par boisbouvier » Dimanche 01 Novembre 2009 08:25:52
Donc, c'est admis : Pétain ne faisait pas sous lui.
Mais, rebondissons : comment tirer le meilleur parti possible des problèmes de santé de nos adversaires ?
Pour Churchill, Hitler eut l'embarras du choix.Entre l'alcoolisme chronique, le tabagisme (qui tant favorise l'athéromatose) et la dépression également chronique (le fameux chien noir),... que d'aubaines.
Roosevelt, également, apparait vulnérable. A ne se balader qu' en fauteuil roulant, forcément on voit le monde autrement et plutôt d'en bas. D'ailleurs, pour beaucoup d'européens de ce temps (dont Hitler), les Américains ne sont que de grands enfants incapables de se hisser au niveau des concepts supérieurs.
Staline ? La vodka, à Kountsevo, ne coulait-elle pas tous les soirs à flot ? Et, les femmes, oh là là !
Mais, Hitler ?
Lui, une vraie perfection. Non seulement il ne buvait ni ne fumait mais il mangeait végétarien ! Et il aimait tellement son chien. Sa copine ? Un modèle de santé et de discrétion!
Si, en plus, il avait été à la messe, nul doute qu'il n' eût rallié encore davantage la femme allemande aux trois "k" : kinder, küche, kirke...
Je crois que la maladie des grands n'intéressent pas les peuples.
L'Histoire, elle, en fait grand cas, mais n'est- elle pas le plus grand mensonge jamais inventé par l'espèce humaine ?