ClaudeM a écrit :
Guillard était médecin. Je n'ai pas son rapport sous les yeux, mais il me semble que
ses observations devaient être avant tout médicales. Pourquoi aurait-il mentionné
des éperons, qui n'étaient, de plus, pas visibles?
A ce stade de "l'histoire", il n'était plus question de poser un diagnostic, mais bien plutôt de constater tout ou partie de ce que l'ouverture du cercueil laissait apparaître.
A force de spéculer sur ce qu'il "vous semble", vous finissez par chercher midi à quatorze heures...
Concernant l'expression "botté et éperonné", Bruno a parfaitement raison de parler de "figure de style", les deux mots se rencontrant très fréquemment pour définir une personne habituée à monter à cheval.
Cette association de mots se retrouvent notamment dans certaines oeuvres de Balzac, Dumas, Gauthier et Hugo.
Il ne faut donc pas s'attarder sur l'expression reprise par Coquereau, ainsi que le souligne Bruno avec son habituelle perspicacité.