Jean a écrit :
BRH a écrit :
Merci Jean (et LM ?): je précise; le cercueil en fer blanc était étanche. Et le cadavre n'était pas sec quand il a été mis en bière, effectivement. Et il n'aurait pas dû sécher... mais se transformer en adipocire par saponification !!!
Quelles sont vos sources ?
excusez-moi, Jean; mais votre propos n'est plus scientifique, mais historique... Il n'est pas question de retomber dans une polémique sur le "silence des sources"! je pensais que vous l'aviez compris. Vous pouvez vous procurer mon livre si vous souhaitez en débattre. Après l'avoir lu et noté mes sources, nous réouvrirons les rubriques alimentées jadis par Thomas Duke...
En conséquence, je présuppose que vous êtes d'accord pour continuer. Dans le cas contraire, ce sera votre dernier message sur la question, avant d'avoir évacué celle que je viens d'évoquer ci-dessus.
Citer :
BRH a écrit :
Mais l'extérieur est en fer blanc aussi. Et le plomb étant étanche, il faut considérer cette zone de confinement comme isolée de l'extérieur. "l'atmosphère" emprisonnée aura donc suffi pour entretenir une réaction d'oxydation pour aboutir à ce que le fer blanc soit "rouge de rouille" ?
En effet, mais êtes-vous sûr qu'après tant de temps d'emprisoonnement le cercueil ne soit pas "bouffé" aux joints ?
Qu'appelez-vous "rouge de rouille" ? A quel niveau ?
le cercueil -à s'en tenir aux témoignages- était bien étanche. "Rouge de rouille", c'est l'expression de Saint-Denis. Cela veut dire -en bon français- que toute la surface était oxydée par la rouille: le couvercle et les côtés...
je ne peux rien dire sur le bas!
Citer :
BRH a écrit :
Ce cas de figure n'est pas à retenir. L'enveloppe en plomb était parfaitement étanche!
Permettez-moi de vous demander une nouvelle fois vos sources.
Comment a-t-on testé l'étanchéité du fer blanc ou du plomb, à cette époque ? Je serais curieux de le savoir !
Faux problème: cf.supra
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BRH a écrit :
Cette option est à écarter.
Exact, mais à vérifier : qualité des joints et de quel matériau étaient-ils formés N
Idem.
Citer :
BRH a écrit :
Bon... C'est noté. Mais la différence d'oxydation entre les vis en fer dans l'acajou (très peu) et le fer blanc (beaucoup), apparaît surprenante!
J'ai déjà tenté de donner une réponse à ce sujet.
Nous l'avons bien noté.
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BRH a écrit :
Près de 20 ans !!!
Vous avez mal lu mon intervention, Monsieur Roy-Henry ! Par laquelle je ne vous demande pas combien de temps le cadavre est resté dans son cercueil, mais la date du décès et de la mise en boîte, avec précision s'il vous plaît. Connaissez-vous les conditions météorologiques au moment de l'incarcération et de l'inhumation ?
Décès: 5 mai 1821 à 17 h 49
mise en bière: 7 mai 1821 à 19 h.
Météo: le 5 mai: beau temps avec quelques nuages. légère brise. A s'en tenir aux témoignages, ces conditions se sont maintenues jusqu'au 9 mai 1821, jour des obsèques.
Citer :
Tout phénomène s'explique par la science, c'est évident. Tout dépend de la qualité des renseignements fournis.
Je ne vous mets pas en cause personnellement Monsieur Roy-Henry, mais le fait de n'avoir qu'un a priori sur les conditions auxquels les réponses sont vagues est un frein majeur.
En effet. pour éviter de perdre du temps et des redites, je vous invite à lire mon livre.
Citer :
Avez-vous des photographies ? Qu'est-il advenu de toutes ces boîtes, peut-on les voir actuellement ?
Si vous n'êtes pas en mesure de donner plus de détails dans l'énoncé du problème, les réponses resteront vagues, je ne pourrai vous aider davantage.
LM
Si nous pouvions voir ces boîtes, nous n'aurions plus besoin de réfléhir à ce cas théorique: nous n'aurions plus qu'à ouvrir la dernière...