Philippe Delorme a écrit :
Vous ne risquez pas de devenir déplaisant, vous l'êtes.
Cher Monsieur Delorme, je ne trouve pas vraiment votre intervention plaisante. Pourquoi n'essayez-vous pas de modérer les deux parties plutôt que de vous en prendre à votre tour à un intervenant qui avait vivement été pris à partie et qui, à plusieurs reprises, avait essayé en vain de ramener le débat à des termes plus mesurés ?
Philippe Delorme a écrit :
Quant à vos "arguments", je ne vois pas ce qu'ils apportent à l'affaire en question.
C'est l'argument traditionnel. Bruno Roy-Henry vient encore de balayer des développements que j'avais passé un certain temps à rédiger par le formule : "Je passe sur la 1ère partie de votre réplique: vous ne démontrez rien!" ou "Vos arguments n'ont rien de scientifiques". Ayant peut-être comme il le dit le cuir plus dur que lui, je ne me formalise pas outre mesure de ce genre de formules. Je n'en pense pas moins qu'elles ne constituent pas vraiment des remarques d'un grand intérêt propres à faire avancer un débat. D'autant que Bruno Roy-Henry se plaint régulièrement qu'on en use de même à son égard.
Philippe Delorme a écrit :
Il semble seulement indiquer que vous êtes en colère ou jaloux.
Cette remarque est ridicule et relève purement et simplement de l'attaque personnelle.
Philippe Delorme a écrit :
Mais cela vous autorise-t-il à vous emporter ainsi ?
Y a-t-il quelque chose qui autorise davantage l'emportement de Bruno Roy-Henry et le vôtre ?
Philippe Delorme a écrit :
Si le "cadavre" des Invalides n'a aucune espèce d'importance, pourquoi tant vous énerver ?
Je pense qu'à la longue, il est fatiguant et peut devenir énervant de voir ramener la recherche historique et l'histoire à des questions futiles autour des grands hommes. Cette agitation et ce battage médiatique autour d'une question aussi vaine que celle de l'authenticité du corps des Invalides, accompagnés de multiples attaques
ad hominem contre toutes les personnes qui osent émettre des réverves à l'égard de ces théories, commencent à devenir vraiment pénibles. Tout cela introduit dans le débat historique des modes d'expression polémiques qui tendraient à s'imposer comme règle dans le domaine. C'est extrêmement dommageable pour la recherche historique de qualité.