L'Énigme des Invalides

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Message Publié : 16 Sep 2004 10:58 
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Where is the emperor Napoleon’s heart ?
(I, 20, 46.) – Voici ce que j’extrais du Worcestershire Chronicle du 10 juin 1840 :

« On lira avec intérêt les détails qui suivent, aujourd’hui que le prochain enlèvement des restes de Napoléon Bonaparte de l’île de Sainte-Hélène excite une si vive attention. Ils font partie d’un « Memorendum du sergent Abraham Millington, concernant le décès du général Bonaparte », publié dans le journal de Ceylan (Ceylan Chronicle) qui le déclare authentique.

« Le dimanche 6 mai 1821, on vint me commander un cercueil de fer-blanc pour le général Napoléon Bonaparte. Le lundi 7, on m’ordonna de me rendre à Longwood-House pour souder le corps du général dans ledit cercueil, ce qui fut effectué de la sorte, en présence des généraux Bertrand et Montholon, Mme Bertrand, le chapelain et le chirurgien français, M.A Darling, Dr Rushop, du 20ème régiment, plusieurs domestiques français, et Samuel Ley, du 20ème régiment. Le corps du feu général Napoléon Bonaparte, en grand uniforme, fut déposé dans le cercueil, qui était doublé de soie blanche et de coton ; son chapeau à cornes fut mis en travers des cuisses, et sur le côté gauche de l’habit furent placées une étoile et une croix d’or, ainsi que d’autres médailles du même métal; plusieurs pièces de monnaies de dimensions et de valeurs diverses furent aussi mises dans le cercueil. Son cœur fut déposé dans une urne ou vase d’argent, rempli d’essences, auquel je soudai un couvercle du même métal, et qui fut placé entre les parties inférieures des jambes. L’estomac fut déposé dans une coupe d’argent avec des essences, laquelle fut aussi mise dans le cercueil. On y mit aussi un plat d’argent, avec couteau, fourchette et cuiller, et une timbale du même métal. Le couvercle du cercueil, doublé de soie et de ouate, fut placé ensuite et je le soudai… Puis, ce cercueil de fer-blanc, avec tout son contenu, fut renfermé dans un cercueil d’acajou, lequel fut placé à son tour dans un cercueil de plomb, et ces trois cercueils furent mis dans un quatrième en acajou. »

(Pedmore, Stourbridge.) H.S.G.

Tiré de la revue "l'intermediaire des chercheurs et des Curieux".


Dernière édition par Bruno Roy-Henry le 22 Mai 2007 14:08, édité 1 fois.

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Message Publié : 16 Sep 2004 11:59 
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Ce témoignage aurait figuré pour la 1ère fois dans la Military Gazette de 1838. C'est un détail que j'ignorais.

J'ai découvert ce témoignage, quand "François" me l'a adressé en août 2001. Certains détracteurs -pour le moins inattendus- me font un procès d'intention parce que je n'aurais pas publié ce témoignage dans la seconde édition de mon ouvrage...

Ils vont même plus loin, me soupçonnant d'avoir détourné plusieurs textes en vue de favoriser ma thèse au détriment de la vérité.

De quoi se mêlent-ils? Ont-ils jamais travaillé dans des salles d'archives, pendant des heures et des jours, dépouiilant le moindre document sur la piste que l'on espère suivre ? Ont-ils jamais écrit autres choses que des cartes postales ? Savent-ils le prix des peines pour réaliser un ouvrage historique ? Ont-ils conscience du temps qu'il faut passer sur de tels travaux ?

Chacun son métier: aux uns, la soudure; aux autres, l'écriture !

Ce n'est pas qu'un soudeur ne puisse pas écrire, ni qu'un écrivain ne puisse pas souder. Mais enfin, pour la soudure, j'aurais tendance à faire confiance au soudeur...

Le soudeur peut contester le travail de l'écrivain; mais il ne peut se prévaloir de son ignorance ou de sa maladresse ! Il doit donc produire des preuves de ce qu'il avance, sinon, c'est de la diffamation !

Enfin, il n'appartient pas au soudeur de déterminer quelles pièces un écrivain doit publier, fût-il -un bref instant- de ses proches ! L'auteur est entièrement maître de son oeuvre, même sur le plan historique !

Un auteur qui se risque à écrire un livre qu'il assure historique, se doit -autant que faire ce peut- de respecter la méthode historique.

En ce cas, on ne fait état d'un document que si l'on est certain de son authenticité. A défaut, et si on le rend quand même public, on note les réserves d'usage...

Or, ce témoignage "Millington", qu'en savions-nous ? Qu'il aurait été publié le 10 juin 1840, par le Worcestershire Chronicle. Encore, cet article ne reproduisant qu'un "memorandum" paru dans le Ceylan Chronicle !

Nous avons essayé de nous procurer l'article du 10 juin 1840. Il n'a pas été retrouvé. Quant au Ceylan Chronicle, nos recherches furent vaines également.

Cet article -en soi- est-il si négatif à l'encontre de la thèse de la substitution ?

On nous dit que le plombier Millington était sergent ! Fort bien. Il connaissait donc le poids des mots quand on évoque les tenues militaires:
"EN GRAND UNIFORME" ! Ceci n'est pas anodin: grande tenue ou grand-uniforme, quand on paraît ainsi, on arbore toutes ses décorations et les plus hautes.

Mais, il serait plus prudent de voir le texte en anglais.

De même; notre plombier aborde les décorations: "une étoile, une croix en or et D'AUTRES DECORATIONS du même métal" !

Donc, au total, au moins QUATRE DECORATIONS !

On voit donc, si on retient le grand uniforme et les quatre décorations, que le plombier Millington va plutôt dans notre sens !

Le reste du texte est-il déterminant ? Bah, évidemment, puisque l'on nous ressort le récit des quatre cercueils dont deux d'acajou ! L'acajou, hein, c'est pas du bois dans lequel on taille des pipeaux ! Mais enfin, c'est du même tonneau que Darroch, dont on n'a pas vu les originaux ! Alors, le moins que l'on puisse faire, c'est de demeurer prudent !

Quant aux objets indiqués par Millington... Ce sera la énième version ! Nous avons déjà celle de Marchand (que je donne comme prioritaire, sorry, les englishs), et puis celle de Darling, le patron de Millington ! Enfin, il ne faut pas oublier celle du Dr. Rutledge, qui assure, lui aussi, avoir soudé le récipient contenant le coeur... Comme Antommarchi !

Millington -lui- nous parle du Dr. Rushop ! Connais pas ce Rushop... Il paraît qu'il ne figure pas dans le Who's Who de Sainte-Hélène, paru en 1914 ! Mais on vérifiera... A moins que le soudeur s'en charge ? :4:

Donc, finalement pas de quoi battre le fer, car il n'est plus chaud depuis longtemps !

Mais, c'est bien connu; quand on veut noyer son chien, on dit qu'il a la rage...


Dernière édition par Bruno Roy-Henry le 22 Mai 2007 14:10, édité 3 fois.

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Message Publié : 07 Oct 2004 10:59 
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Albertuk
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Posté le: 05 Oct 2004 10:11 Sujet du message:

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Bonjour

A l'époque de notre première discussion sur Millington (il y a au moins un an) il n'était question que de la Military Gazette pour laquelle la British Library (département des publications - voir site web donné ici) ne dispose plus de l'année 1838. Or, depuis peu, nous parlons à présent d'un article antérieur dans le Ceylon Chronicle, et un autre ultérieur dans le Worcestershire Chronicle. Pouvez vous me rappeler les dates de ces deux articles? Je ferai une demande à la B.L. pour essayer d'en obtenir une copie.

A priori je considère l'article Millington comme authentique, car il mentionne bien le nom de Samuel Ley et ce nom est correct (et sans erreur d'orthographe) alors que l'article écorche ou émet d'autres noms. Seul Millington pouvait ne pas se tromper sur le nom de Samuel Ley qui avait travaillé avec lui de façon proche. Millington connaissait mal Longwood et pouvait se tromper sur les autres personnes. Car, le plombier qui avait souvent travaillé avec les Français (pour les bassins, la salle de bain de Napoléon, etc) était un certain Borman. Mais il faut croire qu'on avait alors fait appel à Millington en mai 1821, qui lui était armurier et était arrivé sur l'île quelques mois avant le décès de Napoléon. Bref, il ne connaissait pas grand monde à Longwood et il quitta ensuite Ste Hélène pour suivre le régiment en Inde.

Il y a cependant une contradiction: elle se trouve dans le témoignage Darling. Celui-ci parla du plombier Borman en 1821. Ceci était une erreu, à mon avis, de Darling. En 1821, il s'agissait bien de Millington. Darling se serait trompé (ou le transcripteur de ses notes aurait fait cette erreur sur le nom du plombier) car Darling était habitué à Borman, comme étant le plombier principal de Ste Hélène. De plus, Mme Borman était sur l'île en 1821 et confectionna l'intérieur du cercueil de fer blanc. Il faut croire que Borman avait été absent des funérailles, soit à cause d'une absence de l'île à ce moment, ou à cause d'une maladie le clouant au lit (probable) et qu'il fut remplacé par l'armurier Millington. Et seul Millington connaissait bien Samuel Ley, du même régiment, et ne pouvait se tromper sur son nom.



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Amicalement,
Albert - UK

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Bruno Roy-Henry
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Posté le: 05 Oct 2004 10:57 Sujet du message:

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Bonjour Albert,

En effet, nous en avions discuté. Et cela remonte à fin 2002, je pense.

L'article du Worcestershire Chronicle est donné pour être du 10 juin 1840.
Le Ceylon Chronicle y est mentionné à propos d'un "mémorendum" de Millington. Mais sans précisions de date...

Je ne saisis pas trop bien le lien entre la Miltary Gazette et le Ceylon Chronicle.

Mais, comme vous le savez, depuis l'automne 2001, je m'appuie exclusivement sur vous pour les sources anglaises.

Avez-vous pris connaissance de la récente publication du travail de Jacques Macé sur Sainte-Hélène (dictionnaire historique de Sainte-Hélène, Tallandier) ?

Dans quelle mesure n'est-ce pas une "ressucée" du Who's who de Chaplin ?

J'y lis que Samuel Ley, caporal au 20ème régiment est mis en faction devant le corps de Napoléon après l'autopsie et assiste également à la mise en bière.

Que Boorman, plombier et tapissier de Jamestown, se voit confier par Darling la pose des tentures à Longwood House pour les funérailles de Napoléon et le garnissage intérieur du cercueil en fer-blanc.

Sur Millington, Macé confirme qu'il est armurier (donc, pas plombier) et qu'il procède à la soudure des deux cercueils métalliques, indiquant que la Military Gazette en 1838 a publié son récit de l'opération.

Je suppose qu'il a tiré ce renseignement de Chaplin... Confirmez-vous ?

______________________________________________________________________________________

Koning Hendrik
Etudiant (e)



Inscrit le: 30 Sep 2004
Messages: 15

Posté le: 05 Oct 2004 14:37 Sujet du message:

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Albertuk a écrit:
Pouvez vous me rappeler les dates de ces deux articles?

Voici le texte du témoignage connu actuellement :

Il y est effectivement question du Worcestershire Chronicle du 10 juin 1840 et du Ceylon Chronicle. Aucune mention par contre de la Military Gazette.
Pour la recherche dans le Ceylon Chronicle, il faudra sans doute dépouiller les 109 numéros conservés à la British Library, à moins que le Worcestershire Chronicle ne fournisse une référence plus précise.



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L'hasard sorti du tombeau


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 Sujet du message : Excuses*...
Message Publié : 07 Oct 2004 11:30 
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J'ai voulu fusionner deux sujets ! Mais ce n'est pas possible ! On peut diviser un sujet, mais pas le fusionner avec un autre, sauf à procéder comme je l'ai fait...

Cela dit, la discussion sur Millington va pouvoir continuer.

Darling nous apprend qu'il disposait de Samuel Ley et de Millington pour souder les cercueils.

Et Saint-Denis nous révèle dans ses manuscrits inédits que c'est "le même qui l'a soudé en 1821".

Jacques Jourquin s'interroge: "Boorman, Millington et Ley" ?

En relisant le témoignage de Darling, tel qu'il est cité par Macé, on s'aperçoit que le menuisier anglais parle deux fois du cercueil en bois (pour désigner le cercueil intermédiaire entre le plomb et le fer blanc)!

En attendant de disposer du texte anglais de Millington, on se posera la question: le 20ème régiment était-il toujours à Ceylan, en 1838 ?

Serait-il revenu à Sainte-Hélène en 1840 ? Il y avait déjà le 91ème en garnison. Je doute donc que Millington ait été présent en 1840.

Mais si ce n'est pas lui que décrit Saint-Denis en 1840, de qui s'agit-il ?

Est-ce bien la fonction d'un armurier de souder un cercueil ?

Beaucoup de questions, donc, auxquelles il convient de répondre.


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 Sujet du message :
Message Publié : 07 Oct 2004 22:35 
A part Ali, quel témoin dit également que le soudeur était le même en 1821 et en 1840?

Ou bien est-il le seul à mentionner ce fait?


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Message Publié : 12 Oct 2004 17:38 
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Il semble bien qu'il soit le seul ! Mais il ne parle pas de Millington.

Il a très bien pu évoquer Darling ! Il serait étonnant que Saint-Denis se soit souvenu de Millington, sauf s'il était là en 1840.

Mais le 20ème Régiment était alors en Irlande. Auparavant, il était en garnison à Ceylan.

Millington n'avait rien à faire à Sainte-Hélène en 1840.

J'ajoute que certains m'ont accusé d'avoir écarté sciemment le "témoignage" Millington...

Mais, j'en ai fait autant avec "les souvenirs de Noverraz" qui étaient très favorables à la substitution.

Seulement, son authenticité étant très douteuse, il ne m'a pas paru possible d'en faire état.


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 Sujet du message :
Message Publié : 12 Oct 2004 23:41 
Merci pour votre réponse, Monsieur Roy-Henry! :2:

Si je me souviens bien de ce que j'ai lu, Millington n'était d'ailleurs pas plombier mais armurier. :neutral:

Vous avez très bien fait de ne pas prendre son témoignage s'il n'est pas fiable. On ne peut pas vous le reprocher, surtout si vous en avez écarté d'autres pour la même raison, alors que ceux-là vous étaient favorables!


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 Sujet du message : Témoignage douteux !
Message Publié : 03 Fév 2005 11:19 
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Le Worcestershire chronicle a bien été retrouvé.

Mais pas le Ceylon Chronicle de l'année 1837, où Millington est censé s'être exprimé.

Une recherche approfondie doit être menée sur place pour éclaircir cette anomalie.

Il se confirme que la Military Gazette de 1838 n'est pas conservée à la British Library et que l'article de Millington censé avoir paru dans le Ceylon Chronicle, ne figure pas dans les numéros publiés en 1838.


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 Sujet du message :
Message Publié : 01 Mars 2005 23:55 
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Ceci est désormais avéré: pas d'article Millington dans le Ceylon Chronicle !

Certains -s'ils acceptent de balayer les écailles de leurs yeux- pourront me faire crédit d'une certaine lucidité. Ils sont même autorisés à me présenter leurs excuses. Pour ceux qui sont capables de reconnaître leurs erreurs... :salut:

Ps: je précise que je me suis rendu sur place à l'annexe de la British Library pour les "newspapers", en compagnie de Luc Meaux et de son épouse, le 26 février.

Nous avons dépouillé par le menu tous les n° du Ceylon Chronicle pour 1837 et fait de même pour ceux de 1838, travail déjà accompli pour l'année 1838 par Albertuk (qui n'avait pas eu le temps de le faire pour l'année 1837).

Nous avons également visionné les n° de la Military Gazette of India pour les années 1837 et 1839. Ceux de 1838 -pour une raison inconnue- n'ont jamais été déposées à la BL et n'ont donc jamais pu y être répertoriés. C'est ce qui résutlte en tout cas des explications qui nous ont été données sur place !


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Message Publié : 11 Mai 2006 8:54 
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Conclusion provisoire concernant cette affaire:

http://www.empereurperdu.com/forum/phpB ... php?t=3251

Le manuscrit original de "Milington" aurait été retrouvé.

Sa dernière phrase a été modifiée par rapport à la publication faite par "the Naval and Military Gazette" de 1838, où il figure.

La publication antérieure dans le Ceylon Chronicle a été découpée, selon toute probabilité. Afin de cacher le bricolage concernant la dernière phrase, qui -selon la version officielle- donnait bien quatre cercueils dans le bon ordre de 1840, tel qu'il résultait de l'exhumation.

Mais l'original ne parle que de trois cercueils, ce qui ne pouvait que produire un effet fâcheux !

Ceci étant, son authenticité n'est pas encore établie d'une manière absolue. Même si le document est d'époque. Il se peut qu'un américain ait simplement retranscrit la version du Ceylon Chronicle...


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