PS.- L'uchronie de Sapir, Mahé & C°part, et je suis intrigué qu'il en soit si peu question pour l'instant dans le fil, d'un "point de divergence" fixé arbitrairement, comme le veut l'exercice, au 8 juin : de Gaulle et Mandel l'emportent dans l'entourage de Reynaud, Pétain est mis hors d'état de nuire, etc. Si on veut discuter, il faut le faire à partir de là et non, par exemple, des positions des armées le 16 ou le 22 juin.
Chef Chaudard a écrit :PS.- L'uchronie de Sapir, Mahé & C°part, et je suis intrigué qu'il en soit si peu question pour l'instant dans le fil, d'un "point de divergence" fixé arbitrairement, comme le veut l'exercice, au 8 juin : de Gaulle et Mandel l'emportent dans l'entourage de Reynaud, Pétain est mis hors d'état de nuire, etc. Si on veut discuter, il faut le faire à partir de là et non, par exemple, des positions des armées le 16 ou le 22 juin.
Le choix de ce point de divergence n'est pas non plus innocent: une première mouture de l'uchronie le situait plus tard (le 16 juin, Pétain est arrêté pour défaitisme par un Reynaud gonflé à bloc), hormis la possible invraissemblance du comportement du Président du Conseil, probablement trop velléitaire pour un tel comportement, mais qui n'est, après tout, qu'un prétexte pour ce point de divergence qui ne modifie pas le fond, la personne en charge des calculs de tonnages (M. Sapir?) s'est ensuite rendue compte après calculs que, dans ces conditions, il était quasi impossible de transporter 900 000 personnes en AFN dans le temps imparti, comme le jeu de guerre (qui avait déjà commencé) le voulait.
D'où le choix d'avancer le point de divergence.
BRH a écrit : il est délicat de faire varier le "turning point"
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