Je reprends votre réponse, Eugène de l'autre forum:
Eugène a écrit :
Citation:
J'espère au moins, messieurs les négationnistes, que vous saurez reconnaître mon sens de l'auto-dérision...
On ne nie rien on ne croit as à votre version.... Le égationniste nie ce qui existe , exemple une chambre à gaz.... Or il n'y a rien qui prouve que le poison a été administré à l'Empereur:1) intentionnellement, 2) dans le but de le tuer.
Le terme "négationnisme" vise autant ceux qui nient l'empoisonnement que ceux qui ont la même attitude concernant la substitution (ce sont souvent les mêmes, d'ailleurs)!
Par exemple, la négation de la réfection du caveau ou celle de la présence de deux madriers sous le cercueil en 1821.
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Citation:
Mais comme le dit CC, s'il y a eu crime, il y a forcément assassin.
Peut être n'y a t il pas eu crime vous sautez vite aux conclusions mais c'est habituel chez les vôtres...
Qui peut croire que la mort-aux-rats n'a pas été administrée intentionnellement à Napoléon ? Les quantités relevées sont trop importantes pour ne traduire qu'une quelconque médicamentation. La thèse nouvelle du "Chinois" n'est pas sérieuse...
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Rejeter les thèses de Maury, soit. Il y a chez lui à boire et à manger.
Mais cela ne vous permet pas pour autant de nier des évidences démontrées de manière scientifique.
La science a démontré la prèsece de mort aux rats, c'est vous qui en tirez la déduction que Napoléon a été assassiné par Montholon, vous pourriez en tirer que Hudson Lowe l'a empoisoné, Que la mort aux rats étaient tombés accidetellement dans sa nourriture, qu'elle état dans l'air ambiant...
Non, la fable de la mort-aux-rats tombant du plafond ne tient pas ! Qu'elle émane de l'air ambiant est tout aussi farfelu, comme les émanations de la baignoire en cuivre...
La diffusion de mort-aux-rats, via les poumons, n'auraient pas permis ces pics de concentration. Rappelons-le, l'imprégnation n'est jamais constante: elle se présente avec des pics énormes et retombe ensuite presque à la normale !
Pour le reste, on peut encore hésiter entre Montholon et Lowe. Mais Montholon a écrit: "j'ai fermé les yeux du grand capitaine" sur le PV constatant le décès de Napoléon, là où les autres n'ont apposé qu'une simple signature et alors que l'on sait que ce geste a été accompli par Antomarchi...
Un mensonge aussi éclatant et aussi officiel est tout de même dérangeant. René Maury y voit un aveu. Moi aussi, comme François de Candé-Montholon !