La thèse négationniste du Massacre d'Oradour !

Les Totalitarismes à l'assaut de l'Europe !

La thèse négationniste du Massacre d'Oradour !

Message par Administrateur » Dimanche 13 Janvier 2008 18:10:52

Elle est battue en brèche par l'article remarquable de Stéphane Delogu:


http://stephane.delogu.free.fr/le-mag07-06.html
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Re: La thèse négationniste du Massacre d'Oradour !

Message par Baron Percy » Dimanche 13 Janvier 2008 23:47:40

merci pour ce précieux lien.
Il s'agit d'un remarquable contre-argumentaire qui démonte point par point la thèse négationniste de Reynouard.
Un travail sérieux et référencé qui ne laisse plus plâner le moindre doute sur les atrocités commises en ce lieu de triste mémoire...
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Re: La thèse négationniste du Massacre d'Oradour !

Message par Daniel Laurent » Vendredi 18 Janvier 2008 10:33:51

Bonjour,
Cet article de Stephane Delogu avait en son temps entraine quelques reactions de "l'auteur" qui termine en mettant Stephane et certains de ses collaborateurs dont votre serviteur, a l'honneur sur son site :
http://www.vhofrance.org/defi_delogu.htm#_Toc156021414
:lol:
Cordialement
Daniel
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Re: La thèse négationniste du Massacre d'Oradour !

Message par BRH » Dimanche 12 Janvier 2014 10:02:26

Cherché sans le retrouver... :oops:

Je regrette de ne pas l'avoir intégralement retranscrit ici. Bien entendu, l'article était convaincant, autant que je m'en souvienne. Le drame, c'est que je ne l'ai pas bien mémorisé... :roll:
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Re: La thèse négationniste du Massacre d'Oradour !

Message par BRH » Dimanche 12 Janvier 2014 10:15:55

Cette sentence a été cassée quelques mois plus tard, relevant que le negationnisme développé par l'auteur concernait non pas un crime contre l'humanité, mais le déroulement d'un crime de guerre
. M. Reynouard était poursuivi pour avoir réalisé par aillleurs une cassette intitulée "La tragédie d'Oradour-sur-Glane: 50 ans de mensonges officiels", dans laquelle il
conteste les faits établis par les rescapés et lors du procès de Bordeaux en 1953. Au delà de ce triste fait divers, il sembleintéressant d'analyser la rethorique et l'argumentaire d'un authentique négationniste exclu en 1997 del'Education nationale pour avoir stocké des documents niant l'Holocauste sur l'ordinateur d'un lycée professionnel de Honfleur (Calvados) où il enseignait les mathématiques.

Les faits

La cassette vidéo n'a jamais été distribuée dans le commerce mais demeure visionnable par le biais de logiciels peer to peer bien connus (mot clé : Oradour). D'une qualité très moyenne, elle ne marque pas les esprits par son originalité et encore moins par sa contribution à l'Histoire . En revanche, son étude reste intéressante, car elle dévoile de manière exhaustive l'éventail très complet de l'arsenal négationniste, que David Irving ne fut pas le dernier à utiliser. Sur quels critères repose la thèse de Vincent Reynouard ? selon lui, Oradour sur Glane était en 1944 l'un des fiefs de la resistance en Limousin, expliquant ainsi l'irruption soudaine d'une compagnie du Regiment der fuhrer dans la localité : il s'agissait d'autre part de rechercher un officier SS enlevé la veille à St Léonard de Noblat (Haute vienne). Le massacre des 207 femmes et 245 enfants dans l'eglise est selon l'auteur "un accident" causé par une déflagration à l'intérieur de l'eglise où se trouvaient dissimulés des explosifs appartenant à la Resistance. Par ailleurs, Marguerite Rouffanche n'aurait pu s'extirper de l'eglise par un vitrail et chuter trois mètres plus bas sans se rompre le cou. L'eglise d'Oradour n'aurait, par conséquent, jamais été incendiée volontairement mais détruite accidentellement alors que s'y trouvaient les femmes et les enfants du village. Marguerite Rouffranche restant la seule survivante de ce drame, c'est sur son témoignage que ce sont fatalement appuyés les historiens. La faire "disparaitre" des lieux équivaut par conséquent à ce qu'aucun témoin visuel des évènements ne puisse faire la lumière sur la chronologie. L'argumentaire de M. Reynouard s'appuie sur le fait selon lequel les photos de corps déchiquetés prises après le massacre laissent supposer que la mort des victimes a été causée par explosion et non par incendie. L'auteur conclue son exposé en affirmant que contrairement à l'histoire jusqu'à présent retracée à l'unisson par de nombreux auteurs, le village d'Oradour était ciblé en raison de son activité resistante, que
l'enlèvement d'un officier allemand supposé s'y trouver justifiait l'intervention d'une compagnie de Waffen SS, que les femmes et les enfants sont morts accidentellement et que le seul témoin occulaire de leur mort se trouvait en réalité à l'extérieur de l'eglise. Les hypothèses de M. Reynouard, et ce qui apparait comme le fait le plus dram
atique , ont semble t'ilconvaincu quelques personnes. Pourtant, son analyse ne repose que sur une subtile manipulation de la vérité, élaborée de manière orientée sur la base de faits réels et par conséquent plausibles. les détails mis en exergue par M. Reynouard sont-ils crédibles. La réponse est non. C'est ce que nous proposons de démontrer dans ce qui suit.

2004 à 24 mois de prison, dont six mois ferme, parla cour d'appel de Limoges pour "apologie de crimes de guerre" dans une cassette vidéo contestant le
massacre d'Oradour-sur-Glane, le 10 juin 1944.
Page 5 of 12 le magazine en ligne du d.day
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debarquement de normandie 6 juin 1944
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03/12/2009
http://stephane.delogu.free.fr/le-mag07-06.html

Retour à la réalité
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Oradour sur Glane est un accident, seuls les hommes étaient visés. La thèse développée par Vincent Reynouard est elle novatrice ?. C'est ce que le quidam serait tenté de croire. Pourtant, il ne s'agit ni plus ni moins que d'une reprise du communiqué officiel allemand publié quelques jours après le massacre d'Oradour sur Glane . Le journal
de guerre de Von Brodowski (commandant le Haut Etat Major de liaison n° 588 à Clermont Ferrand), document peu connu, est sans équivoque lorsqu'il évoque le 10 juin 1944 : "toute la population mâle d'Oradour fut fusillée. Les femmes et les enfants se refugièrent dans l'eglise. L'église a pris feu. Des explosifs étaient entreposés dans l'eglise. Toutes les femmes et les enfants trépassèrent". Von Brodowski ne savait que trop bien que s'il pourrait justifier l'éxécution des hommes, la mise à mort des femmes et des enfants ne trouverait jamais la moindre motivation acceptable. Les arguments de M. Reynouard n'ont donc rien de vraiment nouveau dans leur présentation, ils se situent au contraire dans un contexte de négationnisme condamnable. La division Das Reich, loin d'être à la recherche d'un officier capturé dans une commune voisine, n'a fait qu'appliquer la directive du 6 mai 1944 dictée par le general Jodl : "Des mesures collectives contre les habitants des villages entiers ( y compris l'incendie de ces villages) doivent être ordonnés exclusivement par les commandants dedivision ou chef S.S de la police.". Il apparait donc que les représailles ni visent pas exclusivement la population masculine, mais la totalité de la communauté. Or, Oradour sur Glane, et il en existe encore aujourd'hui des preuves irréfutables, n'était pas un bastion de la resistance locale. Cette directive du haut commandement Allemand démontre également que generalleutnant Heinz Lammerding (commandant de la 2ème SS panzer division) a lui même autorisé la mise à mort d'Oradour, battant en brèche les thèses selon lesquelles l'acte fut spontané et non planifié. Si l'on s'en tient au seul fait commis dans ce village du Limousin, l'exception peut donner lieu à de nombreuses supputations. Il suffit pourtant de recipatuler la totalité des exactions commises par la Division das Reich de mai à juin 1944, 54 autotal, pour comprendre que nous sommes en présence de faits répétitifs de pillages et éxécutions sommaires érigés en règle absolue. Oradour sur Glane fut l'escalade inégalée dans l'horreur, mais malheureusement pas un cas isolé. Les SS ont séparé les hommes du reste de la population, car ils étaient les seuls visés par les mesures de représailles.
Laraison de cette opération est tout autre : Dans tous les massacres commis sur le front de l'Est, les troupes de la wermacht
et les einanstruppen procédaient de la même manière, après avoir observé que des scènes de révolte -rapidement étouffées -survenaient dès que les hommes étaient témoins directs de l'assassinat de leurs femmes et de leurs enfants.
Séparer hommes, femmes et enfants à Oradour suivait la même règle, nombre de cadres du régiment der Fuhrer ayant du reste l'expérience de la campagne à l'Est, où, une fois encore, les massacres furent omniprésents et faisaient partie duquotidien de la Waffen SS.

L'église à été détruite par explosion après que les femmes et les enfants s'y soient réfugiés.

Ainsi donc, du matériel de sabotage detenu par la resistance aurait déclenché malencontreusement une explosion, ayant abouti à la destruction de l'eglise et à la mort de ses occupants. Cette hypothèse , une fois encore , repose sur une réalité, qui est un phénomène d'explosion, pour mieux en détourner la substance.
Il est en effet établi que les allemands ont amorcé des fumigènes avant de tirer sur les femmes et les enfants puis lancer des grenades incendiaires. Cette chronologie est importante, puisqu'elle explique l'explosion et la présence de corps déchiquetés , pris en photo après le drame. En effet, il est établi que les fumigènes ont été tirés en premier lieu, ce qui aura une influence prépondérante sur la suite des évènements. Ces artifices sont concus pour créer un écran de fumée à l'air libre : on imagine sans peine l'opacité qu'ils génèrent dans un lieu clos de murs. Il était donc impossible de voir à plus de 20 cm ! De fait, il était devenu inconcevable, pour qui que ce soit, de
pouvoir discerner une grenade ou tout autre projectile, même à proximité. Ainsi de nombreuses femmes et enfants ont-ils été déchiquetés sans pouvoir anticiper le moindre geste. Des explosions ont donc bien eu lieu, mais elles furent déclenchées par les allemands eux-mêmes. D'autre part, de manière logique, des explosifs n'auraient jamais été stockés dans une eglise, où la population se rassemblait chaque dimanche, en raison de risques majeurs que chacun mesurera aisément. Si l'on s'en tient à la thèse de Vincent Reynouard, il est, dès lors, impossible d'expliquer comment la mise à feu des explosifs a pu s'effectuer. En effet, Le matétiel de sabotage se composait en règle générale de plastic ou Trinitrotoluène (TNT) et de détonateurs renfermant un explosif brisant, le Tétryl ainsi que la mèche lente et des dispositifsd'allumage. Pour que ce matériel ne soit mis à feu, tout en sachant que selon l'auteur il était caché, il fallait une explosion très puissante , ce qui revient à dire que les allemands ont du utiliser des artifices spéciaux, un explosif brisant en l'espèce, pour le matériel soi disant dissimulé dans l'eglise n'explose. . On mesurera sans peine l'incohérence
de l'argumentaire de Vincent Reynouard, pour qui le matériel de sabotage a explosé accidentellement, sans intervention externe, c'est à dire de manière miraculeuse et spontanée

. Celui-ci ignorait probablement que le plastic et la TNT sont insensibles aux chocs et ne peuvent être amorcés qu'à l'aide de détonateurs produisant une déflagration brisante . Tout cela prêterait à sourire si cette pantalonade n'avait trait au massacre de femmes et d'enfants, acte à jamais impardonnable. Par ailleurs, On imagine mal comment les femmes ont -collectivement qui plus est- pris la décision de se retrancher dans l'eglise, où se trouvaient des explosifs, ce qu'elles ne pouvaient bien évidemment ignorer, tout au moins celles d'entre elles en relation avec la resistance. Cette affirmation est bien évidemment contraire à toute logique, encore faut il que plus de 400 femmes et enfants désarmés n'aient trouvé le moyen d'échapper à la surveillance rapprochée de leurs bourreaux.
Toute personne ayant visité les ruines d'Oradour aura remarqué qu'un large parvis entoure l'église et que ce no man's land aurait été fatal aux fuyards.

-Marguerite Rouffanche, seule rescapée féminine, ne se trouvait pas dans l'eglise.

Vincent Reynouard justifie cette théorie par un calcul physique qui voudrait qu'en raison de la dénivellée, cette femme déjà blessée aurait dévalé le contrefort situé trois mètres plus bas et s'y serait brisé le crâne. Décidemment, notre historien négationniste connait bien mal l'histoire d'Oradour sur Glane. En réalité, Mme Rouffanche ne
fut pas la seule à s'extraire de l'eglise : une seconde femme et son enfant l'ont précédée. Mortellement blessés, ils ne survivront pas plus de quelques minutes et c'est sur leurs corps que chutera la malheureuse. Encore une fois, il s'agit d'une technique négationniste rodée : en enlevant le seule témoin des lieux, on occulte son témoignage par voie de conséquence.
Finalement, le lecteur l'aura compris, la thèse de Vincent Reynouard, ne repose que sur des faits manipulés et dont le déroulement a été volontairement modifié pour parvenir à disculper partiellement les auteurs d'un massacre impardonnable. L'un des survivants du régiment Der Fuhrer, Heinz Barth, interrogé dans les années 1970 prononcera ces mots qui se passent de tout commentaire :
"Lorsque j'ai su qu'il y avait eu des survivants à Oradour, je me suis senti mal à l'aise, nous n'avions pas fini notre travail."

Ce n'est ni plus ni moins en faveur de tels individus que M. Reynouard a détourné l'histoire, qui reconnaissent d'ailleurs volontiers qu'il était bel et bien question de massa
crer la totalité d'un village.
Au delà du seul contexte d'Oradour sur Glane, les travaux de Vincent Reynouard doivent servir à comprendre et maitriser les techniques negationnistes dont le moins que l'on puisse dire est qu'elles se situent dans un contexte d'ensemble qui tente actuellement un retour en force. Restons donc prudents et surtout soucieux en permanence d'analyser et comparer ce que nous lisons. Seul un oeil critique nous permettra de ne pas tomber dans le piège dangereux du négationnisme.
.
POUR SE DOCUMENTER : COMPRENDRE ORADOUR
Centre de la mémoire d'Oradour . C.M.O. - Juillet 2000. 29,7 × 24 cm - 150 pages
Livre très complet. reprenant intégralement l'exposition du Centre de la Mémoire de Oradour (C.M.O.). L'entrée dans la guerre, la montée du nazisme, la résistance. Le drame d'Oradourplacé dans le contexte de la seconde guerre mondiale. Nombreux plans et photographies. Courte évocation du 10 juin et d'Oradour, l'un des livres les plus complets et documentés sur la tragédie.
LE CENTRE DE LA MEMOIRE D'ORADOUR SUR GLANE
http://www.oradour.org/
Le centre de la mémoire d'Oradour, créé en 1999, se veut un sanctuaire de recueillement, mais aussi d'information. Dépassant
les frontières du massacre, il propose au visiteur une rétrospective complète de la montée du nazisme et de ses effets en Europe. Il est implanté dans le périmètre
de l'ancien village, dont la visite est un point de passage terrible mais incontournable. Comprendre le nazisme, c'est avant tout en comprendre l'horreur et le résultat.
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Re: La thèse négationniste du Massacre d'Oradour !

Message par Auguste » Lundi 03 Août 2020 09:50:29

C'et un vieux débat... Je me souviens y avoir été censuré ! C'est assez rare ici. Je retente donc l'expérience : si certains arguments de Reynouard sont assez faciles à démonter, il y en a un qui ne trouve pas de réponses. Je n'ai peut-être pas tout lu en dehors de ce forum; mais je n'ai jamais trouvé de réponse !

Une âme charitable voudra bien (je n'en doute pas) m'éclairer. Voici :

Reynouard explique que l'écroulement des voûtes et du clocher ne vient pas de l'incendie, car incendie il n'y eut pas. Du moins un incendie violent et destructeur. Il en veut pour preuve qu'il n'y a pas de traces de suie sur les murs extérieurs (notamment au niveau des vitraux explosés sous l'effet de la chaleur). Or, cela est impossible en cas d'incendie majeur ! Donc, si pas d'incendie violent et important, comment expliquer la chute de la voûte et du clocher ? Seule, une explosion massive et destructrice peut l'expliquer. Et de là, tout doit être reconsidéré... Les photos d'époque ne montrent aucune trace de suie à l'extérieur de l'église.
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Re: La thèse négationniste du Massacre d'Oradour !

Message par BRH » Lundi 03 Août 2020 10:24:23

A supposer que les traces de suie n'existent pas, il n'en reste pas moins que certaines parties de l'église ont bien été incendiées. Donc, on ne peut pas soutenir qu'il n'y a pas eu d'incendie. En tout cas, il y a eu des incendies, à preuve : certains corps calcinés de femmes et d'enfants...
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Re: La thèse négationniste du Massacre d'Oradour !

Message par Auguste » Lundi 03 Août 2020 22:30:08

oui, de mémoire, un incendie au niveau du confessionnal et de la sacristie, peut-être plus... Mais pas un incendie général qui aurait fait écrouler la nef et le clocher. Et pour cela, la suie aurait marqué les murs à l'extérieur. Rien de tel...
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Re: La thèse négationniste du Massacre d'Oradour !

Message par BRH » Mardi 04 Août 2020 08:43:02

Il existe des photos de l'église avec des marques de suie ! Cette histoire ne tient pas... :roll:
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Re: La thèse négationniste du Massacre d'Oradour !

Message par Auguste » Mardi 04 Août 2020 15:57:10

En effet, il y a des traces de suie au niveau de la sacristie, mais pas au niveau du clocher. C'est la sacristie qui a brûlé et d'autres endroits (mais pas le confessionnal). Donc, pas d'incendie majeur. Donc, explosion et non des explosions... A preuve, les nombreux cadavres décapités, démembrés ou coupés en deux. On ne connaît pas la nature des explosifs entreposés dans le clocher et dans les combles. Difficile d'affirmer que les résistants n'auraient pu y stocker que du plastic. Comme je veux pas débattre uniquement avec le maître des lieux, j'en resterai là...
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