L'Énigme des Invalides

Si j'ai bien compris votre phrase, vous voulez dire que Napoléon n'a jamais voulu envahir l'Angleterre ?

Amicalement

défendre le passage peut-être.
Le leurre est une autre possibilité.

Imaginez l'armée cantonnée à Boulogne débarquer sur les rives anglaises, dévaster les campagnes et les villes.Le peuple anglais se serait inéluctablement rallié à l'armée anglaise augmentant ainsi les forces à combattre.
L'armée française se serait retrouvée à court terme sans approvisionnement et sans munition, acculée sur les plages sans aucunes possibilités de retourner sur le continent, ou encore amenée à une rédition.
...mauvaise stratégie.

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L'art d'être tantôt très audacieux et tantôt très prudent est l'art de réussir. N.

"combien d'heures aurait duré le débarquement ?"

48 heures semblaient nécessaires aux spécialistes. Napoléon parle parfois de 6, 8, 12 heures.

"combien d'heures fallait'il a la flotte Anglaise pour remonter dans la manche ? "

Il y avait déjà des navires anglais dans la Manche.

Combien svp ?

Amicalement

M FA8 vous avez été plus rapide que moi .
M Drouet ,vous ne répondez pas ,combien d'heures pour le retour de
Nelson dans la manche ?
sachant que la flotte aurait du tirer de nombreux bords a cause des vents contraires ...

Tiens, voilà un débat qui concerne mon inédit sur Boulogne et la Flottille...

Combien de temps pour débarquer ? Pour les bateaux présents, le temps d'une marée. Quant à la traversée, elle aurait dépendu du temps. Disons de 30 à 40 heures...

Les chaloupes-canonnières, les bateaux-canonniers, les péniches étaient censés s'approcher de la côte le plus près possible à marée haute pour ensuite s'échouer à marée basse et débarquer hommes, canons et munitions. Voire chevaux.

Le débarquement n'était pas un problème en soi. Il fallait simplement traverser la muraille de bois anglaise, constituée de 30 à 40 voiles, allant du vaisseau de 50 à la goëlette, en passant par la frégate.

En sacrifiant une centaine de bateaux et 10 000 hommes, le succès était assuré.

Mais les amiraux ont fini par faire peur à Napoléon: ils l'ont convaincu que la protection d'une escadre française (de 10 à 15 vaisseaux), réduirait les pertes et augmenterait les chances de succès...