Chose promise, chose due.
Et puisque vous semblez être le seul à être interpellé par ma réflexion, cher Malher, je vais vous en dire un peu plus...
J'évoquerai ici un personnage intéressant de l'Histoire, même s'il s'avère être peu connu ; il s'agit d'un dénommé
M.F. Olivier, qui avait eu le privilège d'otenir avec le vénérable cardinal, plusieurs longs entretiens ...
Les déclarations les plus importantes, faites lors de ces entrevues, furent consignées dans une lettre écrite de Rome, au chevalier de Beauterne, lettre publiée très peu de temps après ces visites, et du vivant de l'illustre prélat ...
Dans l'une de ces déclarations, se trouve relatée la visite d'un messager de Pitt, un Corse répondant au nom de Marseria, porteur d'une exigence de l'Angleterre, exigence assortie d'une condition selon laquelle, en cas d'acceptation par Napoléon alors Premier Consul, la perfide Albion s'engagerait à signer une paix définitive ...
