L'Énigme des Invalides

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Message Publié : 07 Nov 2005 16:45 
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Le fait d'armes de deux frégates en 1794 aux Mascareignes:

"En effet, le 13 octobre 1794, Renaud avait repéré pendant une de ses croisières deux vaisseaux britanniques de 50 canons faisant route vers les deux îles pour les bloquer. La menace était très grave, car elle signifiait la fin du ravitaillement des îles et des raids corsaires. La lutte s’annonçait disproportionnée entre deux vaisseaux de 50 canons armés de canons de 24 et de 18 livres contre les canons de 8 livres de la Cybèle et de 12 livres de La Prudente des commandants Tréhouart et Renaud. Malartic, le gouverneur des îles décida pourtant d’attaquer. Le corsaire « La Rosalie » et le brick « Le Coureur » furent chargés d’apporter à Renaud l’appui de leurs petits canons de 8 livres et des 400 marins disponibles dans la garnison, ainsi que 150 hommes du régiment d’artillerie de l’île de France.

Le 19 octobre 1794, les quatre navires portant tous les espoirs de la colonie appareillèrent pour attaquer l’Anglais au large. Après trois jours de recherche les deux navires britanniques, commandés par Sir Samuel Osborne, émergèrent lentement de la brume en milieu de matinée. La division française les prit aussitôt en chasse sous un petit vent d’Est qui ridait à peine la mer. La Prudente du capitaine Renaud s’approcha le plus possible du premier navire britannique « le Centurion ». Le second vaisseau britannique « le Diomède » qui traînait à l’arrière ne participa pas à la première heure de combat. Mettant tous ses espoirs dans leur cadence de tir, les canonniers de la Prudente tirèrent à démâter pour immobiliser le Centurion dont la puissance de feu était au moins deux fois supérieure à la leur. Au bout d’une heure de combat, le Centurion, la voilure et les mâts fortement endommagés, commençait à manœuvrer difficilement, mais la Prudente avait également beaucoup souffert et comptait déjà 14 morts et 25 blessés. Malgré ses avaries, elle parvint pourtant à se dégager de la mortelle étreinte du Centurion.

La Diomède n’étant toujours pas à portée de tir, la Cybèle et le Coureur du commandant Garraud se portèrent au secours de la Prudente et attaquèrent le Centurion. Pendant que la Prudente pansait ses plaies, la Cybèle encaissait durement les bordées ennemies. Par contre, le Coureur, brick léger, profita de sa petite taille et de sa vitesse pour s’approcher du Centurion et lui décocha quelques bordées à bout portant. Cependant, le vent tomba totalement et la malheureuse Cybèle se retrouva immobilisée sous les coups du vaisseau anglais. Malgré les voiles en morceaux, les mâts qui commençaient à s’effondrer et les pertes sévères, 30 morts et 55 blessés, la frégate française parvint à maintenir son feu sur l’ennemi. La Prudente, vaguement réparée, revint au combat pour la soutenir. Elle était également engagée par le Diomède qui venait tardivement porter main forte au Centurion. Les Anglais avaient hésité à s’engager totalement et avaient fait preuve d’un manque d’agressivité peu commun dans la Navy.

La situation était en train de devenir difficile pour les Français lorsque, contre toute attente, Le Centurion démâta. Les bordées adroites des frégates françaises avaient fait leur œuvre. Enfin, le Coureur parvint à placer un coup heureux dans le gouvernail du Centurion, ce qui le mit hors de combat. Alors que les français s’attendaient à poursuivre la bataille contre le Diomède, Osborne rompit le combat.

La Cybèle et la Prudente étaient dans un état pitoyable, mais le Centurion et le Diomède n’étaient pas mieux lotis. Les deux navires britanniques rentrèrent piteusement à leur base sous gréement de fortune. Les choses devaient mal se terminer pour le commandant anglais Sir Samuel Osborne qui, jugé responsable de la défaite, fut pendu.

Avec leurs petites frégates et leur brick, Renaud, Tréhouart et Garraud avaient héroïquement sauvé les Mascareignes.

Ce combat, pourtant peu connu, est une des rares victoires navales de la république. Les conséquences n’allaient pas être négligeables, puisque ces deux îles servirent de base arrière dans les expéditions lancées contre le commerce anglais dans l’Océan Indien. Surcouf qui participa à ce combat, son premier, à bord de la Cybèle allait appareiller pour ses campagnes de course à partir de ces îles."

http://echo.levillage.org/313/6078.cbb



Dernière édition par Bruno Roy-Henry le 07 Avr 2006 16:23, édité 1 fois.

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Message Publié : 15 Nov 2005 17:00 
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C'est un beau fait d'armes, en effet !

Notons que les capitaines français manoeuvrèrent à l'ancienne, c'est à dire en tirant à démâter...

Mais pourquoi cette tactique réussit-elle dans ce cas-là, alors qu'elle nous fut si funeste sous l'empire ?

Parce que les capitaines avaient été formés sous l'Ancien Régime et qu'ils MANOEUVRAIENT...

C'est à dire EVOLUAIENT autour des vaisseaux ennemis, tout en lâchant leurs bordées ! De ce fait, la manoeuvrabilité de l'Anglais était censée diminuer... Alors, on essayait de placer la botte maîtresse: positionner le navire français de travers à la poupe de l'ennemi qui était le point le plus vulnérable: pouvait s'ensuivre un coup heureux dans le gouvernail de l'adversaire, ce qui rendait sa manoeuvre aléatoire et permettait de rééditer ce coup de maître...

Et c'est ce qui se passa pour le Centurion. Notons que la Royal Navy n'était pas tendre pour ses vaincus: la pendaison, rien de moins !


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Message Publié : 15 Nov 2006 20:40 
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La Cybèle n'était pas à Aboukir.

Decrès commandait la division des 4 frégates: La Diane, La Sérieuse, La Justice et L'Artémise.

La Sérieuse et l'Artémise seront perdues.

La Cybèle est toujours donnée dans l'Océan Indien en 1798 (après son brillant combat de 1794). Mais elle quitta les Mascareignes en avril 1798 pour rejoindre Lorient courant juin afin d'y être réparée...


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Message Publié : 15 Nov 2006 23:05 
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Charles:

"Promu contre-amiral le 12 avril 1798, il prit, le 22, en hissant sa marque sur "la Diane", le commandement de l'escadre légère, composée de frégates et de corvettes bonnes marcheuses, qui devait éclairer la marche de l'Armée navale d'Orient, placée sous les ordres de l'amiral Brueys. >>

http://www.napoleon.org/fr/salle_lectur ... decres.asp

Cher Bruno, est-il permis de penser que parmi "les frégates et corvettes bonnes marcheuses " composant l'escadre légère dont DECRES avait le commandement, il pouvait y avoir LA CYBELE ? "

Je suis formel ! La Cybèle n'était pas à Aboukir. Sans en avoir encore les preuves, je pense pouvoir affirmer qu'elle était encore en radoub à Lorient en août 1798.

Il n'est pas impossible qu'elle ait pu gagner la Méditerranée ultérieurement...


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Message Publié : 16 Nov 2006 0:32 
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Charles:

"Hypothèse :
Est-ce que par hasard, lors des réparations faites à Lorient en 1797/1798, suite aux dommages subis dans l'Océan Indien, on n'aurait pas modifié la Cybèle et de frégate de 40 canons n'en aurait-on pas fait un navire de moindre importance, qui ne sera guère plus cité dans l'histoire navale et qui sera ensuite désarmé en 1800 à Rochefort ? "

Non, cette hypothèse est exclue. On ne transforme pas une frégate en brick ! Ni même en corvette...

La Cybèle fera encore de nombreuses campagnes sous le Consulat et l'Empire. Elle sera présente au combat des Sables d'Olonne en février 1809, sous le commandement de Jurien de la Gravière.

Trop endommagée pour être remise à flots, après son échouage, elle sera démolie.


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Message Publié : 16 Nov 2006 20:04 
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Cher Bruno !

Voici la preuve que je vous laisse le soin de qualifier d'irréfutable ou non :
LE 22 SEPTEMBRE 1797 LA CYBELE ETAIT EN MER MEDITERRANEE !

--------------------------------------------------------------------------------

Au quartier-général à Passeriano, le 1er. vendémiaire an 6 (22 septembre 1797).

Au contre-amiral Brueys.

J'ai reçu, citoyen, vos différentes lettres; j'ai examiné avec attention les observations que vous me faites: je vais vous tracer la conduite que vous avez à tenir, qui conciliera à la fois les intentions du ministre de la marine, qui vous appelle à Toulon, et les intérêts de la république dans les mers où vous vous trouverez.

Les bâtimens vénitiens que vous devez conduire en France sont à Corfou; il me parait qu'il faut quinze jours pour y arriver, et un mois de station dans ce port pour pouvoir lever des matelots et vous mettre à même de conduire en France les vaisseaux vénitiens.

Je crois donc nécessaire que vous envoyiez sur-le-champ l'ordre à l'officier de marine qui commande le sixième vaisseau vénitien à Corfou, de faire toute la diligence nécessaire pour lever des marins, afin que, lorsque vous y serez arrivé, votre séjour soit le moins long possible.

Vous partirez avec votre escadre, dès l'instant que le temps vous le permettra, pour vous rendre à Corfou.

Vous passerez par Raguse; vous ferez connaître à cette république l'intérêt que prend à elle le directoire exécutif de la république française, et la volonté qu'il a de la protéger contre quelque ennemi que ce fût qui voudrait se l'approprier, et de garantir son indépendance.

Vous prendrez des renseignemens sur la situation actuelle des bouches du Cattaro, et, s'il est vrai que les Autrichiens s'en soient emparés, vous déclarerez à l'officier qui y commande, qu'il n'a pas pu les occuper sans violer un des articles préliminaires de paix qui existent entre S. M. I. et la république française; vous le sommerez dès-lors d'évacuer sur-le-champ les bouches du Cattaro, le menaçant, s'il s'y refusait, de vous emparer de toutes les iles de la Dalmatie, et d'agir hostilement contre les troupes de S. M. I.

S'il s'y refuse et que vous trouviez le moyen de vous emparer des bàtimens qui servent au transport de leurs vivres, ainsi que de quelques-uns de leurs convois, vous le ferez, ayant soin de ne pas y toucher et de mener tous les bâtimens autrichiens en séquestre à Corfou. Vous préviendrez dans ce cas le commandant autrichien que vous tiendrez en séquestre les-dits bâtimens jusqu'à ce qu'il ait évacué un territoire qu'il n'a pas dû occuper.

Vous pourrez demander à Raguse un rafraîchissement en vivres pour votre équipage, moyennant cependant quelques procédés.

Arrivé à Corfou, vous en partirez avec les six vaisseaux vénitiens dès l'instant qu'ils seront montés par un assez grand nombre de matelots albanais.

En partant de Venise, vous embarquerez sur votre bord la troisième légion cisalpine sans qu'elle se doute de l'endroit où vous la conduirez; vous vous concerterez à cet effet avec le général Baraguey d'Hilliers: vous devez également faire courir le bruit que vous embarquez un bien plus grand nombre de troupes, et qu'il s'est embarqué à Ancône, sous l'escorte de vos frégates, plusieurs bataillons de troupes.

Vous aurez soin également de continuer à laisser entrevoir que vos opérations vont se combiner avec celles de l'armée d'Italie.

Vous vous concerterez à Venise avec l'ordonnateur de la marine et le citoyen Forfait, pour embarquer à votre bord les caisses de tableaux et d'objets d'art destinés pour Paris.

Vous laisserez dans la rade de Venise ou dans celle de Goro, ou même dans le port d'Ancône, les frégates la Junon et la Diane, et les bricks l'Alceste et le Jason, qui seront sous les ordres du chef de division Perrée.

Vous laisserez à Corfou les frégates l'Arthémise et la Sibylle, et les bricks le Mondovi et la Cybèle, qui seront également sous les ordres du chef de division Perrée, et qui devront se tenir à Corfou prêts à partir immédiatement après l'ordre qu'ils en recevront, pour concerter leurs opérations avec celles de la Junon et de la Diane.

Je fais connaître au directoire exécutif, par un courrier extraordinaire, le présent ordre, et je lui demande son autorisation pour pouvoir garder toute votre escadre dans l'Adriatique, afin de concerter vos opérations avec celles de l'armée d'Italie. Je vous ferai passer la réponse du gouvernement par un aviso, qui nécessairement vous trouvera encore à Corfou.

Je vous envoie:

1º. Une lettre pour le général Gentili, par laquelle j'approuve toutes les mesures qu'il a prises pour nourrir votre escadre à Corfou, où je prescris que le reçu des sommes qu'il a déboursées sera accepté en paiement dans la caisse du payeur de Corfou, approuvant également l'emploi des treize cents sacs de farine que vous avez pris.

2º. L'ordre pour que l'administration de terre de l'armée d'Italie fournisse à l'escadre, partout où elle pourrait se trouver, les vivres journaliers comme aux troupes de terre, et, d'après les envois qui ont été faits en subsistances à Corfou, à Ancône, à Constantinople et à Messine, vous ne devez avoir aucune inquiétude sur la subsistance de votre escadre pendant tout le temps qu'elle demeurera dans ces parages.

3°. Je vous autorise à prendre dans les magasins de Corfou tout ce que vous croirez nécessaire à l'approvisionnement de nos arsenaux et au ravitaillement de notre marine;

4°. À embarquer à Corfou cent pièces de canon de fonte, en conséquence cependant d'un procès-verbal dressé chez le général Gentili par un conseil composé de vous, du général Gentili, du commandant du génie, du chef de l'état-major, des commissaires des guerres: ce procès-verbal devra constater: 1°. la quantité de pièces nécessaires pour la défense de la citadelle et celle de la rade de Corfou; 2°. la quantité hors de service; 3°. la quantité existante: et ce ne sera que dans le cas où ledit conseil ne trouverait aucun inconvénient à vous délivrer les cent pièces, que le présent ordre sera exécuté.

5°. Je vous envoie également un ordre pour que le général Sugny vous remette à Venise les ustensiles pour chauffer à boulets rouges six pièces de canon, et dont le général Gentili se servirait à Corfou, si jamais les circonstances l'exigeaient.

6°. Un ordre pour que le général Gentili mette à votre disposition quatre cents hommes cisalpins pour servir de garnison aux vaisseaux vénitiens.

7°. Vous garderez et menerez avec vous à Toulon les officiers vénitiens qui désirent servir dans la marine française, jusqu'à ce que le ministre vous ait envoyé des ordres.

8°. Quant aux objets trouvés à bord des vaisseaux vénitiens et appartenant aux capitaines, vous en ferez des reçus qui seront valables pour leur liquidation par le gouvernement de Venise.

9°. Je vous envoie un ordre pour que le général Gentili vous remette 50,000 fr. pour la solde des marins vénitiens destinés à l'armement des vaisseaux vénitiens.

10°. L'ordre pour qu'on vous fournisse les blés, riz et vins pour deux mois, pour deux mille hommes; la nourriture journalière pour votre escadre vous sera fournie à Corfou.

11°. Je vous enverrai la solde des marins de votre escadre pour un mois, dès l'instant que la caisse de l'armée le permettra, et que la solde de fructidor sera payée à l'armée.

12°. Quant aux dépenses qu'auraient faites les équipages à Corfou, vous aurez soin de les liquider, de vérifier toutes les pièces et de les envoyer au commissaire ordonnateur de la marine à Venise, qui y pourvoira.

13°. Je vous fais passer une ordonnance de 10,000 fr., que le citoyen Haller vous fera payer: cette somme est destinée à vos frais extraordinaires et qui vous sont particuliers.

14°. Une ordonnance de 30,000 fr., que le citoyen Haller mettra à votre disposition entre les mains de votre payeur, pour les dépenses extraordinaires de votre escadre, pour servir à compenser aux matelots l'incomplet des fournitures que vous pourriez ne pas recevoir des magasins de Corfou.

BONAPARTE.


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Message Publié : 16 Nov 2006 20:09 
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La Cybèle ne pouvait être à la fois dans l'océan Indien et en Méditerranée; mais il s'avère après une lecture trop rapide de ses mouvements quej'ai confondu d'une année...

La confusion aurait pu venir de ce que La Cybele aurait été -selon moi- un brick vénitien.

Un brick ne porte que deux mâts: on ne peut confondre une frégate et un brick. Une telle supposition concernant Bonaparte paraît difficile à admettre !

Les bricks français recevaient tous des noms masculins.

Cela dit, vu la liste des navires vénitiens capturés par les Français, je m'incline. La Cybèle était bien à Corfou en septembre 1797 ! :2:


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Message Publié : 17 Nov 2006 1:28 
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Cher Bruno,

Merci d'avoir authentifié cette découverte de toute votre autorité !

Et comment ne pas nous incliner ensemble devant la vérité quand elle est CYBELE et annonce le futur naufrage de la version officielle de la mort de Louis XVII au Temple le 8 juin 1795 !

:20: :ange: :2:

_________________
Le document de Trieste, composé en 1795, est-il la preuve documentaire de la survie de Louis XVII hors du Temple et le parchemin sur la capture d'un enfant en Mer Adriatique, le 24 mars 1799, en est-il la confirmation ?
http://groups.msn.com/forumLouisXVII


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Message Publié : 18 Nov 2006 14:57 
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Inscription : 14 Déc 2002 16:30
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Par contre, je maintiens que la Cybèle n'était pas à Aboukir, contrairement à ce que vous soutenez en dépit de tout bon sens... :diablotin: :12:


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