Avec son implicite permission...
72 ans après ils semblent encore d'actualité et la lecture de ces propos de Driault rassurera et éclairera ceux qui n'ont pas compris le 8 mai 2005.
Du moins je l'espère.
Citation de Charles Maurras sur Napoléon :
Citation :p.38 « Ses victoires ont eu cette fécondité de gloire qu’il est misérable de négliger. »
p.143 " L’homme dont le nom fait une auréole à la France. "
Driault :
Citation :« Napoléon c’est la Révolution, (…) son Code c’est le Code de la Révolution ; c’est la Déclaration des droits de l’Homme appliquée à la vie des français de la naissance jusqu’à la mort et à l’héritage. (…) Oserons nous dire que la révolution est chrétienne, puisqu’elle est égalitaire ?Nous oserons même ajouter que cette égalité de tous les Français était le principe d’une émulation féconde(…), la possibilité, la promesse de la fortune, par l’effort et par le mérite. Un idéal dont nous sommes loin sans doute mais une mystique qui vaut bien celle de l’ancien régime : justice d’une part, injustice d’autre part… »
« M. charles Maurras a tort, (…) , d’appeler Napoléon un aventurier, Napoléon est comme Louis XIV dans la tradition nationale, sa force est dans le fait qu’il a continué , avec un génie extraordinaire, (…) l’œuvre de nos rois. »
« L’égalité ? Mais c’est la politique fondamentale de la royauté depuis le jour où Louis X le Hutin libérait les serfs du Domaine Royal, (…) avec Henri IV qui voulait « la poule au pot » de chaque paysan tous les dimanches….L’égalité , la guerre aux privilèges c’est toute la politique de cinq siècles de monarchie(…). »
« Recherchons comme M. Maurras nous y invite, les traditions générales de
notre pays, et non celles de nos familles particulière Bourbons ou Bonaparte. » « Car la France n’est pas au plus bas ; la France faites par les Rois n’a pas été défaites par les Empereurs et par les Républiques.(…) Et s’il faut demain lutter encore la liberté du travail contre les nouveaux servages, s’il faut lutter encore pour organiser l’Europe dans le régime des libertés nationales, c’est encore à un Napoléon qu’on ira demander des leçons,- à quelqu’un comme lui, relève Maurras dans les propos de la rue(p.75) . »
« « Tout ce qui est national est nôtre « dit M. Charles Maurras. Comme j’aimerai chercher ave celui ,(…), comme Napoléon est national, et donc combien il est nôtre, à lui et à nous ! »
« Car nous sommes ensemble « de ces Français là qui souffrent dans leur cœur quand on leur dit trop de mal de Napoléon et de Louis XIV »(p.40).