Ce texte est en fait un poisson d'avril de Jacques Macé qui a voulu ridiculiser la thèse empoisonniste...
A partir de documents et de témoignages connus, il a extrapolé, comme -le prétend-t-il- Ben Weider et René Maury.
Jacques Macé a écrit :
En effet, depuis les derniers travaux menés par le docteur Pascal Kintz, président de l'Association internationale des Toxicologues de Médecine légale, il serait de mauvaise foi de prétendre que l'organisme de Napoléon n'a pas été intoxiqué à Sainte-Hélène par de l'arsenic minéral qu'il a ingéré ou inhalé, qui a contaminé ses tissus (et qu'on retrouve dans ses cheveux). Cette intoxication a certainement joué un rôle notable sinon majeur dans la dégradation de son état de santé. Mais, tant dans les archives britanniques que dans les documents émanant des compagnons de la captivité, rien ne permettait jusqu'à ce jour d'établir l'origine criminelle de cette intoxication. Les partisans d'un empoisonnement en cherchaient l'exécuteur parmi les personnalités en vue, anglaises ou parfois françaises, ayant eu un rôle dans l'histoire de la Captivité. C'est la faiblesse de toutes leurs thèses car il est impensable que l'une de ses personnalités ait eu la possibilité et ait pris le risque de se livrer à une telle opération criminelle. Il fallait chercher ailleurs et la confession de Liang Dazhao devrait mettre un point final à l'affaire, en prouvant que les Anglais, intéressés à ce que la captivité ne soit point trop longue, ne pouvaient agir que par des moyens détournés, que seule une incroyable chance nous a permis de découvrir