Le débat sur mon travail

Les Totalitarismes à l'assaut de l'Europe !

Re: Le débat sur mon travail

Message par Francois Delpla » Lundi 03 Mars 2014 10:00:47

Enième retour au sujet après diversion coucouesque.


Sur la folie de Hitler,

ma publication la plus fouillée à ce jour est sans doute le mémoire d'habilitation (2012) intitulé L'individu dans l'histoire du nazisme / Variations sur l'arbre et la forêt, disponible sur la Toile en deux versions http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=& ... 5928,d.ZG4 http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=& ... 5928,d.ZG4

Je reproduis (avec son autorisation) le courrier récent d'un psychiatre blanchi sous le harnais et suis friand de vos réactions (en rouge, de miens ajouts) :

Je relis votre "présentation de travail" et la IIe GM….perdues dans mes Documents archivés !!! et note cet excellent passage...

""<L'expression "politiquement correct", bannie des proses de FD, sert>le plus souvent, de flèche d’appoint contre les
idées politiques d’un adversaire. Par « commande politique
» j’entends un certain nombre de tabous inconscients
qui, comme dans une enquête policière
entachée d’idées préconçues, détournent les chercheurs
de certaines investigations pour le plus grand
confort des pouvoirs en place mais aussi, bien souvent,
de leurs oppositions. Cette commande a, bien
entendu, partie liée avec le moralisme et le juridisme.
Les années suivant la Seconde Guerre mondiale en
fournissent maints exemples. C’est alors que, pour les
besoins immédiats de la reconstruction, on se dispense
un peu partout d’analyser le nazisme et on va
au plus facile, consistant à juger l’arbre à ses fruits.
On le présente comme une barbarie longtemps dissimulée,
un loup déguisé en brebis que les gouvernements
d’alors n’ont pas su percer à jour derrière son
travesti pourtant grossier, soit par lâcheté (ô moralisme
!), soit (ô juridisme !) parce qu’on manquait des
instruments légaux permettant d’appréhender un criminel
non encore passé à l’acte. En fait, si on ne l’avait
pas appréhendé, c’est en un autre sens du terme et
parce que son déguisement n’était précisément pas
grossier… ou était subtil derrière une grossièreté maîtrisée.
S’agissant par exemple de la France, l’historiographie
s’était mise à osciller entre les deux pôles
d’une « cinquième colonne » caressant l’idée de livrer
le pays à Hitler longtemps avant 1940 (la présence de
Pétain au ministère de la Guerre en 1934 et la réduction
concomitante, crise oblige, des crédits militaires,
jouant un rôle clé dans la démonstration) et d’un
« lâche soulagement » (suivant l’expression attribuée
faussement à Blum au lendemain de Munich, alors
qu’il l’avait émise dix jours plus tôt). Il manquait l’acteur
principal, très intéressé par la morale et le droit
mais très peu repéré comme tel avant 1990. Méditant
jour et nuit sur la façon de penser, de gouverner et de
légiférer des futures puissances adverses, Hitler illusionnait
chacune de manière spécifique"""


On inonde le public (lassé à juste titre) de pseudo-informations sur "les horreurs du Nazisme" dont tout le monde se contre-fout: ce sont des choses du Passé que tous scotomisent presque toujours. Même les victimes...Mais jamais on N'EXPLIQUE comme vous le faite le "Processus profond et subtile de toute l'entreprise", et ses pièges calculés.
(fondés sur l'absurdité et la méchanceté humaine combinées !)...

Autre petite merveille: Une critique juste mais aussi élogieuse de votre style d'analyse complexe, juste souvent, mais pas toujours facile à saisir.Nous sommes probablement habitués à trop de Facilité...

"On avouera ne pas avoir été complètement convaincu
par une démonstration dont on a plusieurs fois perdu
le fil en cours de lecture, tant l’auteur fait preuve de
subtilité dans son analyse des événements. Néanmoins,
sa démarche le conduit à reprendre toute l’histoire
du régime de Vichy et, derrière le côté
anecdotique de la question initiale, son ouvrage finit
par poser une vraie question de fond : celle du degré
d’autonomie du gouvernement du maréchal Pétain
face aux Allemands. Pour l’auteur, il aurait été manifestement
très faible, et ses membres auraient été des
marionnettes entre les mains d’Adolf Hitler. C’est peutêtre,
pour le coup, faire un peu trop bon marché des
responsabilités propres à Vichy dans la guerre civile
qui s’est déroulée en France sous le couvert de la
grande guerre, et le livre ne convainc finalement pas
plus dans sa réponse à cette question de fond qu’il n’y
est parvenu dans sa réponse à la question initiale

<ces lignes sont extraites de la critique de mon Qui a tué Georges Mandel? dans le Patriote résistant, début 2009; cf. ma réponse et mon échange de courrier avec l'organe de la FNDIRP http://www.delpla.org/article.php3?id_article=399 >

Dur, en effet, de se sentir idiot et nul plutôt ou en plus? que méchant! Toutefois je crois, avec vous, que l'astuce du criminel pervers n'excuse rien de la complicité passive et/ou active de ses "acolytes" vivant par "relative procuration" les satisfactions narcissiques du Pervers....


NB. Un point qui apparaît encore assez mal en 2009 et 2012, mais que je n'ai cessé d'approfondir ces derniers temps, et qui apparaît en pleine lumière dans la réédition du livre de 2004 sur la Libération, début avril prochain : la froide et constante résolution de Hitler de frapper à mort la puissance française lors de la guerre qu'il prépare sans relâche depuis 1933; et le support fantasmatique de cette détermination : l'idée que la France, comme tout ce qui s'oppose à l'essor de l'Allemagne, est juive.

En d'autres termes, on se gargarise à juste titre du concept de "judéo-bolchevisme" par lequel la folie hitlérienne assimilait Lénine et Staline à des descendants d'Abraham, mais on n'a pas fait un pas pour forger une expression caractérisant la haine symétrique de la France : "judéo-gallophobie" ?

On me dira que "judéo-bolchevisme" figure dans le vocabulaire nazi, lequel n'a rien inventé concernant la France. L'argument ne vaut rien, puisque Hitler excellait à cacher son jeu et à ne pas se fâcher avec tout le monde à la fois : pendant toutes les années trente (à quatre mois près : jusqu'au 23 août 39) il caresse les bourgeoisies de tous horizons en se posant en rempart contre le communisme, qu'il peut donc judaïser à l'envi, tandis qu'il dit sur tous les tons (y compris celui de la discrète menace !) qu'il n'a rien contre la France.
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Re: Le débat sur mon travail

Message par boisbouvier » Lundi 03 Mars 2014 11:42:32

Quelle soupe, Messeigneurs.
On ne trouve pas l'ombre d'une idée claire dans ce fatras indigeste. Hitler était-il fou oui ou non ? A cette question simple une réponse claire se fait d'emblée : non. Tout le reste relève du pédantisme et de la cuistrerie.
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Re: Le débat sur mon travail

Message par Francois Delpla » Lundi 03 Mars 2014 11:55:02

Francois Delpla a écrit :Enième retour au sujet après diversion coucouesque.




La enéunième ne passera pas !
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Re: Le débat sur mon travail

Message par Francois Delpla » Lundi 03 Mars 2014 20:31:55

soit tu entres dans la discussion, soit tu t'abstiens, mais tu n'as pas le droit de rejeter d'un trait de plume des messages longs et fouillés.

Quant à l'affirmation que Hitler n'était pas fou : étant donné que je définis sa folie par son antisémitisme, par sa façon tout à fait personnelle d'être antisémite, il te reste à démontrer qu'on est sain d'esprit si on pense que "le Juif" est à l'origine de tous les maux, que sa victoire mondiale, en 1919, est imminente et qu'elle signifie la fin, à brève échéance, de l'espèce humaine.
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Re: Le débat sur mon travail

Message par boisbouvier » Mardi 04 Mars 2014 08:49:07

Ton raisonnement est typiquement circulaire. La preuve qu'Hitler était fou ? Son antisémitisme forcené. L'antisémitisme est-il donc une preuve de folie ? Oui puisqu'il a fait Hitler, l'homme le plus fou de tous les hommes politiques ayant existé depuis longtemps.
Or, je l'ai déjà dit mais je le répète, la "folie" d'Hitler diffère de celle de Charles VI. Son délire, s'il a existé, fut d'interprétation mais pas un vrai délire sans appui sur la vie concrète. Dieu sait que je ne suis pas antisémite mais les antisémites avaient du grain à moudre entre les deux guerres. Les Bolcheviks étaient souvent Juifs comme Trotsky et Zinoviev et la moitié des officiers du NKVD l'étaient aussi. Le délire d'interprétation d'Hitler est tout à fait comparable à celui de Staline qui voyait des complots et des ennemis partout y compris chez les simples paysans. Comme ils ne devenaient pas suffisamment bolcheviks il les appelait des koulaks et comme les koulaks étaient antibolcheviks, déportations, famines et balles dans la nuque. Raisonnement circulaire,te dis-je.
Ne vaudrais-tu pas mieux que ces deux énergumènes ?
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Re: Le débat sur mon travail

Message par Francois Delpla » Mardi 04 Mars 2014 09:25:29

Francois Delpla a écrit : (...) on est sain d'esprit si on pense que "le Juif" est à l'origine de tous les maux, que sa victoire mondiale, en 1919, est imminente et qu'elle signifie la fin, à brève échéance, de l'espèce humaine.


oui ou non ?
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Re: Le débat sur mon travail

Message par boisbouvier » Mercredi 05 Mars 2014 07:36:16

A mal nommer les choses on ajoute au malheur du monde.
Charles VI était fou et Hitler ne l'était pas. Point final.
boisbouvier
 
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Re: Le débat sur mon travail

Message par Francois Delpla » Mercredi 05 Mars 2014 17:20:10

boisbouvier a écrit :A mal nommer les choses on ajoute au malheur du monde.
Charles VI était fou et Hitler ne l'était pas. Point final.


Tout internaute assez modeste pour s'abaisser à argumenter sera le bienvenu.
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Re: Le débat sur mon travail

Message par Francois Delpla » Jeudi 06 Mars 2014 13:33:43

Il en vint un, sur Mediapart http://blogs.mediapart.fr/blog/francois ... nt-4523172 !

Jean-Claude BIDAULT a écrit :
(...) tout ne peut se réduire à la "psychose" d'UN personnage, 30 ou 40 millions d'allemands ont suivi, la barbarie bien étayée sur l'émotion et la propagande sont aussi à analyser (ce jour pour Syrie,Irak,Lybie,Serbie,Ukraine,Afghanistan,Palestine...)N'ayant pas lu vos ouvrages (mais la référence plus haut http://derniereguerremondiale.net/DGM/DGMHS1.pdf est téléchargée) je dis peut-être des vérités que vous avez déjà énoncées?


En effet !

Venu à la recherche sur le Troisième Reich au début des années 90, j'ai participé au démantèlement de la vision dite fonctionnaliste qui prévalait alors depuis une trentaire d'années et avait abouti à gommer presque le rôle de Hitler. Mais c'est depuis 1920, soit depuis les premiers articles sur lui dans la presse de Munich, qu'on avait pris l'habitude de le sous-estimer. Témoin, entre mille autres, les errements symétriques de Staline et de Trotsky, le premier en faisant l'instrument des "trusts", le second prétendant qu'il n'avait d'idées que celles des foules petites-bourgeoises qu'il cherchait à séduire en se coulant dans leurs aspirations.

Il fallait donc rétablir le rôle de son intelligence manoeuvrière, ce que pour ma part je fis, notamment dans une biographie de 1999 (la seule française à ce jour, rééditée en poche en 2013). Je pensais alors à une sorte de cohabitation entre intelligence et délire raciste. L'idée d'une folie, déclenchée à l'automne 1918 et présidant à tout, s'est lentement imposée dans les années 2000. Elle coïncide exactement avec l'antisémitisme, du moins le sien, très personnel (une thèse que vous trouverez chez un Saül Friedländer à partir de 2006). C'est-à-dire que le Juif est l'ennemi menaçant du genre humain, politiquement et même biologiquement. Son triomphe, bien parti en 1918, signifierait la fin de l'espèce ! Cette conviction paranoïaque des plus sincères coexiste avec l'idée d'une mission confiée par la Providence à Adolf Hitler d'entraîner les humains à réagir au péril, qui se concrétise peu à peu en une ambition de commander politiquement et militairement un Reich revanchard (tout en léchant les bottes de l'Angleterre, pionnière en domination des "inférieurs"), par le biais d'un parti unique.

Ici se déploient des qualités d'organisateur et de chef, qui lui permettent de tout contrôler. Non pas à la manière d'un Superman omniscient (objection facile et hélas encore fréquente), mais à la faveur des processus inédits que lui-même déclenche à jet continu. C'est ce qui permet à sa folie d'être communicative. Elle ne requiert pas que les associés de son entreprise, à tous niveaux, soient fous, et exige même que les plus haut placés (Göring, Himmler et Goebbels) ne le soient pas.
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Re: Le débat sur mon travail

Message par boisbouvier » Jeudi 06 Mars 2014 17:39:02

La haine possède un coefficient de cohésion entre les hommes et une capacité à faire agir en commun des gens que tout sépare qui n'a pas souvent été vu ni décrit. L'antisémitisme est de ceux-là.Dans l'antiquité l'antichristianisme dût lui ressembler ou, à la Renaissance, l'anti-protestantisme ou l'inverse l'anti-papisme.
Heureusement, il y a Gustave Le Bon qui sauve l'honneur des intellectuels pris dans leur ensemble. Ceux-ci ont tendance à dire comme Saint Exupéry : donnez leur une maison à se partager, ils se tueront; donnez leur une tour à construire, ils s'aimeront. En fait ça me parait un brin naïf : les hommes sont de sales bêtes. Ils sont fort capables de s'aimer entre eux à proportion des haines qui les animent contre une tierce personne. Qui peut dire dans quelle mesure son antisémitisme imbécile a servi Hitler dans sa montée vers le pouvoir et ensuite ? La démocratie qui a inspiré à Tocqueville des réflexions très perspicaces lui a fait dire que les hommes deviendraient indifférents les uns aux autres à force de se replier sur eux-mêmes. Je crois qu'il a eu raison.
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Re: Le débat sur mon travail

Message par Francois Delpla » Dimanche 09 Mars 2014 12:44:49

Encore un post totalement hors sujet !

Notamment parce qu'il n'accorde pas la moindre attention, pour l'approuver ou démontrer qu'elle est fausse, à mon affirmation de base : la folie de Hitler, c'est son antisémitisme; autrement dit, il prend chez lui des formes très personnelles; le Juif est l'Ennemi qui le menace et dont il doit triompher pour vivre (et réciproquement). Chez quel autre antisémite trouve-t-on ce positionnement ?
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Re: Le débat sur mon travail

Message par BRH » Dimanche 09 Mars 2014 12:54:00

Drumont, peut-être ?
Tant que les Français constitueront une nation, ils se souviendront de mon nom !

Napoléon
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Re: Le débat sur mon travail

Message par Francois Delpla » Dimanche 09 Mars 2014 15:16:11

Drumont me semble pratiquer un antisémitisme de type politique et sociologique, assez proche en cela de celui de HS Chamberlain. Les Juifs sont censés miner doucement la France ou l'Occident. L'urgence d'une action radicale d'éradication, faute de laquelle ils vont très vite dominer l'espèce humaine et la tuer dans la foulée, est absente, tout comme la solution-miracle d'une croisade aryenne dirigée par une Allemagne que dirigerait elle-même un Führer.
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Re: Le débat sur mon travail

Message par boisbouvier » Lundi 10 Mars 2014 03:36:35

Hitler n'était pas seulement antisémite. Il semble bien qu'il voulait aussi faire mourir de faim les slaves afin de libérer de l'espace vital pour la race germanique. Finies les pénuries alimentaires grâce à cette éradication ! C'est en tout cas ce qui ressort de la lecture de Timothy Snyder qui s'appuie lui-même sur le Généralplan Ost de Konrad Meyer dont il existe quatre versions. Entre 31 et 45 millions de slaves étaient appelés à disparaitre, est-il écrit dans l'une de ces versions. Or, Staline lui-même a beaucoup tué de slaves en particulier ukrainiens, principalement par l'afamement. L'énormité de ces crimes doit-il nous faire croire qu'ils étaient l'un et l'autre fous ? Je ne le crois pas. Ils étaient cohérents à l'intérieur de leurs logiques particulières. D'ailleurs Mao a fait mieux qu'eux avec ses 31 millions de Chinois qui ont succombé aussi par la faim. La faim, c'est pire que la chambre à gaz car ça dure plus longtemps, dit Snyder.
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Re: Le débat sur mon travail

Message par Francois Delpla » Lundi 10 Mars 2014 04:30:21

boisbouvier a écrit :Hitler n'était pas seulement antisémite.


qui prétend cela ?

Il était contre beaucoup de choses et de gens, mais ne concevait qu'un ennemi mondial, sournois, auteur de tout ce qui n'allait pas dans l'humanité y compris les maladies, attaché à la perte d'Adolf Hitler comme à celle de l'Allemagne et nécessitant un effort constant de la race aryenne, dirigé par lui-même, pour empêcher un triomphe mondial en bonne voie à la fin de la PGM, qui ferait disparaître tous les hommes à brève échéance.

Le comble de la santé mentale !
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