L'Énigme des Invalides

Pour ma part, l'analogie de Monsieur Drouet me fait penser à un certain vaccin à propos duquel l'opinion dominante sur ce forum n'arrive pas à la même conclusion que lui. Je ne sais pas si c'est ou non délibéré de sa part.

Lui seul pourrait vous le dire
Pour ma part je ne suis pas un "antivax" acharné et complotiste... s'agissant du Covid j'ai eu droit à 4 doses !

Plus haut, j’ai évoqué le « Two portraits of Napoleon on the deck of the Northumberland » pour expliquer comment les « Five heads » d’Ibbetson ont pu être dans un premier temps faussement attribuées à Cruikshank.
A noter qu’Ibbetson ne fut pas le seul à avoir été inspiré par un Napoléon s’appuyant nonchalamment contre un canon sur le pont du Northumberland, il y eut aussi le lieutenant Andrew Motz Skene :


On y voit un officier qui semble être Bertrand ; avec des favoris bien plus visibles que sur la caricature du même réalisée par Ibbetson et postée plus haut…

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"Tant que les Français constitueront une Nation, ils se souviendront de mon nom."

Napoléon.

L'un comme l'autre était des artistes amateurs. Ibbetson a cependant ici l'excuse, du point de vue des ressemblances pour le moins médiocres de ces portraits croqués sur le Northumberland, d'oeuvrer dans le cadre d'une approche caricaturale.

Ces favoris présents ou absents chez Gourgaud et Bertrand selon l’humeur d’Ibbetson ne semblent pas éveiller beaucoup d’intérêt…
Etrange au regard des nombreuses hypothèses formulées immédiatement au débotté quand, ayant appris qu’Ibbetson avait bien légendé lui-même son Gourgaud, il avait fallu vainement expliquer comment notre artiste avait forcément commis son erreur d’annotation…

Pour détendre l’atmosphère, voici la gravure anglaise intitulée « Bonapartes Farewel to France » et publiée par J. Pitt, le 17 août 1815 :


Et « wonderfull ! », on y voit un « Gorgau » (sic) à la pilosité jugale fort peu impressionnante :


Mais qu’on se rassure, il ne s’agit là que d’une caricature où il serait bien malaisé de reconnaître qui que ce soit. Même en lumière rasante...

Moi ce qui me frappe dans ces portraits respectifs de Bertrand et Gourgaud, c'est la présence de mèches de cheveux rabattus en avant du visage... une habitude sans doute chez Ibbetson

J'avoue avoir décroché assez rapidement de ce fil de discussions... Lorsque vous dites qu'Ibbetson "avait forcément commis son erreur d'annotation", faut-il comprendre qu'il a légendé à tort Gourgaud ? Gourgaud ne serait pas en réalité Gourgaud mais en fait quelqu'un d'autre, et pourquoi pas Cipriani ?

Je faisais ici référence aux diverses hypothèses invérifiables lancées dans ce fil par Bruno Roy-Henry, pour qui le Gourgaud d'Ibbetson ne peut être Gourgaud (et pour cause...), quoi qu'en dise Ibbetson lui même.

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"Tant que les Français constitueront une Nation, ils se souviendront de mon nom."

Napoléon.

Allons, allons, Bruno Roy-Henry... dans la phrase que vous citez, il n'y avait nulle ironie de ma part.
Poster cette estampe, non dénuée cependant d'intérêt, avait avant tout pour objet de tenter de relancer le sujet (curieusement...) laissé de côté ("passons..." dites-vous) : celui des favoris non dessinés par Ibbetson chez Bertrand, comme chez Gourgaud.