L'Énigme des Invalides

Je suis bien d'accord avec vous, Cher Bruno ...

Cher Bruno



Recontacter, non. Contacter, oui. Mais pas de réponse. Quand on contacte un musée en Angleterre, on obtient une réponse. Quand on contacte un musée en France, on ne daigne pas répondre, il me semble (sauf si c'est une personnalité qui prend contact, j'imagine). Bref, vous auriez certainement plus de chance que moi de contacter le Musée de l'Armée et d'obtenir un éclaircissement. Comme je l'ai écrit, c'est plutôt à elle de confirmer sa communication avec le NMM. Elle le l'a jamais confirmé publiquement, ni par réponse à qui que ce soit il me semble, et la seule mention de cette conversation avec le NMM se trouve dans un article de Marianne. Par ailleurs, quid de cet article? Où est-il? Quels ont été les termes employés de façon précise? Je pense que la dame du musée pourrait sans doute répondre si on lui produisait une copie de l'article mentionnant ses propos ! Procurez-nous donc les outils et on pourrait sansd doute obtenir quelque chose. Quoique, comme déjà écrit, ça irait plus vite si vous le fassiez car vous ne lui êtes pas inconnu

C'est parfois long, mais j'obtiens toujours une réponse. Sauf avec le Musée de l'Armée. Ils ont des consignes, probablement...



C'est bien ce que j'essaye de faire. Elle est revenue en fonctions (puisque elle aurait été très malade, à ce qui m'a été dit). Mais, ce matin, elle était dans les salles...



Cher Albert, vous avez vous-même fourni le lien sur cet article, à l'époque. Vos commentaires précédents prouvent que vous l'avez lu... Ce lien est périmé, comme je l'ai indiqué. Mais nous l'avons en ligne par ailleurs et je le reproduis dans cette rubrique, sous un autre sujet.



Vous ne semblez pas comprendre que mon nom agit comme un répulsif... Nous allons quand même retenter la chose...

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"Tant que les Français constitueront une Nation, ils se souviendront de mon nom."

Napoléon.

Bonjour



Je pense que ça en vaut la peine car il faut éclaircir cette communication avec le NMM. Peut être qu'un autre membre du forum ici pourrait s'en charger? Rose? Moi, habitant en Angleterre, n'ai obtenu pas même une petite réponse de la part de la dame... Je suggère d'adjoindre à toute communication à son encontre une copie de l'article en question mentionnant sa communication avec le NMM.

Quant au conservateur du NMM (pour les oeuvres d'art), il m'a déjà exprimé qu'il n'avait pas eu (lui-même) de contact avec un musée français. Alors il ne reste plus qu'à obtenir une confirmation, ou contradiction, de la part de la dame du musée de l'Armée. Ce qui reste une chose apparemment très compliquée à faire en France !

J'ai bien adressé ce courriel à Mme Perrier-Robbe le 31 mars.


Concernant la prétendue "supercherie" du death mask !


A l'attention de Mme Perrier-Robbe,

Chère Madame,

Vous avez indiqué à Morgane Tual, journaliste à Marianne que le "death mask of Napoleon" serait connu comme une supercherie de l'escroc notoire se faisant appeler Louis Charles de Bourbon.


D'après mes sources, cela ressort des propos de MM. de Veauce et Jacques Jousset, repris par le colonel Mac Carthy.

L'escroc aurait eu -pour véritable identité- le nom de William Reeves.

Auriez-vous l'amabilité de me fournir les preuves de cette véritable accusation ? Je n'ai rien trouvé de probant dans les dires des estimables personnes citées plus haut, sinon le référencement à la revue anglaise John Bull de janvier 1935.

Vous avez également fait état d'une condamnation. Serait-il possible de connaître laquelle ?

De plus, vous avez déclaré ceci: "« Ce tableau, que Bruno Roy-Henri n’a vu qu’en photo, est la seule image où l’on peut voir une cicatrice éventuelle. Mais elle ressemble surtout à une fossette. Il faut aussi savoir que le peintre, Charles Locke Eastlake, était à plus d’une quinzaine de mètres de Napoléon quand il l’a peint. »



Aviez-vous contacté -comme cette déclaration permet de le penser- le National Maritim Museum de Greenwich où est conservé ce fameux tableau peint par Eastlake ?
Il n'est pas supposable que vous vous soyez avancée à ce point sans l'avoir consulté au préalable. Ce ne serait pas -en effet- conforme à la méthode historique qui vous est si chère.


En vous en remerciant par avance, je vous prie de croire, chère Madame, en l'assurance de ma considération très distinguée.


Bruno Roy-Henry

Historien


Ps: comme tous les courriels adressés désormais au Musée de l'armée, les journalistes ayant suivi cette affaire en seront destinataires d'une copie.

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"Tant que les Français constitueront une Nation, ils se souviendront de mon nom."

Napoléon.