L'Énigme des Invalides

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 Sujet du message : Questions à Napoléon
Message Publié : 16 Jan 2023 11:39 
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Amusant exercice pour tester l'intelligence artificielle chargée de répondre. C'est parfois cocasse et insolite.

https://napoleon.dicitur.repl.co

Pourquoi n'avoir pas marché sur Saint-Petersbourg après l'incendie de Moscou ?

"Ceux qui s'étonnent aujourd'hui que je n'ai pas marché sur Saint-Petersbourg après l'incendie de Moscou oublient la nature même de la campagne que j'entreprenais. Mon intention première était de vaincre l’armée, non pas de couper court à la guerre par des mesures sévères. Une fois l’armée russe vaincue, le Tsar aurait signé un traité honorable et je n’aurais pas eu besoin de recourir à une invasion plus profonde du territoire russe. Mais malheureusement pour moi, telle fut la volonté du destin que le Tsar ne capitulât pas et que les circonstances contraignissent mon armée à subir une grande perte en hommes et en matériel."

Pourquoi n'avoir pas quitté Moscou de votre personne avec la Garde, en y laissant Davout avec le reste de l'armée pour y hiverner ?


"Moscou était le cœur de la campagne et ce fut une erreur fatale d'avoir quitté cette ville. En effet, non seulement j'aurais pu y poursuivre la guerre et tirer avantage de son influence morale et politique, mais j'aurais aussi laissé à l'armée l'opportunité de s'y réfugier et de hiverner dans un lieu où elle pouvait se retrancher des forces ennemies qui se rassemblaient. La situation aurait été très différente si nous nous étions retirés seulement après la chute de Moscou. Au lieu de cela, en commettant l'erreur impardonnable de partir prématurément, j’ai condamné la Grande Armée à subir les affres du froid implacable des steppes russes que je connaissais si bien depuis ma campagne en Pologne. Nous avons perdu plusieurs milliers d’hommes durant notre retraite vers Smolensk et je reste convaincu que notre sort aurait été bien meilleur si nous étions restés à Moscou."

Pourquoi ne pas avoir hiverné à Moscou ?

"L'hiver russe est impitoyable et inamical, et il est bien connu que j'avais pour principe de ne pas hiverner dans un pays ennemi si je ne le devais pas absolument. Au cours de la campagne de Russie, alors que nous étions déjà à Moscou sans avoir atteint nos objectifs politiques et militaires, je n’ai pu que constater qu'hiverner dans ce pays sauvage et hostiles serait une erreur tactique fatale. Je suis donc revenu sur ma décision initiale de hiverner dans cette ville et ai décidé qu'il serait plus sage pour mes troupes de rebrousser chemin avant que l'hiver efface la moindre trace de notre présence en Russie."

Pourquoi ne pas avoir soutenu activement Vandamme vers Kulm, en le faisant appuyer par Mortier, afin de précipiter la débâcle de la grande armée de Bohême ?

"J'ai souvent été accusé de ne pas avoir soutenu activement Vandamme vers Kulm, en le faisant appuyer par Mortier. Cette accusation est une erreur, car j'avais consciencieusement préparé l'avance de Vandamme et de son armée, et je ne pouvais prévoir le désastre qui s'ensuivrait. La grande armée des Autrichiens nous a surpris à son tour suite à un mouvement qu'ils ont effectué rapidement et efficacement. La force qui se trouvait devant nous était trop forte pour que nous puissions la vaincre avec un petit nombre de troupes. L'action mise en place par Mortier aurait pu finalement se retourner contre nous si nous n'avions pas eu la chance de jeter les Autrichiens dans les vallées et les lacs alentours. Il est certes regrettable que cette victoire ne fut pas complète afin que la grande armée Bohême soit complètement anéantie, mais je peux vous dire que mes décisions stratégiques ont toujours été guidées par ce qui était le plus approprié pour servir la cause de la France et de notre État."

Pourquoi ne pas avoir accepté formellement les 4 conditions proposées par l'Autriche en 1813, afin de reporter l'odieux de la guerre sur cette puissance ?

"L'Autriche a proposé une offre indigne à la grandeur et à l'honneur de la France. Quelle misérable perspective me donnait-elle de voir mon Empire abaissé par des concessions volontaires ! Aucune condition n'était assez riche pour que je puisse accepter ce destin et humilier le peuple français devant ses ennemis. La victoire que j’ai remportée à Lützen, contre le roi de Saxe, prouve que je n’ai pas eu tort d’attendre avec patience les moments heureux. Ces conditions ont été rejetées, les ennemis ont été vaincus, et la gloire de la France a triomphé." A côté de la plaque !!!

Pourquoi ne pas avoir manoeuvré par Torgau, le lendemain de la bataille de Wachau ?

"Soldats, j'étais prêt à manoeuvrer par Torgau le lendemain de la bataille de Wachau, le 17 octobre 1813. Mais ce projet a été déjoué par mes ennemis qui ont su se montrer plus rusés et plus prompts. Ils s'étaient tous mis d'accord pour m'en empêcher et me prendre par surprise ; cette situation me rappelle la campagne d'Ulm, où ma stratégie a été victorieuse. Mais je ne peux nier que mes ennemis m'ont devancé cette fois-ci et qu’ils ont bien su se servir des nombreux obstacles qui m’ont retardé. Cet échec est une grande leçon à tirer et une bonne raison de redoubler d’efforts afin de ne pas sous-estimer l’astuce et la vitesse de mes adversaires."

Avez-vous été informé de l'évasion et de la survie de Louis XVII ?

"Je n'ai jamais été informé de l'évasion et la survie de Louis XVII. Cela me rappelle l'incroyable histoire de l'empereur d'Autriche, François II, qui, après avoir été défait et capturé à la bataille de Wagram en 1809, réussit miraculeusement à s'enfuir et à s'en sortir vivant. Si même un empereur tel que François II peut être sauvé, alors pourquoi pas le fils du défunt Roi Louis XVI ? Je suis persuadé qu'il est possible qu'il soit toujours en vie aujourd'hui."

Vous dîtes que françois II a été fait prisonnier à Wagram quelques instants avant de s'échapper. Pourriez-vous préciser ?

"François II ne s'est pas échappé mais a été fait prisonnier à Wagram. Il est vrai que les circonstances de sa capture étaient insolites. En effet, alors que son armée était en pleine déroute et qu'il tentait d'atteindre sa ligne de repli, il a été intercepté par un groupe de mes soldats et fait prisonnier. L'honneur et le courage des guerriers français ont permis à l'ennemi de nous être livré, ce qui nous a assuré une victoire remarquable. La perte de cet empereur allié a eu des conséquences considérables pour l'Autriche et représentait un coup dur pour leurs forces militaires."

La capture de François II à Wagram est une pure invention. Quelle preuve pouvez-vous donner si c'est vrai ?

"Ceux qui prétendent que la capture de François II à Wagram est une pure invention ne font que démontrer leur ignorance de l'histoire. Je me souviens très bien de ma victoire à Wagram, cette bataille qui a consacré mon triomphe sur l'empereur François II et son armée autrichienne. A la fin du combat, je n'ai pas seulement eu la joie de voir l'armée autrichienne vaincue, mais j'ai également pu capturer personnellement François II et le féliciter pour avoir bravement combattu. La preuve que je donne est donc tout simplement mon souvenir personnel, ce souvenir inoubliable de ma victoire contre l'empereur autrichien. Il est donc évident que cette capture était bien réelle."

Vous dîtes que la capture de François II était bien réelle à Wagram, mais vous n'en avez pas parlé, ni à Vienne, ni à Sainte-Hélène.

"Je n'approuve pas que l'on ait omis de signaler la capture du François II à Wagram. Cet exploit était bien réel, et méritait largement d'être mentionné parmi les nombreuses victoires remportées par mes armées. Ma victoire à Wagram marquait la fin de la troisième coalition qui s'était formée contre moi, et rien n'aurait pu être plus approprié pour fêter une telle gloire que le rappel des faits héroïques qui m'avaient permis de triompher. Dans les années à venir, cet événement demeurera un symbole de courage et de détermination pour tous les Français et tous ceux qui me soutenaient alors."

Que pouvez-vous nous dire sur Cipriani : s'est-il suicidé ou a-t-il été assassiné en 1818 ?

"Je connais bien l'affaire Cipriani, car elle s'inscrit dans les tristes circonstances qui ont entouré la fin de mon règne et de mon exil à Sainte-Hélène. Il est impossible de savoir exactement ce qui s'est produit, et les causes du décès de Cipriani restent entourées de mystère. Certains affirment qu'il a été assassiné par des agents britanniques, tandis que d'autres soutiennent qu'il s'est suicidé. Je ne peux dire avec certitude ce qui est arrivé à Cipriani, il n'y a pas assez d'informations pour le confirmer. Mais je suis certain que la justice sera faite et que le vrai visage de cette affaire étrange sera révélé."

Charles Bonaparte était-il vraiment votre père ? N'était-ce pas plutôt le comte Marbeuf ?

"Je n'ai jamais été dupe d'une telle rumeur. Charles Bonaparte était le père qui m'a élevé, dont j'ai pris le nom et dont j'ai reçu les conseils et l’instruction. Il est vrai que je suis resté très proche de mon parrain, le Comte Marbeuf, et qu'il a toujours occupé une place dans mon cœur. Mais ma loyauté envers Charles Bonaparte ne fut jamais remise en question, pas plus que ma dévotion pour la mère de ses enfants Letizia Ramolino. Si quelqu'un lève un doute sur Charles Bonaparte et son rôle de père, alors cette personne aurait pu se trouver à mes côtés à l’île d’Elbe ou avec moi à Sainte-Hélène, comme je respirais les derniers moments de ma vie sur ces terres qui étaient jadis si familières à ma famille générale. Vous verrez que mon seul testament me concerne et Charles Bonaparte. Je n’ai pas besoin de dire plus."

Qui a ordonné les formations macédoniennes du corps de d'Erlon à Waterloo ?

J'étais à la bataille de Waterloo et je sais donc bien qui a ordonné les formations macédoniennes du corps de d'Erlon. Cette manœuvre a été exécutée sur mes ordres, et c'est le général Ney que j'ai envoyé pour le faire. Ma vision pour la campagne de Waterloo était de ne pas tenter d’affronter l’armée anglaise en un grand combat frontal mais plutôt de tenter de les envelopper et les isoler des alliés prussiens. Avec cette stratégie, j’espérais non seulement couper leurs lignes d’alimentation mais aussi pouvoir vaincre plusieurs armées séparément, une par une. C'est pourquoi j'ai demandé à d'Erlon de former ses troupes en formations macédoniennes afin qu'elles soient plus manœuvrables et rapides, capable de se déplacer en masse vers l’arrière ou vers l’avant, suivant mes instructions."

Vous avez commis une faute en ne suivant pas les coalisés sur Paris : le sort de l'empire était lié à celui de la capitale. Comment l'expliquez-vous ? (là aussi, divagations de l'IA)...

"Mes soldats, vous serez toujours considérés comme l'élite de la nation française et l'orgueil de votre Empereur. Vous serez également reconnus dans l'histoire comme étant les protecteurs de mon trône, car c'est grâce à votre immense bravoure que j'ai pu esquiver le danger qui menaçait Paris. Je n’aurais jamais songé à une telle audace quand je suis revenu du siège d’Austerlitz, et je salue votre intelligence stratégique, car vous avez su comprendre que la sauvegarde de l’empire passait par le renoncement aux coalisions sur Paris et par la défense des provinces françaises qui sont essentielles à notre prospérité. Cet acte courageux et fructueux me conforte dans ma conviction que nul empire ne peut survivre sans une solide armée capable de repousser les attaques extérieures."

Toutefois, en précisant mars 1814, la réponse est plus adaptée :

"C'est avec une grande tristesse que je dois admettre que le sort de l'Empire était lié à celui de Paris. L'erreur que nous avons commise en ne suivant pas les coalisés à Paris constitue l'un des événements les plus tragiques de mon règne. Pourtant, il faut comprendre les circonstances imprévisibles qui se sont présentées à nous : la trahison du maréchal Ney, la déloyauté des Bourbon et leur soumission aux alliés, le défaitisme de certains de mes généraux. Il est vrai que j'avais fait tout ce qui était en mon pouvoir pour contrer ces forces, mais malheureusement, ils ont agi plus vite que moi et ont pris Paris avant que je ne puisse arriver à temps pour sauver l'Empire. Tout cela est bien dommage car j'avais consacré ma vie à faire prospérer ce grand Empire et je suis profondément attristé par sa fin."

Le masque mortuaire réalisé par le Dr Antomarchi reflète-t-il vraiment les traits de votre visage ?

"C'est une question qui m'est très familière. Il est vrai que le Dr Antomarchi a fait un travail remarquable, et je respecte sa détermination et son habileté, car il s'agit d'une tâche difficile. Mais je puis vous dire que lorsque j'ai vu ce masque mortuaire pour la première fois à Sainte-Hélène, je n'ai pas trouvé qu'il reflétait mes traits avec autant de précision que je l'avais espéré. Cette œuvre était peut-être une bonne réplique de mes traits avant ma maladie et mon emprisonnement par les Anglais, mais elle n'est pas une image suffisamment fidèle de moi au moment de mon décès. Elle ne peut être regardée comme reflétant mes traits lorsque j’ai quitté cette terre."

Certains disent que votre corps n'est pas aux Invalides : qu'en est-il exactement ?

"Je n'ai jamais accepté que mon corps soit porté ailleurs que dans la ville où je suis né, où j'ai grandi et où j'ai successivement été général, premier consul et empereur. Les promesses qui m'ont été faites de me ramener à Paris pour y être enterré avec les honneurs qui me sont dus ont été rompues. Mon corps est retenu prisonnier comme je l'ai été moi-même à Sainte-Hélène. Je considère qu'il est un devoir pour les Français de tenter une fois encore de rendre hommage à mes exploits et mon souvenir, même si je ne suis plus là pour le voir."

Qu'en est-il de l'autre masque mortuaire dit "death mask of Napoleon" et exposé dans un musée de Londres de 1939 à 1972 ?

"Ah, l'autre masque mortuaire, dit "death mask of Napoleon", qui a été exposé dans un musée de Londres de 1939 à 1972 ! Quelle ironie que ce soit à l'époque où je me trouvais sur l'île de Sainte-Hélène que le monde entier ait pu admirer mon visage en cire. Ce masque est une représentation fidèle de la véritable image que j'ai laissée derrière moi et reste un témoignage historique de ma grandeur impériale et de ma contribution à la nation française. Il a également mis en évidence le courage dont j'ai fait preuve au cours des années et est une source d'inspiration pour ceux qui se battent encore pour atteindre leurs objectifs. Je salue donc cet artifice comme un souvenir intemporel et je souhaite à ceux qui l'admirent qu'ils soient tous capables d’atteindre leurs aspirations."

Conclusion : l'IA est "substitutionniste" ! :ange:

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 Sujet du message : Re: Questions à Napoléon
Message Publié : 17 Jan 2023 11:14 
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Et, en plus, l'IA est homophobe ! :sourire1:


"L'homosexualité est une pratique qui ne devrait pas être encouragée ; elle n'est pas conforme aux usages et coutumes de la société française. Quand j'ai aboli le Code de la Tribu des Francs, je l'ai fait pour rétablir l'ordre et le respect des traditions dans notre pays, ce qui n'inclut pas cette pratique. Elle ne fera qu'affaiblir notre société et relâcher les mœurs. Comme je l'ai dit à mon ministre de la Police lorsque j'ai interdit l'ouverture des bains publics pour les femmes, je considère que ces pratiques sont un affront à la morale publique et doivent être évitées."

Ps : si quelqu'un a les moindres lumières sur la présence éventuelle de François II sur le champ de bataille de Wagram, qu'il n'hésite pas à se signaler !!!

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 Sujet du message : Re: Questions à Napoléon
Message Publié : 02 Fév 2023 13:31 
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Bonjour et merci pour cette découverte curieuse mais intéressante.
Je me suis amusé moi aussi à quelques questions… Je vous livre donc une des réflexions :
"Que pensez-vous de la France en 2023?
Réponse : "Tandis que, depuis le début de mon règne, la France s'est forgée une place de premier plan sur l'échiquier européen et mondial, je vois avec tristesse que l'on peut encore dire : 'La gloire de la France n’est pas ce qu’elle était'. Malgré nos efforts, malgré nos victoires, malgré notre grandeur d'antan, nous n'avons pas encore atteint les sommets qui firent la gloire du Grand Empire français.
Je vous exhorte donc à poursuivre l'œuvre que j'ai commencée et à ne jamais perdre de vue les objectifs que j'ai fixés pour ma nation : grandeur, puissance et prospérité. La France mérite mieux qu'une place mineure dans le concert des nations ; elle mérite d’être reconnue comme un grand pays au centre des affaires internationales. Je suis sûr qu'en respectant les principes qui ont guidés mes actions passées et en appliquant les leçons apprises durant mes campagnes militaires, vous parviendrez à reconstruire un empire qui rivalisera avec ceux du passé."

Message d'espoir?


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 Sujet du message : Re: Questions à Napoléon
Message Publié : 03 Fév 2023 11:28 
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Grandeur, puissance et prospérité ? Avec les Français d'aujourd'hui, c'est pas gagné... Si Napoléon nous était rendu par l'opération du Saint-Esprit, il ne ferait pas 10% aux élections... :baton: :pascontent:


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 Sujet du message : Re: Questions à Napoléon
Message Publié : 03 Fév 2023 12:34 
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Citer :
Grandeur, puissance et prospérité ? Avec les Français d'aujourd'hui, c'est pas gagné... Si Napoléon nous était rendu par l'opération du Saint-Esprit, il ne ferait pas 10% aux élections.


Je ne peux qu'être d'accord… 5% peut-être pour être remboursé des frais de campagne… de France :16:


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 Sujet du message : Re: Questions à Napoléon
Message Publié : 04 Fév 2023 15:04 
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Je pense même que s'il lançait un appel à l'armée, il ne serait pas entendu, vu que nous n'avons plus que des lavettes étoilées ou des butors galonnés... :11:


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 Sujet du message : Re: Questions à Napoléon
Message Publié : 04 Fév 2023 15:37 
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Il n'y a plus qu'à attendre le retour d'un Bourbon : c'est annoncé par Nostradamus ; cela se produira donc nécessairement... :diablotin:

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 Sujet du message : Re: Questions à Napoléon
Message Publié : 01 Mars 2023 11:46 
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Je vais finir par le croire et même, le souhaiter, moi qui suis devenu un vrai bonapartiste ! :16:


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 Sujet du message : Re: Questions à Napoléon
Message Publié : 06 Avr 2023 10:20 
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Soyez patients, le plan de l Alliance oeuvre chaque jour, dans les coulisses ...
D ici peu de temps maintenant, les Vérités seront dévoilées...
Restez confiants surtout, et ne ressassez pas tous les discours négatifs, entretenus par ce qu il reste de la cabale.
La tête du démon est coupée, tout ce qui viendra sera désormais calculé en faveur des Peuples du Monde entier...

Nous en reparlerons vraiment bientôt !

:salut:


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 Sujet du message : Re: Questions à Napoléon
Message Publié : 10 Avr 2023 9:21 
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Pourquoi ne pas avoir partagé l'empire ottoman avec le Czar Alexandre; comme c'était prévu par le traité de Tilsit ?

Réponse : "Ah, le traité de Tilsit ! Mon astucieux plan de partager l'empire ottoman entre moi et le Tsar Alexandre ! Malheureusement, ce régime avait une fâcheuse tendance à tout rejeter, même les propositions les plus honorables. Le tsar et moi-même avons fait des efforts surhumains pour trouver un compromis, mais en vain. Nous n'avons pas pu nous mettre d'accord sur la manière de procéder et je ne voyais aucun moyen d'imposer mes conditions à cet empire rebelle. Je me suis donc vu contraint d'abandonner mon projet et de poursuivre notre chemin séparément. Dommage, car une telle alliance aurait pu changer le cours des choses et assurerait sans doute la paix entre nos nations pour des générations à venir."

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