je partage l'essentiel de vos analyses, CC
Citer :
Non, les paroles envers Marie-Louise n'étaient que politiques. Il s'agissait de sa légende, de l'avenir de son fils, des chances de l'Empire à renaître. Mais pas d'amour
effectivement, les paroles prononcées à Ste Hélène surtout étaient bien dans cette tonalité; aurait-il pu dire autre chose d'ailleurs ?
il ne s'agissait
plus d'amour..
les rapports homme/femme ne seront jamais simples

mais on parle de rapports entre adultes, capables en théorie de dépasser les difficultés et les échecs de la vie; ce n'était pas le cas de l'Aiglon, arraché (entre autres) à l'affection d'un père (ça ferait un beau sujet de lancement de JT aujourd'hui, tiens !) : le vrai drame est là; il n'avait rien demandé, lui et il espérait sans doute autre chose que cette horrible vie qui fut la sienne : "crucifié" à Vienne, chargé des "prétendus" péchés de son père..