

Les témoignages en font foi, en ayant examiné des morceaux d’acier : « vu sa taille et vu le fait qu’il n’y ait pas de fissure je trouvais difficile à croire qu’il se soit tordu…» Sur un autre morceau : « il s’est plié presque sans la moindre fissure, il faut des milliers de degrés [il parle en Fahrenheit] pour plier de l’acier de cette façon.»
Ce qui soutient la thèse de la démolition contrôlée.

Dans un autre document on voit la « météorite » qui est en fait une boule de fer fondu mélangé au béton.
L’architecte Bart Voorsanger déclara : « Les architectes, les ingénieurs, les soudeurs qui travaillent l’acier, n’ont jamais vu un niveau tel de destruction et de déformation de toute leur vie. »

Il est vrai que la chaleur dilate l’acier.
Dans un incendie, l’acier peut légèrement gonfler et se déformer, mais comment expliquer la formation de ces énormes enchevêtrements de fer et de béton (des masses informes) ?
L’acier sous les tours a fondu a plusieurs milliers de degrés F, comme le métal est conducteur de la chaleur, les restes tordus résultent-ils de températures élevées qui se seraient frayées un chemin à travers la structure en acier ?
Le transfert de chaleur déforme l’acier, les explosifs aussi déforment l’acier. Au moment de la détonation du gaz est expulsé, la force de ces gaz peut facilement déformer une grosse colonne d’acier.
Il y a deux types de débris : d’énormes colonnes brisées qui pourraient détruire un camion et des matériaux quasiment pulvérisés.
Il y avait deux tous de 110 étages de plus de 400 mètres de haut, « pourtant on ne retrouve ni bureau, ni chaise, ni téléphone, ni ordinateur. Le plus gros morceau de téléphone que j’ai retrouvé était la moitié de son clavier. » raconte Joe Casaliggi, conducteur d’engin à Ground Zero.

En 1886, 4 chercheurs d’or sont morts dans une explosion souterraine, les restes de ces 4 hommes furent remontés à la surface dans un seul tonneau. Le morceau le plus gros était une partie de pied.
Après le 11 septembre, 1100 corps n’ont jamais été retrouvés.

On a retrouvé à Ground Zero dans une colonne d’acier quelque chose de curieux :
Lors de la construction des tours jumelles, les ouvriers avaient la coutume de mettre des objets dans les colonnes d’acier puis de les recouvrir avec des plaques de plâtre, raconte Mark Wagner, architecte. On retrouva un exemplaire du N.Y Times daté du lundi 23 juin 1969 dans l’une de ces poutres. Il était bien conservé.

Bien à vous.




























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Message par A.Lionel » Samedi 22 Septembre 2007 19:54:31

Sérieux, vous étes ingénieur!
Bon, cela ne compte pas car vous n'etes pas à une contradiction près dans votre argumentation qui est pourtant votre rayon.
On y va.

"Faux : si les avions avaient percutés la base de la tour, ou du moins des étages proches de la base, l'impact en lui même aurait suffit"

Dites, vous croyez qu'un avion de ligne peut se faufiller en rase motte à travers des blocs de tours?


"Leur maillage a été conçu à pouvoir "absorber" un tel impact sur des étages en grande hauteur, et sur ce point bravo c'est succès.
Mais je doute que tous les paramétrès aient été pris en compte, comme les explosions, la chaleur dégagée et les variations brusques de température."

Les deux concepteurs des tours vous expliquent qu'ils s'étaient inspirés de la collision entre un bombardier et l'Empire State en 1945, un bombardier vole avec des moteurs non? Un 707 aussi figurez-vous! Et qu'est ce que l'on met dans un moteur?
Je concède quand meme que l'on ne peut tout prévoir mais là je ne vous suis pas.

"Donnez moi une autre tour dans laquelle un avion s'est scraché avec du kérosène en feu, et nous verrons."

Vous l'avez, le crash du B-25 Mitchell.

"Le rapport de la FEMA nous informe ensuite que le kérosène en feu se serait dispersé à travers les étages embrasant le contenu du building, et générant de plus en plus de chaleur.
Cela aurait suffit à abattre les 47 colonnes d’acier de la structure centrale, les 236 colonnes extérieures et des milliers de montants d’acier, et tout cela simultanément. "

Et vous etes d'accord avec ça, rien de choquant? Bon ok, puis :

"Selon l’ingénieur Leslie Roberts de la FEMA : « La question du carburant de l’avion en terme d’explosion et d’incendie n’a pas été considérée…Nous n’étions pas responsables de cet aspect de la conception [des tours]. »"

Ah parce qu'il n'y a pas d'interet à savoir ce que contenaient les réservoirs? La quantité de kérosène au moment de l'impact?!

Et vous oubliez ceci "La thèse centrale de la version officielle est basée sur la chaleur : des températures suffisamment élevées pour affaiblir l’acier."

Manque de hic, la température était vraiment trop basse et c'est en cela que c'est illogique!
Vous me dites que personne ne pouvait mesurer les températures (et pourquoi distinguer inetrne d'externe surtout quand on ne sait meme pas la quantité de carburant!), donc tout ce que dit le FEMA tombe!

Et vous ajoutez ceci "Vous confondez...enfin...les auteurs qui rapportent ces témoignages certaonement authentiques, confondent pardon, une température ambiante à une température interne à des poutres en acier...et vous faîtes fausse route avec ces témoignages qui ne servent à rien."

Je ne confonds rien, la tour de Madrid était en flamme, des flammes immenses, vraiment immenses, la températures ou les températures, ne pouvaient etre que plus élevées et donc la température interne de la structure aussi! Elle ne s'est pas écroulée malgré les heures et les heures de combustion, elle ne s'est pas évaporée en nuages de poussières de béton, de métaux...Enfin on a pu y poser une grue juste après!

Moi je suis pret à entendre vos températures internes des poutres et du coeur des tours. Allez y que diable!

En plus vous etes gentil mais les pompiers connaissent leur job, vous savez les incendies de gratte-ciel à N.Y.C c'est plus fréquent que les incendies d'une maison de campagne à... N.Y.C!
Quant aux témoins, je suis désolé, certains étaient à des étages très proches de l'impact, ils purent meme s'en échapper, mieux meme à des étages compris dans ceux qui ont été touchés par l'impact de l'avion et qui ont sauvé leur peau, alors les températures impressionnantes dans l'air qui seraient si basses et en meme temps si élevées dans l'acier au point de les faire fondre...

Je remarque que vous ne parlez pas des explosions souterraines bizarre non? Ni des restes des tours : poussières et poutres qui ont été les seuls restes des tours.

"Après l’attentat de 1993, l’ignifugation des tours a été considérablement améliorée, mais dans le rapport du NIST, on ne voit pas la moindre trace d’un test qui démontre qu’un 767 délogerait la majeure partie de l’amiante et certainement pas aussi loin du point d’impact. Nous nous trouvons donc avec une nouvelle théorie qui n’en est pas une. C’est plutôt un ramassis de vagues déclarations. Le rapport du NIST ne peut être qualifié que « d’anti-science ». Ils ont commencé par leurs conclusions, pour remonter ensuite à des hypothèses. Lorsque les résultats des tests physiques ont démontré que les températures étaient nettement trop basses pour ramollir l’acier, que les planchers n’ont pas pu céder et que l’amiante n’a pas pu être délogée sur une large zone, le NIST a ignoré ces résultats et a conçu un modèle informatique opaque que personne ne pouvait contester et qui crachait les bonnes réponses… »"

Effectivement le modèle informatique de la NIST est une hérésie reprise en choeur par la.....FEMA!

Et vous dites :

"Oh! Je suis d'accord là aussi! Les voilà la physique professionnelle et le bon sens : des logiciels de calculs de contraintes par éléments finis, comme Pro-Engineer, Catia (utilisé chez Dassault et Airbus) et Ideas, ne peuvent pas vous simuler efficacement des situations thermique et mécaniques si complexes....Un impact d'un avion oui sans problème, mais le reste....
Donc désolé, mais je suis d'accord avec Leslie Roberts."

Comme vous etes d'accord avec la FEMA qui elle-meme est d'accord avec la NIST, vous etes donc d'accord avec la NIST, impressionnant!

Au cas où vous n'auriez pas compris l'affaire : la FEMA a été obligé de changer son fusil d'épaule en impliquant la société de certification de l'acier des WTC sans la poursuivre devant les tribunaux au passage.
La FEMA avait besoin d'une preuve forgée d'une structure mal inifugée pour faire passer la pillule des basses températures. La NIST fournissait ce moyen mais sans en faire la preuve.


Citation:
Reichstadt : "En fait les tours se sont comportées comme les concepteurs l’avaient prévu."

Chou d'Amour : "D'un point de vue mécanique des structures oui, d'un point de vue thermique non."

Bah allez savoir si les concepteurs pensaient avoir affaire avec un avion qui roule! :D
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Message par A.Lionel » Samedi 22 Septembre 2007 21:18:24

"Donnez moi une autre tour dans laquelle un avion s'est scraché avec du kérosène en feu, et nous verrons. "

Au fait, savez-vous de quoi est composé un avion?
Ses parties en titane notamment le moteur, se sont-elles aussi évaporées avec le kérosène!?

Ce que je vois est que vous ne contribuez en rien au débat, les questions soulevées par moi, les explosions en sous-sol par exemple ne vous interpellent pas! Je vous descends, moi pauvre profane, la preuve vous vous énervez.

Vous maitrisez le sujet? Vous me dites qu'il n'y a jamais eu d'avion ayant percuté une tour, je vous donne un exemple, plus tard j'en donnerai d'autres!
Vous me tirez les vers du nez sans rien apporter. Je suis désolé de vous le dire.

"vous voulez me donner des leçons de conception mécanique, alors pouvez vous nous décrire ici la méthodologie de conception et les calculs engendrés? "

Mais je me fiche de ces calculs en l'espèce, s'ils étaient justes dans l'affaire du 11 septembre, nous ne serions pas là, car voyez-vous, il n'y a pas les profanes d'un coté et les spécialistes de l'autre, il va falloir vous réveiller et creuser un peu plus!

Moi je n'ai qu'une question finalement, est-ce qu'un avion (on ne sait meme pas si c'est réellement un avion civil, j'y reviendrai aussi) contenant du kérosène (quelle quantité?) qui s'écrase sur une tour réputée parer ce type de manoeuvre peut réduire en poussière deux buildings de 110 étages de la meme façon, couper les 47 colonnes centrales en poutres équidistantes, faire fondre tout l'acier de la structure et réduire à l'état de poussière le béton, le tout à la vitesse de la chute libre?

Pour moi c'est impossible!

"Il faudrait (j'insiste sur le conditionnel) prendre en compte le volume de kérosène, l'instant d'explosion (T0+ x secondes), les modifications structurels de la tour suite au souffle, la courbe de température engendrée, la propagation et la conduction en conséquence sur la structure, les conséquences sur chaque poutre de la structure et les interactions entres elles...etc....il faudrait combiner des calculs de mécanique par éléments finis, de mécanique des solides, de thermique, de thermodynamiques, de matériaux, tous en intéraction les uns des autres...je continue?"

Continuez et donnez-moi vos résultats, je vous en prie!

Avez-vous conscience que la FEMA n'est pas arrivée scientifiquement à démontrer ce qu'elle défend, elle dut s'en remettre aux conclusions bidons de la NIST!

Je pense que vous ne comprenez pas le sens hsitorique de cet évènement et j'espère de tout coeur me tromper, je crois que le 11 septembre 2001, sera la date historique du cimmencement du XXIème siècle.
L'histoire officielle est bidon, il suffit de creuser un peu...

"Le coefficient de conduction de la chaleur de l'air n'a rien à voir avec celui des aciers, et c'est la température des poutres qui a joué, non celle de l'air"

Ah bon et la chaleur du kérosène elle est entretenue par quoi?
Et les poutres et le coeur qui les ont chauffé?

A vous écouter, l'explosion fut violente, le kérosène si chaud sur le moment transmit une chaleur telle que les poutres et le coeur furent intégralement affaiblis? L'air ambiant n'étant pas suffisant pour entretenir une température constante du kérosène?

Donnez votre version complète, il faut savoir etre honnete et dire comment les tours ont disparu, réduites en poussière!

"Là encore votre ignorance de la physique vous revient en pleine figure : ce n'est pas la taille des flammes qui influe sur la température"

La taille et surtout la couleur des flammes va de paire avec son comburant non? En espèce les flammes étaient hautes et vives à Madrid, peu de fumée.

"Si vos pompiers peuvent me montrer leurs réferences en mécanique thermique j'en serais heureux "

Vous savez très bien que les pompiers, avec l'expérience peuvent vous dire au moins la température ambiante d'un building en feu, également en jugeant de la fonte de certains matériaux, eux aussi ils vont toucher les murs, enfin bref l'expérience pas celle de labos ou de simulateurs qui n'ont aucune utilité ici.

Arretez de mettre en avant vos diplomes et toutes cette quincaillerie qui, ici, est inutile, je le répète, ils n'y a pas les crétins d'un coté et les lumières de l'autre.
Je dirais meme plus que compte tenu de vos connaissances j'essayerais au moins de voir si la thèse officielle tient debout.

J'ai de l'estime pour ceux qui cherchent la vérité meme s'ils se plantent.

Alors vous etes d'accord avec la FEMA et la NIST qui se contredisent?
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Message par Baron Percy » Samedi 22 Septembre 2007 23:30:20

Aucun de vous deux ne veut lâcher son os !
Cela donne des échanges passionnants quand ils restent respectueux.
Les argumentaires en présence reposent sur quantité de sources et les démonstrations à caractère technique sont très fouillées, ce qui fait qu'il est parfois difficile pour un profane de s'y retrouver dans cette profusion d'informations.
A ce stade, il me faut en convenir : il m'est difficile de vous départager.
Nul doute que la suite du débat y contribuera certainement... :wink:
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Message par A.Lionel » Samedi 22 Septembre 2007 23:32:30

"Quel rapport? Vous pensez que chaque boulon, chaque particule des tours et des avions vont être retrouvés après une catastrophe comme celle-ci?"

Quel rapport, on n'a rien retrouvé sur l'avion, et le titane fond à une température plus élevée que l'acier plus de 1600 degrés.
Si les étages se sont effondrés en pile, on aurait du retrouver les grosses pièces des réacteurs!
Ah oui j'oubliais le kéroséne a tout fait fondre et a tout pulvérisé!

"Vous n'y connaissez rien? C'est étonnant!
Alors alignez vous et ne parlez pas de ce que vous ne connaissez pas."

L'aligné c'est vous, c'est sur!

"Les calculs des concepteurs étaient justes...le truc c'est qu'ils n'ont pas pu faire (à cause du temps dont ils disposaient, des budjets, et des limites logistiques après je n'en sais rien...) tous les calculs possibles, ce qui est évident"

Et cela vous suffit pour vous aligner ou plutot vous coucher, savez vous que le budget alloué à la commission fut dérisoire face à la débauche de billets verts dans l'affaire de la gaterie que fit Monica Lewinski à Bill Clinton!

"Amusant c'est exactement le discours que vous aviez en Histoire : les grands historiens comme Furet d'un côté et les pauvres biographes et passionnés de l'autres
Seulement là vous parlez de sciences dures...et dans vos articles à sens premier polémiques, avec des témoignages de "gens" comme vous disiez, là oui c'est amateur...un pompier n'a pas de diplôme approprié...de même qu'un témoin qui a pu dire "il ne faisait pas si chaud que ça"....surtout quand la politique s'en mêle."


Tiens ici, des confrères à vous, vous voyez je suis pas seul !!!

http://www.patriotsquestion911.com/engineers.html

Mon pauvre tout cela est hors sujet, Furet et compagnie, surtout que je n'ai jamais mentionné Furet, je ne l'ai pas lu!!! :D

"Citation:
Reichstadt : Avez-vous conscience que la FEMA n'est pas arrivée scientifiquement à démontrer ce qu'elle défend, elle dut s'en remettre aux conclusions bidons de la NIST! "

Vous : "Et ça vous étonne?
Des simulations de système non linéaires de ce type, comme je l'ai déjà dit (c'est lourd...) sont extrèmement complexe, et c'est quasi impossible à prévoir...donc moi ça ne me choque pas... "

Quelle rigueur scientifique, effectivement je suis impressionné par l'assurance de vos propos basés sur des incertitudes!

"Un avis sur le pont du Mississipi? Un complot là aussi? Vous êtes discret sur ce point...."

Hors sujet, décidément vous avez du mal. :D

Citation:

Reichstadt : "Ah bon et la chaleur du kérosène elle est entretenue par quoi?
Et les poutres et le coeur qui les ont chauffé?"

Vous : "Les poutres ont été chauffés par :
- l'impact physique,
- l'explosion,
- la combustion du kérosène. "

Je suis impressionné encore une fois par votre réponse! Quel spécialiste! :D

"Encore une fois, ne voyez pas la dilatation comme un ramolissement ou un affaiblissement.... "

C'est comme ça que la FEMA le voit désolé pour vous!

"la température de l'air ambiant était inférieure à celle de la structure. Et vous raisonnez de travers : c'est le kérisène qui entretenait la température ambiante et celle de la structure, et non l'inverse."

Ca va j'avais compris que l'air ambiant n'était pas plus chaud que celle de la structure, c'est le comburant. Ce que j'ai compris aussi c'est que les fumées épaisses révèlent une mauvaise combustion, mauvaise combustion du kérosène=faible chaleur, d'ailleurs la FEMA dit bien que la chaleur dégagée par le kérosène était trop faible, encore une fois c'est la NIST qui lui sauve la mise en accusant l'amiante de la structure.

"La couleur oui renseigne de la température, mais la taille c'est moins évident.
Une flamme rouge indique une température haute, une flamme jaune indique une très haute température. "

Encore une fois vcous répondez à coté, vous oubliez la fumée dégagée qui renseigne de la qualité du feu.

Les tours n'étaient pas infestées de feux à haute température au regard d'autres.

Et la WTC7 comment s'est-elle effondrée?
Pour la FEMA, elle s'est effondrée toute seule!!!!
Alors qu'on sait de sa bouche que c'est Silverstein qui a donné l'ordre de la "tirer", vous ne trouvez pas curieux qu'un civil prenne ce droit alors que le batiment était occupé par des services administratif américains tels la CIA, la SEC, le bunker du maire...?

Ca vous pose un problème ça hein?

"J'en suis arrivé à la même conclusion que l'officielle....pour moi ça s'arrête la. Et nous sommes nombreux à penser de même. "

Vous etes de moins en moins...
Dernière édition par A.Lionel le Samedi 22 Septembre 2007 23:39:43, édité 2 fois.
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Message par A.Lionel » Samedi 22 Septembre 2007 23:37:13

Bon Baron "Nul doute que la suite du débat y contribuera certainement... "

Bah ne vous réjouissez pas trop vite, quand je vais aborder le sujet sur les pilotes hautement chevronnés des 767 qui comprenaient mal l'anglais et ne maitrisaient pas un...Cessna mais qui ont réussi une manoeuvre impossible avec l'un des avions, on va encore me dire, t'es pas un pilote, de quoi te meles tu?! :D Et que dire si j'essaie de dire qu'il n'y avait pas de pilote dans les avions?
Aligne toi! :wink:

Bonne nuit.
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Message par A.Lionel » Samedi 22 Septembre 2007 23:49:35

Votre réponse sur le WTC7 :

"Pas forcément...vous savez la mécanique des structure combinée à de la mécanique vibratoire, peut être très complexe et subtile...on peut aussi prendre en compte le coéfficient de fatigue des matériaux, ainsi que leur résistances aux contraintes et leur comportement dans la durée après des grandes vibrations...tous ces paramètres font que j'imagine très bien la structure de cet édifice s'effondrer même une heure après les vibrations dues aux 2 autres tours. "

Révélateur effectivement de...mauvaise foi ou une méconnaissance du dossier, choisissez votre chemin... :D

_________________
BRH : "Dilatation et chaleur ? Mais comment expliquer les poutres cassées nettes ? "

Toujours pas de réponse?
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Message par A.Lionel » Dimanche 23 Septembre 2007 00:18:09

:D
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Message par A.Lionel » Dimanche 23 Septembre 2007 16:07:24

Bonjour, je voulais juste préciser s'agissant du budget de la commission du 11 saptembre, elle disposa de...2 000 000 dollars dont 600 000 pour l'enquète sur les tours jumelles et l'affaire de la "douceur" de Monica à Bill Clinton couta...52 000 000 de dollars.
Cherchez l'erreur!

Après, "le Chou", vous pouvez toujours me parler des ingénieurs qui soutiennent la thèse du complot d'etre des politiciens, que dire face à de tels chiffres?

Bon dimanche.
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Message par Daniel Laurent » Dimanche 23 Septembre 2007 16:32:53

Bonjour,
Pourriez-vous integrer a ce debat tres tendu le fait que les Normes ASTM, donc americaines, sont, par rapport aux Normes Europeennes, completement lamentables, environ 50% de ce qui se fait en Europe ?

Les normes feu en Europe exigent une resistance de 4 heures pour les elements de structure essentiels.

Aux USA, 2 heures.... 2 heures comme quand ?
:wink:
Cordialement
Daniel
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