Bruno Roy-Henry a écrit :
ça se lit en moins d'une demi-heure...

Effectivement, j'y ai consacré peu de temps
La lecture des deux articles de J-C Damamme n'a fait que renforcer ma conviction sur la sinistre réputation des pontons Anglais (il évoque également les Espagnols, Cadix et l'ile de Cabréra, laquelle on le sait fut le tombeau de nombreux soldats Français prisonniers suite à la défaite de Baylen)
La polémique avec Sophie Muffat me parait très accessoire, portant sur des points de détails (la double définition du terme "ponton", Bonnefoux à ne pas confondre avec un autre Bonnefoux....) Au passage, je me suis demandé si cet officier de marine Bonnefoux (je n'ai pas effectué de recherches) avait un quelconque lien de parenté avec le préfet maritime Bonnefoux à Rochefort, lorsque l'Empereur s'y trouva en 1815
En fin d'article, J-C Damamme revient sur l'empoisonnement de Napoléon, que s'ingénierait également à dissimuler Thierry Lentz et la Fondation Napoléon... mais ceci est un autre débat
Je crois qu'on peut déplorer un point, certes subsidiaire : le fait que J-C Damamme, évoquant Mme Muffat, utilise des guillemets pour rappeler qu'elle est "historienne de la Marine" : celle-ci a immanquablement des liens professionnels avec la Fondation, mais si elle dispose des titres universitaires requis, pourquoi laisser à penser qu'elle ne serait pas véritablement ce dont elle se prévaut ?
in fine, il est donc question des "crimes de l'Angleterre que planque la Fondation" : on connait l'animosité ouvertement déclarée qui existe entre le Carré Impérial et la Fondation Napoléon, néanmoins quel serait l'intérêt pour la Fondation de "planquer" les dits crimes ? on comprends que sous la plume de J-C Dammame se dissimulent d'autres crimes britanniques que les pontons....
