L'hypothèse avancée par Frédéric Staps est intéressante

:

il conviendrait donc de nuancer le propos de Patrick le Carvèse selon lequel le taux de mortalité serait moins élevé sur les pontons : il s'expliquerait par le fait que le gouvernement britannique n'aurait pas mis nécessairement en place une politique délibérée de génocide... on pourrait au contraire considérer que les conditions de dureté de la détention sur ces pontons était bien réelle, simplement les prisonniers qui y séjournaient étaient en "meilleure forme physique" que les blessés et mourants qui eux étaient dirigés en priorité vers des hôpitaux terrestres
