Malher a écrit :
oui, mais ici vous savez, c'est plutôt Napoléon qui nous intéresse. sans vouloir méconnaître la justece de de votre combat...
Napoléon ? eh bien parlons-en !
Mes persécuteurs à la petite semaine, tout comme moi, nous en avons débattu indirectement dans les fils sur la folie de Hitler où s'est aigrie, malgré tous mes baumes, notre dispute. Eux le napoléonisent, moi pas. En refusant mordicus de voir dans son antisémitisme et ses autres obsessions l'effet d'une maladie mentale, ils le traitent implicitement comme un successeur de l'Empereur, simplement soucieux d'agrandir ses terres en vainquant ses ennemis (et inversement), et croyant certes en son "étoile" mais rationnel avant tout.
Ils fuient comme la peste le Hitler né à Pasewalk, se croyant désigné par la Providence pour guider une contre-offensive contre un vainqueur métaphysiquement baptisé "Juiverie".
Cela les effraye et ils chassent l'empêcheur d'assimiler en rond.
Conclusion en ce qui nous concerne : ce fil, dans lequel j'ai le projet d'analyser ceux de PH sur la folie de Hitler au cours des semaines qui viennent pour achever de démontrer la bêtise de mon exclusion, pourrait s'orner utilement de contrepoints sur l'inspirateur dont il a prétendu capter le rayonnement dans la crypte des Invalides à la fin de juin 1940.